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Tag Archives : Mystère

La magie du feu, la magie du mystère, troisième niveau de magie

Avec la magie du feu, l’Homme apprivoise le mystère, l’indicible.

« Le plus beau sentiment du monde, c’est le sens du mystère. Celui qui n’a jamais connu cette émotion, ses yeux se sont déjà fermés » – La plus belle chose que nous puissions éprouver, c’est le côté mystérieux de la vie » Einstein (1879-1955)

 Avec les deux articles précédents, le premier niveau de la magie « la magie des sens », et le deuxième niveau de la magie « la magie des liens » nous avons gravi deux marches qui nous conduisent à la fin de notre voyage au troisième niveau de la magie. Ici, c’est le mystère qui nous attend.

 

L'escamoteur, célèbre tableau de Jérôme Bosch (1450 -1516), met en scène la magie du premier niveau, s'amuser en trompant nos sens

L’escamoteur, célèbre tableau de Jérôme Bosch (1450 -1516)

Rappelons-nous, le mot magie, il vient du persan, de la racine mag – magus qui signifie « science, sagesse ».

Au premier niveau de la magie, le prestidigitateur se joue de nous comme la Nature le fait en nous faisant croire en des choses qui ne sont pas. Comme elle, il utilise nos sens et fausse la Réalité. Il le fait pour notre plus grand bien, provoquer l’étonnement. Il nous rappelle à un vécu lointain, à la mémoire de cet enfant pour qui la vie est « tout magique » (voir ci-contre, L’escamoteur de Jérôme Bosch).

La magie de la quintessence

Devenus adulte, les tours de passe-passe réveillent en nous ces questions en lesquelles nous n’osons plus croire. La magie existe-t-elle vraiment ?  Conduit-elle à l’émerveillement dont parlent les sagesses du monde ? Est-ce une quintessence ?

Alors, nous devons gravir une marche de plus. Sortir des effets trompeurs du premier niveau de la magie pour nous diriger vers d’autres contrées, où l’on entend et voit autrement. Là-bas, le deuxième niveau de la magie nous attend et nous livre ses réponses. Oui, répond celui-ci, mais à une double condition.

Premièrement, abandonner le mental « Tacatacata » ou le mental « hamster » celui qui fait tourner en rond. Ce mental qui sait tout, le mental qui veut tout contrôler et nous enferme dans la logique de l’hyper rationalité.

Deuxièmement, gagner en éthique et en son application. Ne pas s’installer dans une attitude d’usurpateur et de manipulateur mais dans une attitude d’homme de lien, d’unité, d’amour, et purifier ses intentions. Voir en l’autre le reflet de soi et non une absence, voir dans le monde, la beauté du sens et non un désenchantement de séparatisme.

Le deuxième niveau de la magie nous incite à sortir du monde des apparences, pour aller vers un inconnu que nos cinq sens ignorent. Une transformation s’affirme, une deuxième naissance s’opère, éduquer nos sens pour les sublimer à une autre perception. Ici, la Dame à la Licorne, reine des cinq sens (1), sera notre guide et notre magicienne.

La Dame à Licorne nous guide pour éduquer nos cinq sens et les élever au rang d'une autre perception du Réel.

La Dame à Licorne nous guide pour éduquer nos cinq sens et les élever au rang d’une autre perception du Réel.

« L’opération de la magie est l’attraction d’une chose par une autre en vertu d’une affinité naturelle… Ainsi, l’aimant attire le fer… Les œuvres de la magie sont donc des œuvres de nature (naturelle)… Et la Nature est appelée magicienne en vertu de cet Amour réciproque… Toute la puissance de la magie réside dans l’Amour ».
Marsile Ficin (2).
« La grandeur d’un métier est peut-être, avant tout, d’unir les hommes : il n’est qu’un luxe véritable, et c’est celui des relations humaines » Antoine de Saint-Exupéry.
«… L’Homme n’est pas un élément perdu dans les solitudes cosmiques, mais c’est une volonté universelle qui converge et s’harmonise en lui ». Pierre Teilhard de Chardin (3).

La Magie, un feu

Ayant vaincu les faux-semblants, étant sortis victorieux du désenchantement de l’hyper-rationalité, ayant éveillé notre entendement à d’autres perceptions, nous voilà rendus aux portes du troisième niveau de la magie.

Pour y rentrer il faut accomplir un sésame. À savoir, exécuter le geste le plus magique qui soit donné à l’Homme. Le geste qu’aucun tour de magie ne peut vaincre, qu’aucune raison ne peut étouffer. Un geste réalisable par tous et accessible à tous, singulier et universel. En sa présence, l’Homme exprime sa vraie nature, celle qui marque sa différence avec les minéraux, les végétaux, les animaux.

Ce geste, cet acte, les anthropologues, les préhistoriens en soulignent sa naissance il y a 500 000 ans environ. Comment l’Homme l’a appris ? Personne n’en connaît la réponse. Du scientifique le plus éclairé, au poète le plus imaginatif, tout le monde est ignorant. Il est une énigme dans son origine et un prodige dans son accomplissement. Pourtant, grâce à lui l’Homme rentre dans la voie qui conduit à la porte des mystères et découvre un nouvel horizon, le monde des interrogations les plus nobles.

Ce geste si singulier et si universel, quel est-il ?  En voici sa teneur, il est simple mais en même temps riche en signification. L’Homme sait donner vie au feu. Il peut accoucher cette lumière qui demeure en sommeil dans toutes choses. Il sait l’apprivoiser et en devenir son gardien. Le feu est un grand compagnon de l’Homme, un grand inspirateur de son évolution qui, de milliers d’années en milliers d’années lui révèlera ses secrets.

Avec la magie du feu, l’Homme apprivoise le mystère, l’indicible.

Avec la magie du feu, l’Homme apprivoise le mystère, l’indicible.

Avec la magie du feu, l’Homme apprivoise le mystère, l’indicible. En apprenant à le regarder, il s’éduque à voir l’invisible (les lois) dans le visible (les effets).

Certes, les esprits plus terre à terre diront : avec le feu l’Homme a pu faire cuire sa nourriture et en conséquence faire reculer les parasitoses, mais pas que cela, il s’est ouvert aux questions métaphysiques, aux causes essentielles. En le contemplant, son imaginaire se structure, devient de plus en plus sensible à l’imperceptible. Avec le feu comme ami, il ressent une présence en lui, celle de l’inexploré.
Aussi, à l’image d’une flamme qui cherche sa verticalité, l’Homme s’enfante à une transcendance, aux questions sur l’infini, sur la mort, sur l’immortalité, sur Dieu. Les rites surgissent, il enterre ses morts, construit des temples, pose des bougies. Il évoque une spiritualité. Le mystère s’installe, le feu en est son agent. L’Homme lui rend hommage pour tout ce qu’il lui évoque et inspire. Il le célèbre avec des cérémonies qu’il préside comme symbole d’un esprit qui doit trouver vie en chacun de ses participants.
Mais voilà, avec le feu, l’Homme a aussi trouvé une arme. S’il ne veut pas se détruire lui-même il faut qu’il grandisse dans son authenticité, qu’il accepte de vivre en lui ce que le feu provoque autour de lui, à savoir se purifier.

Chez les Tibétains, le symbole du Feu (mental) est représenté par une épée enflammée que porte Manjushri (4) dieu de la Sagesse.

Chez les Tibétains, le symbole du Feu (mental) est représenté par une épée enflammée que porte Manjushri (4) dieu de la Sagesse.

Le feu est une puissance comme le mental l’est pour la condition humaine. L’Homme va apprendre à s’en servir et il deviendra le feu de l’attention, le feu de la concentration, le feu du mental qui s’est ouvert au discernement. Son symbole sera une épée enflammée telle celle de Manjushri (4) représentant de la Sagesse chez les Tibétains. Mais aussi le bâton de Merlin qui s’enflamme quand il parle aux chevaliers et les met en cercle pour créer l’esprit de la Table Ronde et l’unité du monde ou encore le bâton de Gandalf quand il combat avec sa sagesse les forces de Sauron. Il sort également du bout des doigts de Yoda dans sa lutte avec Palpatine ou autre Sith dans l’épopée cinématographique Starwars.
En architecture, on le retrouve avec les pyramides qui évoquent son nom et son mystère (« Pyr » veut dire, feu). Mais aussi avec les torches des vierges sages et des vierges folles sur le portail central de Notre Dame de Paris, qui aboutissent pour les unes à la porte ouverte des mystères et pour les autres à la porte fermée des mystères.

Le feu, une flamme qui vacille, une flamme qui s’élève. Le feu, une flamme qui cherche sans cesse le vertical, qui établit un lien entre le ciel et la terre. Le feu, source d’inspiration, symbole du sublime, de l’ineffable. « Si tu veux la sagesse, trouve l’ineffable » dit la prière du judaïsme mystique. Le feu, une torche qui conduit au centre du labyrinthe et se change en torche des mystères, « Ne crains pas le mystère. Deviens son fils préféré ; sache que le mystère le plus grand, la racine même de l’énigme est le moteur immobile de l’univers. C’est vers Lui que conduit la sagesse. » Jorge Angel Livraga (5).
Le mystère, l’enfant de la Grande Ignorance, telle est la quête des trois niveaux de la magie, s’offrir à Lui et y trouver source de fécondité.

Laissons les derniers mots à Jean d’Ormesson (6).
« Plutôt qu’un secret ou une énigme, l’univers est un mystère et notre vie est un mystère. Et, il nous est interdit de percer ce mystère » – « Du mystère du rien est sorti le mystère de notre tout. Un mystère a donné naissance à un autre mystère. »

(1) Lire l’article Redécouvrir la magie, Le premier niveau : la magie des sens, de Olivier Larrègle, page 13 à 16
(2) Marsile Ficin (1433-1499), poète et philosophe de la Renaissance, directeur de l’Académie Platonicienne de Florence
(3) Prêtre jésuite français (1881-1955), paléontologue, théologien et philosophe auteur de nombreux ouvrages
(4) Ce boddhisattva est important dans les bouddhismes Mahayana et Vajravana. Son nom signifie Gloire paisible
(5) Jorge Angel Livraga (1930 -1991), philosophe, auteur de nombreux ouvrages et fondateur de l’association internationale Nouvelle Acropole
(6) Philosophe journaliste, écrivain français (1925 – 2018), auteur d’une quarantaine d’ouvrage, membre de l’Académie française et directeur du journal Le Figaro pendant longtemps et ensuite journaliste au même journal. Lire l’article de Marie-Agnès Lambert, Hommage à Jean D’Ormesson et Johnny Hallyday, deux monstres sacrés de la France s’en sont allés, paru dans la revue Acropolis N° 292 (janvier 2018)
Lire les articles du même auteur, parus dans la revue Acropolis
. N° 293 (février 2018), Redécouvrir la magie, Le premier niveau : la magie des sens, page 123 à 16
. N° 294, (mars 2018), Le second niveau de la magie, La magie des relations humaines, page 15 à 19
Par Olivier LARRÈGLE

  • Le 30 mars 2018
  • Philosophie
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« La poésie de la vie n’est pas algorithmisable »

Le contact avec l’infini transforme les sociétés et nous-mêmes

Dans son dernier livre, Edgar Morin (1) nous livre une sorte de testament philosophique et scientifique, d’une rare poésie. Malgré ses 90 ans passés, il garde l’émerveillement d’un jeune enfant. Il nous confronte à la nécessité de dialoguer avec le mystère. Rassurez-vous, il n’est pas tombé sous l’emprise d’un délire mystique ni sous celle du scientisme ou du créationnisme. Ses réflexions sont d’une grande lucidité. Il définit les deux aventures qui s’offrent à l’homme du XXIe siècle.

Le contact avec l’infini transforme les sociétés et nous-mêmes

Le contact avec l’infini transforme les sociétés et nous-mêmes.

« L’une cherche à l’extérieur à dévoiler, voire à posséder, les secrets du monde physique, de la vie, de la structure. Elle a développé une science capable de tout connaître, mais incapable de se connaître, produisant aujourd’hui, non seulement des élucidations bénéfiques mais des aveuglements malfaisants et des pouvoirs terrifiants. L’autre aventure cherche à l’intérieur de soi, à se connaître, à méditer sur ce qu’on sait et ce qu’on ne sait pas, à se nourrir de poésie vitale, à ressentir le mouvant, le beau, l’admirable »
Il précise que la première est une aventure conquérante basée sur la trinité science/technique/économie et que la seconde est l’aventure de la philosophie, de la poésie, de la compréhension, de la compassion. La première est extérieure et la seconde réclame l’éveil de l’homme intérieur.

Edgar Morin nous rappelle qu’une société humaine dirigée par la loi de l’algorithme ne conduirait pas au surhumain mais à l’inhumain. On ne peut pas éliminer l’incertitude propre à l’aventure humaine. Les choses essentielles échappent toujours au calcul : « la poésie de la vie n’est pas algorithmisable ».
L’auteur propose, — et nous ne pouvons que le soutenir —, la régénération d’un humanisme à l’échelle planétaire et enraciné dans la Terre patrie.
Nous devons accepter la part de mystère de l’existence. « L’inconnu est énigme, l’inconnaissable est mystère ». Il affirme que « la créativité est mystère ! ». Il associe la créativité à un état de transe ou de possession que nous appelons souvent inspiration.

Comme l’explique très bien Nicolas Truong (1), « Edgar Morin en est convaincu, il y a une créativité du vivant qu’une partie de la science occulte, par crainte de tomber dans l’obscurantisme du créationnisme, qui fait tant de dégâts au moment même où triomphent populisme et complotisme ».
Il nous invite à intégrer les contradictions et à adopter une posture dialogique pour que science et raison, science et poésie puissent dialoguer ensemble.
Selon Edgar Morin, « Une création humaine est une combinaison de transe et de conscience, de possession et de rationalité ».
Ce qui est merveilleux dans cette définition, c’est que, bien que l’on ne puisse pas connaître rationnellement le mystère, on peut le vivre et le faire partager.
Comme l’explique très bien Luc Bigé (3), le contact avec l’infini transforme les sociétés et nous-mêmes. Il nous apprend à déconditionner notre imaginaire, pour changer notre interprétation du monde, nous ouvrir à d’autres dimensions de conscience, intérioriser nos expériences et partager la véritable aventure humaine.

(1) Connaissance, ignorance, mystère, Éditions Fayard, 2017, 192 pages
(2) Edgar Morin dialogue avec le mystère, paru dans le journal Le Monde du 14 mars 2017
(3) Lire Ré-enchanter le monde, changer notre vision de la réalité, paru dans la revue Acropolis n°285, mai 2017. Lire également le second article de Luc Bigé, Ré-enchanter le monde, retrouver un sens, page 8
Par Fernand SCHWARZ
Président de la Fédération Des Nouvelle Acropole

  • Le 6 juin 2017
  • Editorial
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Quelles connaissances peuvent pallier la douleur ?

La vie nous montre constamment que la douleur est infinie.

 

Peut-on pallier à la douleur ? L’auteur s’interroge sur l’importance des connaissances pour en limiter l’effet.

La vie nous montre constamment que la douleur est infinie.

La vie nous montre constamment que la douleur est infinie.

Nombreuses sont les doctrines, tant philosophiques que religieuses, qui nous enseignent que la souffrance cesse avec la connaissance. Et cette affirmation, que nous croyons comprendre dans une certaine mesure, nous conduit à nous poser certaines questions : quelles sont les connaissances qui peuvent pallier la douleur, quelles limites ont ces connaissances ? Il est évident que toutes les connaissances ne servent pas à apporter le bonheur aux hommes, il est également évident que si la connaissance avait des limites, la douleur serait également limitée…

Quelles sont les connaissances qui peuvent pallier la douleur ?

Et, néanmoins, la vie nous montre constamment que la douleur est infinie, et que quand une connaissance nous apporte un soulagement, surgit immédiatement une nouvelle douleur qui dépasse la précédente et exige un autre type de connaissances qui la calment.

Ainsi, face à notre question concernant les connaissances qui aident effectivement à vaincre l’angoisse humaine, nous estimons que seules celles qui font disparaître l’ignorance intérieure et dégagent une lumière impérissable remplissent leur réelle mission. Il ne suffit pas toujours de se remplir la tête de données que nous appelons « connaissance »,  il est nécessaire que ces données représentent une réponse à nos appels et à nos inquiétudes. Les connaissances peuvent aussi se mesurer selon leur durée plus ou moins importante et, en accord avec les philosophes de toutes les époques, celles qui durent sont celles qui se rapprochent le plus de la Vérité. Dans ce cas, la durée est un équivalent de permanence, d’immutabilité, de parfaite stabilité. Et de là procède notre « attitude acropolitaine » de chercher les idées constantes, celles qui sont toujours répétées au long de l’histoire dans une langue ou une autre, parce que nous voyons dans ces idées équivalentes une manifestation de la même vérité habillée de vêtements différents.

Et quelles sont les limites de ces connaissances ?  car les limites sont données par l’évolution proprement humaine. L’horizon a la hauteur des yeux qui le regardent ; plus l’homme s’élève, plus vaste devient son horizon, et plus cet homme grandi avance, cet « homme Acropole », plus l’horizon recule, englobant des extensions infinies et aujourd’hui inconnues. Mais, par contre, devant l’homme qui se traîne et se laisse tomber dans les difficultés, l’horizon est tout juste une ligne toute proche sans espérance et sans lueurs majeures. Ce qui maintenant est mystère peut demain être connaissance ; ce qui maintenant  est obscurité peut demain être lumière ; ce qui maintenant est horizon linéaire peut être demain  un chemin très vaste et plein de perspectives. Mais il faut des hommes courageux, capables de lutter debout et de ne pas s’arrêter en chemin, aussi nombreuses soient les épines qui blessent ses pieds. Ce n’est que devant ces hommes que le Mystère ouvre ses portes et devient connaissance. Ce n’est que devant ces hommes que la connaissance est assez vaste pour annuler toute souffrance, toute ignorance, toute incompréhension, pour enfin transformer en roses tout ce qui a commencé par être épines.

Par Délia Steinberg Guzman
Traduit de l’espagnol par M.F. Touret

  • Le 28 février 2017
  • Philosophie à vivre
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