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Tag Archives : COVID-19

2021, vivement le vaccin de l’âme !  

En 2021, un vaccin contre le COVID-19 va être diffusé, dans l’espoir de maîtriser la pandémie du COVID-19. Existe-t-il un vaccin pour l’âme qui nous permettrait de retrouver nos âmes et de renouer le dialogue du corps avec l’esprit ?

À l’heure où je vous écris, un horizon d’espoir est en train d’éclairer les perspectives de milliards d’êtres humains concernant la maîtrise de la pandémie du COVID-19.

Délia Steinberg Guzman (1) nous précise : « Il est clair que, dans une pandémie, il n’y a rien de plus fondamental que la santé : la garder, en prendre soin et la préserver. Mais nous avons oublié un point essentiel : la santé de l’âme ou comme on l’appelle, cet aspect plus subtil des personnes, qui perçoit des réalités qui dépassent le physique et le matériel. L’oubli ou la mise à l’écart des aspects supérieurs de l’être humain nous a convertis en automates inconscients, faciles à manipuler. Et c’est ce que nous sommes. Les valeurs les plus importantes ont viré de façon vertigineuse. La vie est uniquement la vie du corps ; la beauté consiste à prolonger la jeunesse ; l’esthétique consiste à être original et tape-à-l’œil, la morale est faire ce qu’on veut ; la solidarité consiste à aider les défavorisés plus pour l’image que l’on veut donner que par pitié. La violence et l’irritabilité ressortent par manque de principes et de finalités dans la vie ; à quoi peuvent rêver les jeunes de ces temps-là ? ».

Le philosophe Bertrand Vergely (2) nous invite à redécouvrir la vulnérabilité en tant que force oubliée pour surmonter l’impuissance et redonner au pouvoir son caractère positif, celui du pouvoir intérieur qui nous rend moins dépendants des circonstances et des personnes. Cette force intérieure, dit-il, est la manifestation de notre principe vital. C’est grâce à elle que nous pouvons quitter l’emprise, la dépendance et la faiblesse morale. Pour cela, nous devons faire preuve de vigilance.

Comme le dit Spinoza, « Délivrés de tout esclavage intérieur, nous reposons sur nos pieds ; nous avons une bonne assise dans l’existence et, derrière elle, un bon équilibre entre ciel et terre. Quand notre lien avec le ciel est rompu, nous n’avons plus cette bonne assise et ce bon équilibre.» (3)
En ayant oublié le contact avec le ciel, notre époque est tombée dans le culte de la faiblesse et le courage nous manque.

Le corps et l’âme sont restés séparés, sans se reconnaître l’un à l’autre.  Bien sûr qu’il faut guérir nos corps, mais ils ne doivent pas rester de coques vides. Il est temps de penser, comme le propose Délia Steinberg Guzman à un nouveau type de vaccin, un vaccin métaphysique qui permettrait de retrouver nos âmes et de renouer le dialogue du corps avec l’esprit.

Voilà, cher lecteur, mes vœux pour l’année 2021, que nous devenions capables d’élaborer ce nouveau vaccin composé d’amour, de courage, de persévérance, de confiance dans les autres êtres humains, pratiquant la courtoisie et la sincérité dans l’expression nos idées afin de déployer une énergie puissante au service des autres.

(1) Présidente d’honneur de l’Organisation Internationale Nouvelle Acropole (O.I.N.A.) https://www.acropolis.org/fr/presidence
(2) Philosophe et auteur de La vulnérabilité ou la force oubliée, Éditions Le Passeur, 2020
(3) Extrait de Ethique, de Baruch Spinoza, deuxième partie, proposition 44, corollaire II, Éditions Garnier-Flammarion, 1983,
page 120
par Fernand SCHWARZ
Président de la Fédération Des Nouvelle Acropole

  • Le 26 décembre 2020
  • Editorial
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La philosophie, un antidote pratique au narcissisme

Comme le petit commerce, la culture fut jugée non essentielle pendant le confinement. Mais la culture est essentielle à notre vie.

« Chez l’être humain, le lieu naturel vers lequel nous a conduits notre propre évolution, n’est pas un lieu concret dans le réseau écologique des écosystèmes, mais plutôt celui déterminé par les caractéristiques qui font de nous une espèce unique, qui sont essentiellement des capacités intérieures promues par la culture et l’éducation. Lorsque quelqu’un vit avec le développement total de ses capacités intérieures, telles que la sensibilité, les capacités de communication, le discernement, l’imagination créatrice ou le cadre de prise de décision éthique, pour n’en mentionner que quelques-unes, il a besoin de moins de ressources extérieures pour atteindre un bonheur qui sera plus durable car moins temporel. En d’autres termes, vous vivez une vie plus remplie avec moins d’impact. » (1) La culture active relie l’imagination à l’action et nous sort de la posture du Narcisse moderne.
Le Narcisse moderne a tout le temps besoin du regard des autres, comme de celui des algorithmes et des machines, car il confond tout. « Le téléphone m’a dit cela, m’a expliqué cela », comme si le smartphone était une personne. C’est comme si Narcisse avait besoin du regard des autres, pour tomber encore plus amoureux de lui-même. Il se réjouit de tant de like, (2) de tant de gens connectés ! Le narcissique moderne perd l’initiative de sa vie. Il n’est plus maître de ses décisions. Ce n’est pas qu’il dépérit – il continue à vivre – mais il perd la possibilité de conduire sa vie comme il l’entend.

Pour le professeur Michel Lejoyeux (3), la crise du COVID-19, nous a placés sous le signe de l’émotion, ce qui a provoqué un grand nombre de troubles psychiques dans la population. Et il souligne que les méthodes destinées à préserver son esprit sont devenues nécessaires. Il rappelle les trois facteurs majeurs pour se faire du bien en période de crise, identifiés par les chercheurs du King’s College de Londres.
1. Apprendre à s’amuser pour sortir de l’ennui est un facteur protecteur qui contribue à la résilience, et ici, la
culture joue un rôle prépondérant.
2. Apprendre à sélectionner l’information pour ne pas tomber dans une consommation permanente trop
anxiogène, ce qui réclame une éducation à la pensée.
3. Pratiquer l’altruisme, prendre soin des autres, nous permettent de prendre soin de nous-mêmes.

Les deux premiers points font appel à la culture et à la philosophie et le troisième au volontariat.
Ce triptyque pour bien penser, aimer et agir est celui que propose l’association internationale Nouvelle Acropole depuis sa fondation, dans toutes ses écoles de Philosophie pratique dans le monde. C’est le véritable kit de survie majeur pour faire face et se faire du bien en période de crise.

Suite au passage dévastateur de l’ouragan Eta en novembre dernier, les volontaires des écoles de Nouvelle Acropole au Honduras, ont participé à des activités de secours en situation de catastrophe naturelle. Ils ont sauvé des vies, mais ils ont surtout aidé à reloger des victimes dans nos propres écoles, qui sont devenues des refuges de fortune, notamment à Tegucigalpa et à Comayagua. Ces actions ont mobilisé 115 volontaires qui ont aidé 1350 personnes.
Au Guatemala, suite à des inondations, les volontaires sont intervenus dans la ville de Alta Verapaz, où nous avons également une école. Ils se sont mobilisés dès le premier jour. 54 volontaires ont aidé 4765 personnes et réuni des dons qu’ils ont transmis à 21 communautés.
Actuellement, dans les pays européens où nous sommes implantés, nous sommes en train d’organiser une collecte de fonds pour appuyer leurs actions de reconstruction.
La rapidité de ces secours n’a été possible que parce que nos volontaires sont des individus qui travaillent sur eux-mêmes et n’ont pas hésité à tendre la main aux autres, pas uniquement pour effectuer une action technique mais également pour écouter, animer et aider à s’en sortir ces populations en souffrance.

La solidarité doit rester notre lien fondamental afin d’agir pour la paix et faciliter la compréhension entre les hommes et les cultures. Malgré toutes les difficultés que nous avons rencontrées dans l’année, ces actions de volontariat comme tant d’autres que nous réalisons dans le monde (4), sont notre manière de répondre en philosophes pratiques aux besoins de nos contemporains et de ce monde en pleine mutation.
Cette pandémie nous met au défi de répondre par des actions qui réveillent nos âmes et nous mettent en mouvement pour sortir de l’indolence, du stress et de l’anxiété, en faisant œuvre utile.
Ce sera probablement le meilleur cadeau que nous pourrons faire à nous-mêmes et à nos familles pour célébrer avec humilité et sobriété les fêtes de fin d’année.

(1) Extrait de l’article paru dans la revue espagnole Esfinge et qui paraîtra dans la revue Acropolis de janvier 2021, Stoïcisme et vie naturelle aujourd’hui, par Manuel Ruiz Torres
(2) Nombre de « j’aime » sur les réseaux sociaux tels que Facebook, Twitter, Instagram…
(3) Les Quatre Temps de la renaissance, Le stress post-traumatique n’est pas une fatalité, Pr Michel Lejoyeux, Éditions JC. Lattès, 2020, 192 pages, 19,90 €
(4) Nouvelle Acropole dans le monde https://www.nouvelle-acropole.fr/centres/les-centres-dans-le-monde
par Fernand SCHWARZ
Président de la Fédération Des Nouvelle Acropole

  • Le 1 décembre 2020
  • Editorial
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Le stoïcisme, une réponse possible à la crise d’aujourd’hui

Les crises que nous vivons aujourd’hui ont déjà existé à différents moments dans l’histoire, notamment en Grèce et Rome antiques. Des écoles de philosophie à la manière classique se sont développées pour tenter d’y apporter des réponses. Parmi elles, le stoïcisme. Serait-il une réponse possible à la crise que nous vivons aujourd’hui ?

17 mars 2020. Une date qui vous est sûrement familière. En pleine crise sanitaire du Coronavirus COVID-19, la population française a été confinée. Cette crise sanitaire n’a fait qu’accentuer des crises sociales et économiques déjà existantes. Dans un monde plus VICA (1) que jamais, vers quelle voie se tourner pour surmonter les épreuves ? Le stoïcisme serait-il l’une d’entre elles ?

Le stoïcisme, une voie du bonheur

Le stoïcisme est un courant philosophique né en 321 av. J-.C., à Athènes. C’est une voie du bonheur, qui s’est développée à la mort d’Alexandre le Grand, à l’époque dite hellénistique. Son fondateur est Zénon de Citium et ses plus illustres pratiquants furent l’homme politique Sénèque, l’esclave affranchi Épictète et l’empereur romain Marc Aurèle.

L’une des caractéristiques clés du stoïcisme tient dans la conscience de notre champ d’action, car notre bonheur ne dépend que de nous.
Selon Épictète, « Il y a des choses qui dépendent de nous, d’autres qui n’en dépendent pas. Ce qui dépend de nous, ce sont nos jugements, nos tendances, nos désirs, nos aversions : en un mot, toutes les œuvres qui nous appartiennent. Ce qui ne dépend pas de nous, c’est notre corps, c’est la richesse, la célébrité, le pouvoir en un mot toutes les œuvres qui ne nous appartiennent pas. » (2)
Il faut donc, par une discipline mentale, se préoccuper de ce qui dépend de nous, à savoir nos actions et nos jugements, et se détacher de ce sur quoi nous ne pouvons avoir de contrôle.
La météo ou encore la maladie ne dépendent pas de nous. En revanche il dépend de nous d’être de bonne ou de mauvaise humeur, de se soigner, ou, dans le cas du coronavirus, de nous protéger, de pratiquer la distanciation pour ne pas transmettre ou contracter le virus, ne pas aller dans des réunions massives…

Ce qui trouble les hommes sont les jugements qu’ils portent

Le stoïcisme, contrairement à ce que le mot stoïque laisse penser, ne consiste pas à éviter les émotions mais à les maîtriser. Le bonheur, quant à lui, est l’absence de troubles dans l’âme, dit aussi « ataraxie », et ne dépend que de nous. Nous avons tendance à nous apitoyer sur nous-mêmes de façon répétée ce qui engendre de la souffrance. Il faut observer de façon objective nos troubles, c’est-à-dire les voir tels qu’ils sont, en étant neutres.

« Ce qui trouble les hommes, ce ne sont pas les choses, mais les jugements qu’ils portent sur ces choses. […] Lorsque donc nous sommes traversés, troublés, chagrinés, ne nous en prenons jamais à un autre, mais à nous-mêmes, c’est-à-dire à nos jugements propres. Accuser les autres de ses malheurs est le fait d’un ignorant ; s’en prendre à soi-même est le fait d’un homme qui commence à s’instruire ; n’en accuser ni un autre ni soi-même est le fait d’un homme parfaitement instruit » (3).
Nous sommes très influencés par les médias, qui nous désinforment en diffusant en permanence des informations sur le Coronavirus, parfois contradictoires entre elles, comme le montrent les scientifiques. Nous sommes aveuglés par les chiffres, alors qu’il n’y a pas plus de morts du coronavirus que de morts sous l’effet d’autres maladies chroniques.

Nous vivons dans une société matérialiste de surconsommation, de surproduction et de compétitivité, et lorsque les événements ne se passent pas comme nous le désirons, alors nous sommes malheureux. Le stoïcisme préconise de retourner à des choses simples, à un mode de vie plus modéré, et de percevoir et accepter que nous n’avons aucun contrôle sur ce qui ne dépend pas de nous.
« Ne demande pas que ce qui arrive comme tu veux. Mais veuille que les choses arrivent comme elles arrivent, et tu seras heureux. » (4)
Le stoïcisme peut être perçu comme une philosophie de résignation concernant ce qui nous arrive. Au contraire, c’est une philosophie d’action.
L’ataraxie stoïcienne passe par la pratique des vertus et la connaissance et l’application des lois de la nature.

La pratique des vertus

« Accommode-toi aux choses que t’assigna le sort ; et les hommes, que le destin te donna pour compagnons, aime-les, mais du fond du cœur. » (5)
Les vertus sont nombreuses, et l’amour en fait partie, comme le souligne Marc Aurèle. L’amour de ses proches et de son prochain. Pour les stoïciens, la bonté de l’homme fait partie des lois de la nature. Et il dépend de nous de les apprendre pour les connaître et les appliquer, conformément à la loi naturelle.
« Lorsqu’un homme a commis une faute contre toi, considère aussitôt quelle opinion il se fait du bien et du mal pour avoir commis cette faute. Lorsque tu le sauras, en effet, tu aurais pitié de lui, et tu n’éprouveras ni étonnement ni colère. Car, ou bien, toi aussi tu te fais la même opinion de lui sur le bien, ou une autre analogue, et il faut donc lui pardonner. Mais si tu ne partages plus ses opinions sur le bien et le mal, tu seras plus facilement bienveillant à celui qui les distingue mal. » (6)

L’amour est une vertu, mais il y en a d’autres : la tolérance (toujours avec discernement), la justice, l’humilité ou encore la générosité, comme l’évoque Sénèque dans son œuvre De la vie heureuse. Ne pas aimer son prochain est une maladie de l’âme. Tomber dans la misanthropie est chose facile, peut-être encore plus à notre époque, avec la pratique de la corruption, les crimes envers des personnes, l’intolérance face à certaines positions comme l’écologie…). Ce à quoi Marc Aurèle répond : « Prends garde de ne jamais avoir envers les misanthropes les sentiments qu’ont les misanthropes à l’égard des hommes. » (7)
Toujours dans l’ouvrage De la vie heureuse, Sénèque dit qu’il existe l’archétype du souverain bien en nous, expliquant qu’il est « une âme qui méprise le hasard et dont la vertu fait la joie ; ou bien c’est une invincible force d’âme connaissant les choses, calme dans l’action, pleine de bienveillance et d’attention dans ses rapports. » (8)
Nos instincts quant à eux ne doivent pas être refoulés mais éduqués. Ils ne doivent pas être cantonnés au simple hédonisme (9), mais orientés vers leur véritable nature, qui passe par la modération et les vertus.
« Quoi d’autre que d’honorer et de bénir les Dieux, de faire du bien aux hommes, de les supporter et de ne pas les prendre en aversion. » (10)

Nous vivons des moments difficiles, et même inédits. Certains peuvent même nous toucher de près ou de loin. Que pouvons-nous y faire ? Sur quoi pouvons-nous agir ?
Depuis plusieurs mois, pendant le confinement et ensuite après, des âmes dignes sont entrées sous les projecteurs. Pour exemple, prenons tous ces héros du quotidien (personnel médical, personnel de magasins, entreprises qui se sont reconverties pour assurer livraison de maques, fabrication de gel, le mouvement Pour Eux visant à nourrir les sans-abris, …) qui ont bravé le virus pour aider leurs prochains.
Même le virus qui a mis en arrêt la planète n’a pas pu arrêter la pratique de la bienveillance – et du courage – face aux circonstances dangereuses.
« Ai-je fait acte utile à la communauté ? Je me suis donc rendu service. Aie toujours et en toute occasion cette maxime à ta portée, et ne t’en dépossède jamais. » (11)

Le stoïcisme propose donc des solutions pour gérer l’instabilité, l’incertitude du monde d’aujourd’hui. En maîtrisant ce qui dépend de nous, nous devenons acteur de notre vie et de notre destinée. Nous ne sombrons pas dans l’état de victime et nous pouvons trouver des solutions créatives pour nous adapter aux circonstances. Une voie philosophique atemporelle qui reste d’actualité et efficace dans des temps troublés.

(1) En anglais VUCA (Volatility, Uncertainty, Complexity, Ambiguity). Acronyme signifiant Volatile, Incertain, Complexe et Ambigu. Concept élaboré par l’armée américaine pour étudier les quatre composantes auxquelles sont confrontées les forces armées dans le théâtre d’opérations. Ce concept a été repris et adapté dans le monde des affaires et de la stratégie des entreprises
(2) Marc Aurèle Pensées pour moi-même suivi du Manuel d’Épictète, page 183, Éditions Garnier-Flammarion, 1999, 222 pages
(3) Ibidem, page 185
(4) Ibidem, page 187
(5) Ibidem, page 94
(6) Ibidem, page 104
(7) Ibidem, livre VII page 110
(8) Sénèque, De la vie heureuse, page 20, Éditions Librio, 2018, 90 pages
(9) Doctrine philosophique attribuée à Aristippe de Cyrènes selon laquelle la recherche de plaisirs et l’évitement de souffrances constituent le but de l’existence humaine
(10) Marc Aurèle Pensées pour moi-même suivi du Manuel d’Épictète, Livre V page, 83, Éditions Garnier-Flammarion, 1999, 222 pages
(11) Ibidem, livre VI, p. 156
Lire l’article de Laura Winckler, Bouddhisme et stoïcisme, deux réponses atemporelles convergentes pour gérer les époques instables et troublées, paru dans la revue Acropolis N° 323, novembre 2020
par Loïc YAMBILA

  • Le 24 novembre 2020
  • Philosophie
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