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Tag Archives : Sagesse

La philosophie, s’étonner ou se souvenir ?

Y a-t-il plusieurs manières de faire de la philosophie ? Y a-t-il plusieurs écoles ?

Qu’est-ce qu’un philosophe ? Est-ce celui qui enseigne la philosophie, celui qui passe sur les plateaux de télévision et à qui on demande de donner son point de vue sur à peu près tout sujet, celui qui écrit des livres ? Est-ce celui qui la pratique ?

La vision antique du philosophe est plus proche du sage méditant et parfois militant comme Socrate que de l’intellectuel diplômé. Bien que l’un, bien sûr, n’empêche pas l’autre.

Être philosophe hier et aujourd’hui

Socrate parcourait les rues de l’Agora en interpelant les jeunes Athéniens : « Ô mon ami ! Comment, Athénien étant citoyen de la plus grande ville, renommée pour sa sagesse et sa puissance, n’as-tu pas honte de ne penser qu’à amasser des richesses, de la réputation et des honneurs, sans t’occuper de la vérité et de la sagesse, ni du perfectionnement de ton âme ? »

L’histoire de la philosophie nous montre comment l’homme s’est toujours cherché lui-même, comment il a toujours recherché la sagesse pour conduire sa vie. La philosophie a existé dans toutes les périodes historiques, en prenant des visages différents selon les besoins du temps, des visages parfois plus mystiques, parfois plus rationnels, parfois plus moraux. Nous voyons bien qu’à notre époque qui cherche tant de repères, la philosophie prend essentiellement un visage moral.

Littéralement, dans le sens antique, au moins pour Platon, le philo-sophe est celui qui aime (philo) la sagesse (sophia). On pense souvent la philosophie comme étant uniquement une discipline de la pensée, permettant de définir des concepts, d’argumenter, de développer une logique du raisonnement. Elle est cela, mais la définir ainsi est largement insuffisant pour un philosophe antique, disciple de la sagesse. Qu’il soit d’Orient ou d’Occident, il lui manquerait l’essentiel de la philosophie : un savoir-être et un mode de vie qui amène un savoir plus intérieur qu’extérieur.

La voie de l’étonnement et la voie de la réminiscence

On peut rentrer sur le chemin de la philosophie par deux voies : la voie de l’étonnement et la voie de la réminiscence. Ces deux voies peuvent être complémentaires mais elles ne poursuivent pas les mêmes buts ni n’utilisent les mêmes pratiques.

La voie de l’étonnement, qui est plutôt celle d’Aristote, nous fait nous interroger sur l’origine des choses, « pourquoi y a-t-il quelque chose plutôt que rien ? »
Platon, lui, pense que l’homme entre sur le chemin de la philosophie par la réminiscence, par la nostalgie de l’origine, la tristesse d’avoir perdu  quelque chose d’essentiel dont il a l’intuition. Il pense que l’homme devient philosophe quand il s’éveille à l’intérieur et pas seulement quand il s’interroge sur le mystère de l’origine des choses. Pour lui la philosophie va chercher ce qu’il y a derrière les phénomènes. C’est un chemin ascensionnel pour retrouver une connaissance perdue mais qui est profondément ancrée dans notre âme.

« Logos » et « mythos »

Ces deux voies vont mettre en jeu des fonctions et des pratiques différentes et complémentaires dans l’homme, le logos et la raison, le mythos et l’imagination.

La voie de l’étonnement, du questionnement veut comprendre les choses et travaille avec le mental et la raison, ce que les Grecs vont appeler le Logos. La raison cherche à prouver si une chose existe ou non, avant de dire si elle est vraie ou fausse. Elle permet de définir de différencier, d’analyser, de décrire. Elle utilise le langage conceptuel. Elle crée une distance entre l’observateur et ce qu’il observe, la Nature et moi, le monde et moi. C’est une voie qui permet de comprendre mais pas de vivre. L’homme uniquement rationnel est distancié et empli de doutes, parce qu’il ne vit pas ce qu’il comprend intellectuellement. Il souffre d’une grande solitude intérieure et métaphysique car il n’a aucune possibilité de s’intégrer à la nature qu’il raisonne mais qu’il ne vit pas.

La voie de la réminiscence veut connaître, reconnaître, et travaille avec la voie de l’intuition, la voie du mythos. Elle cherche à éprouver et privilégie le vécu intérieur, la captation. Cette voie travaille avec les sentiments supérieurs et l’intuition. Elle utilise le langage du mythe, qui porte les grandes vérités, du symbole et du rite. Elle ouvre la compréhension par le vécu. Elle raisonne à partir du vécu intérieur, ce qui lui donne une grande stabilité et une forte affirmation, ce que l’on peut observer dans tous les livres de sagesse d’Orient ou d’Occident.

L’homme mythique raisonne à partir de son vécu intérieur. Les lois de la nature ne sont pas pour lui des définitions ou des formules, mais des certitudes intérieures et des convictions profondes. Il s’unit à ce qu’il veut connaître.

L’homme mythique ne doute pas de l’existence des choses. Le monde, l’univers entier est pour lui chargé de vie et de sens et il cherche à vivre de la façon la plus juste possible par rapport à ce qu’il connait. Platon est un philosophe remarquable de cette voie qui sait allier la passion du raisonnement et la connaissance initiatique nécessaire pour vivre les enseignements et développer l’intuition.

Et surtout n’oublie pas de vivre !

Aujourd’hui nous constatons que l’homme est fatigué et désemparé par l’unique voie de la raison, qu’il aspire à se réintégrer à l’univers qui l’entoure. On parle beaucoup de ré- enchantement du monde, c’est-à-dire du retour nécessaire du mythe, de l’importance de donner de la valeur aux choses, de les vivre et pas simplement de les penser.

Alors oui il y a plusieurs façons de faire de la philosophie. Chaque système philosophique est valable dans la mesure où il possède une part de vérité. Dans aucun nous ne trouverons la vérité absolue.

Apprenons à être plus éclectique, cherchons ce qu’il y a de valable dans chaque système, et, tel Socrate, faisons confiance et écoutons plus notre daimon, l’homme mythique qui est en chacun de nous et qui nous fait pressentir ce qui est vrai. C’est le chemin que propose dans cette rentrée notre École de philosophie Nouvelle Acropole à tous les chercheurs de sens et de vie.

Par Françoise BÉCHET
Nouvelles morales provisoires
par Raphael ENTHOVEN
Éditions de l’Observatoire, 2019, 480 pages, 21 €
Après la parution de Morales provisoires, ce nouvel ouvrage, reprend les idées parues dans ses articles de Philosophie magazine ou encore dans les chroniques d’Europe 1, et passe au crible un certain nombre de sujets, à la lumière de la philosophie, de l’héritage de Johnny aux suite de l’affaire Weinstein ou à la laïcité en passant par des sujets tels le Bien, la haine, le port du voile, l’excision, la désinformation, le terrorisme, la croyance en Dieu… à la lumière de la philosophie, celle qui nous apprend à réfléchir et à penser par nous-mêmes, utilisant les références des philosophes, les citations pour étayer son discours qui peut paraître acéré.

 

  • Le 31 août 2019
  • Philosophie
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Savoir ou connaître ?

La divulgation des connaissances dans toutes les branches, scientifiques, philosophiques, artistiques, sociologiques, politiques, économiques...a créé une diffusion et un marché destiné à satisfaire la curiosité.

De la curiosité à la connaissance ; de la connaissance au savoir et à la Sagesse : un parcours à entreprendre.

 

La divulgation des connaissances dans toutes les branches, scientifiques, philosophiques, artistiques, sociologiques, politiques, économiques...a créé une diffusion et un marché destiné à satisfaire la curiosité.

La divulgation des connaissances dans toutes les branches, scientifiques, philosophiques, artistiques, sociologiques, politiques, économiques…a créé une diffusion et un marché destiné à satisfaire la curiosité.

Il y a quelques années, Bacon (1) disait que « la satisfaction de la curiosité est, pour certains hommes, la fin de la connaissance ». Et il y a plus d’un siècle, un grand Maître ajoutait que « Bacon s’est trouvé, en formulant cette vérité rebattue, autant dans le juste que l’étaient ceux qui l’ont connue avant lui en séparant la Sagesse de la Connaissance. »

Curiosité

La divulgation des connaissances dans toutes les branches, scientifiques, philosophiques, artistiques, sociologiques, politiques, économiques, et tant d’autres qui nous échappent maintenant, ont obtenu, plus qu’une diffusion sérieuse, la création d’un marché destiné à satisfaire des curiosités. Et si la curiosité ne se manifeste pas ou n’existe pas, apparaît quelqu’un qui se charge de la promouvoir à travers une propagande sensationnaliste et un usage large et sans discrimination des moyens de communication.
De plus, c’est dire que la curiosité n’est jamais satisfaite de cette façon, parce que le public – dans sa majorité – n’est pas préparé à épuiser en profondeur des sujets aussi divers et parce que les disciplines mentionnées plus haut – ainsi que celles que nous pouvons avoir oubliées de mentionner – changent de postures et d’opinions avec la même rapidité avec laquelle elles découvrent ou croient découvrir de nouveaux aspects dans le cadre de leur investigation. Il y a ainsi des thèmes et de la curiosité pour un moment.

Connaissance

Mais avançons d’un pas. Passons de la simple curiosité à la connaissance développée et approfondie pendant des années d’étude et de travail. Bien que cela puisse paraître le but le plus élevé à atteindre, ce n’est pas non plus le cas, parce que la connaissance ne concerne qu’une partie spécifique de la personne : elle occupe, selon les cas, le mental, le corps, les sentiments mais il est très difficile qu’elle ouvre les portes impressionnantes de l’intuition, les ressorts cachés de l’âme, le désir insatiable de perfection, quelle que soit la tâche à laquelle on se soit attaqué.

Sagesse

C’est là que nous entrons dans le domaine de la Sagesse. Savoir est beaucoup plus que connaître. C’est une connaissance qui ne s’oublie pas, qui ne réside pas simplement à la superficie extérieure de la mémoire mais dans les plis les plus profonds de l’être véritable. Ce qu’on sait devient partie de soi-même. Et comme soi-même « est » toujours, bien qu’il ne soit pas le même enfant ou adulte, la Sagesse oblige à cette avancée en maturité qui court avec le Temps, même si c’est un temps qui se fait éternel lorsqu’on se réfère à sa propre croissance.
Nous vivons une époque de grandes conquêtes. Tous prétendent nous offrir le mieux. Exigeons donc le mieux, et commençons par l’exiger de nous-mêmes. Là où nous mettons la main, les yeux, le sentiment ou l’idée de notre labeur, faisons-le dans un esprit de grandeur et de perfection, avec la vision qu’à force d’ampleur elle devienne sœur des sciences, des arts, des religions et des philosophies.

Ce qui importe pour nous est de SAVOIR.

(1) Francis Bacon, scientifique, philosophe et homme d’État anglais (1561-1626), un des pionniers de la pensée scientifique moderne
Par Délia STEINBERG GUZMAN
Extrait de l’ouvrage, Le héros quotidien, réflexions d’un philosophe
Traduit de l’espagnol par M. F. Touret

 

À lire

La guerre des Intelligences
Intelligence artificielle versus intelligence humaine
par Dr Laurent ALEXANDRE
Éditions J.C Lattès, 2018, 340 pages, 20,90 €

L’intelligence artificielle peut-elle dépasser les humains ? Quels changements va-t-elle déclencher dans nos modes de vie, et en particulier dans notre conception de l’éducation, et dans ce contexte, comment l’éducation doit-elle faire sa révolution ? Comment faire pour que nos cerveaux biologiques résistent à l’intelligence artificielle et restent complémentaires ? Comment nos enfants pourront-ils rester compétitifs face à l’intelligence artificielle ? Autant de questions auxquelles l’auteur tente de répondre.

 

La pensée magique du Net
par Herve FISCHER
Éditions François Bourin, 2014, 301 pages, 16 €

Le numérique occupe une place centrale dans la vie quotidienne, au point d’en être complètement dépendant et d’en oublier la réalité ou l’importance des existences existentielles. L’auteur, philosophe, artiste et blogueur, a commencé par être fasciné par la révolution numérique avant d’en dénoncer la face cachée. Il explore l’imaginaire qu’exalte Internet pour montrer les conséquences du Net sur l’évolution de la société et nos manières de penser.

  • Le 1 juin 2019
  • Philosophie à vivre
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Les arbres, maîtres de vie ?

« Depuis plusieurs siècles, sauf à de rares exceptions, la philosophie ne contemple plus la Nature : le droit de s’occuper et de parler du monde, des choses et des vivants non humains, revient principalement et exclusivement à d’autres disciplines », nous rappelle Emmanuele Coccia, auteur de l’excellent essai philosophique, La vie des plantes, une métaphysique du mélange (1).

Au cours des derniers siècles, le refus de reconnaître toute dignité philosophique à la Nature et au Cosmos, nous a conduits à l’anthropocentrisme.
Comment imaginer alors que des êtres, privés d’yeux, de nez et d’oreilles puissent posséder la vue, l’odorat et l’ouïe ? Selon les récentes recherches, c’est le cas des arbres.

Le botaniste italien Stefano Mancuso (2) nous assène, tout en douceur, une blessure narcissique équivalente à celle qu’ont provoquée jadis Copernic, Darwin ou Freud. C’est notre arrogance et les temps longs des végétaux qui nous empêchent de reconnaître l’intelligence des plantes.
Parce que les plantes sont immobiles, qu’elles n’ont pas d’organe individualisé comme le cerveau ou le cœur, que leur développement est lent, qu’aucune de leurs parties n’est irremplaçable, les végétaux nous sont toujours apparus comme étrangers à nous-mêmes, nous faisant oublier que nous sommes vivants.

Si l’intelligence est définie comme la capacité à résoudre des problèmes, alors les plantes sont intelligentes.
Stefano Mancuso explique que « les acquis récents de la biologie végétale permettent de voir aujourd’hui en elle des organismes dotés d’une faculté bien établie d’acquérir, d’emmagasiner, de partager, d’élaborer et d’utiliser les informations tirées de leur environnement ».
Preuve à l’appui : si on couvre de plastique noir certains arbres de la forêt, empêchant leur accès à la lumière et donc à la photosynthèse, ce qui est spectaculaire est que ces arbres ne périssent pas. Ils sont alimentés et connectés par le réseau des racines et des champignons qui leur permettent de recevoir les nutriments dont ils ont besoin.

Les plantes ont évolué de façon à synthétiser leurs fonctions sur un seul espace.
Elles n’ont pas d’organes de la vue comme les yeux mais sont pourvues d’une multitude de photorécepteurs hyper-sophistiqués qui distinguent toutes les longueurs d’onde de la lumière. Même les racines en possèdent et sont sensibles à la lumière pour la fuir. Ainsi les plantes voient. Les plantes émettent des messages volatils pour alerter leurs congénères d’un danger. Attaquée par un insecte herbivore, une plante exhalera aussitôt des molécules pour informer les plantes avoisinantes afin qu’elles parent au danger. Les plantes produiront ainsi des molécules chimiques susceptibles de rendre leurs feuilles indigestes voire vénéneuses pour l’agresseur. C’est le cas des acacias pour se protéger des girafes.
Les plantes sentent et utilisent donc des parfums comme messagers. Même si elles n’ont pas d’oreilles, elles sont capables d’entendre et d’utiliser la terre au lieu de l’air comme vecteur de son. Les vibrations sonores sont captées par les multitudes de cellules de la plantes dotées de canaux mécano-sensibles. Ainsi, les racines sont guidées par ce son imperceptible sous terre et peuvent organiser harmonieusement leur progression.

Ce sont les arbres qui ont transformé la surface de la Terre, les paysages que nous connaissons, ainsi que l’atmosphère dans laquelle nous vivons. La science a montré que sans forêt, il n’y aurait plus de vie sur Terre.

Cette intelligence végétale qui se construit dans un rythme lent, produit des effets bienfaisants chez les êtres humains. Des récentes études américaines attestent des effets positifs de l’observation des arbres sur le cerveau et le corps.
Le biologiste Jacques Tassin (3) suggère que l’homme, qui n’a cessé de vouloir mettre de l’ordre dans la Nature, pourrait maintenant s’inspirer des arbres pour remettre de l’ordre dans sa vie.

Eryck de Rubercy (4) explique que les arbres procèdent à « un ajustement des sens ». L’arbre rend contemplatif. Il donne également matière à méditer. Il est un miroir pour l’homme, qui partage avec lui la station verticale. Dans toutes les civilisations qui nous ont précédés, il est le symbole par excellence de la sagesse et de la vie et le résumé du monde. Par ses branches, il se relie au ciel, par ses racines au mystère des profondeurs de la Terre et par son tronc, il devient le médiateur entre les mondes.

Profitons de cet été pour méditer et nous inspirer auprès des arbres et partager cette intelligence qui nous délivre des limitations de la petitesse humaine.

(1) La vie des plantes, une métaphysique du mélange, Emmanuele COCCIA, Éditions Bibliothèques Rivages, 2016,
191 pages, 18 €
(2) L’intelligence des Plantes, Stefano MANCUSO, Alessandra VIOLA, traduit par Renaud TEMPERINI,
Éditions Albin Michel, 2018, 190 pages, 18 €. Stefano MANCUSO est le fondateur de la neurobiologie végétale
(3) Auteur aux Éditions Odile Jacob, de  À quoi pensent les plantes ?,  2016, 155 pages, 19, 90 € et plus récemment de Penser comme un arbre, 2018, 144 pages, 16, 90 €
(4) Auteur de La matière des arbres, illustré par Guy de RUBERCY, Éditions Klincksieck, Collection De Natura Rerum, 2018, 298 pages, 17,50 €
À lire
La vie secrète des plantes, ce qu’ils ressentent, comment ils communiquent
Peter WOHLLEBEN, Éditions Les Arènes, 2017, 260 pages, 20,90 €
Par Fernand SCHWARZ
Président de la Fédération Des Nouvelle Acropole

 

  • Le 30 juin 2018
  • Editorial
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