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Tag Archives : Communication

2017, la crise du temps

Un faisceau d’entreprises innovantes transforme la manière de communiquer et de collaborer entre les individus et les machines

Un faisceau d’entreprises innovantes transforme la manière de communiquer et de collaborer entre les individus et les machines

Un faisceau d’entreprises innovantes transforme la manière de communiquer et de collaborer entre les individus et les machines

Nos démocraties occidentales présentent des signes de grande anxiété, de peur et de colère, qui montent des classes moyennes. Une incompréhension manifeste se produit entre les élites et les peuples.
La clé économique ne permet pas d’expliquer l’ensemble de ce phénomène, puisqu’il se produit même dans des pays où l’économie affiche une santé excellente, comme c’est le cas aux Pays-Bas, où malgré tout, monte la xénophobie.
La déstabilisation des sociétés est assez flagrante car plusieurs démocraties ont vu la destitution de leur président par la rue, écœurées par la corruption et les mensonges des régimes forts qui résistent en diminuant les libertés et en pratiquant la répression et la démagogie.

Reprenant les vieilles ficelles des sophistes que Platon avait déjà dénoncés, beaucoup, dans la classe politique sont tentés de suivre cette pente. Platon leur avait reproché trois choses qui semblent assez actuelles :
– Il ne suffit pas d’être un bon communicant pour diriger une cité. Encore faut-il avoir des idées et un projet.
– Le relativisme allié à la liberté conduit la démocratie vers la tyrannie. Car la relativisation des erreurs et des mensonges empêche de porter un regard critique sur la tyrannie.
–  Le vrai doit l’emporter sur l’agréable et non l’inverse, la vie facile mue par la quête du plaisir entraînant toujours l’égoïsme et les mensonges.

Comment en sommes-nous arrivés là ?
Trois pistes semblent se conjuguer. Deux sont assez connues : la première, celle de l’épuisement et de la désintégration de nos systèmes démocratiques, incapables de se renouveler, comme si l’on était arrivé à la fin d’un cycle idéologique, laissant le champ libre au populisme et aux solutions identitaires extrêmes. L’autre, celle de la mondialisation et des crises qui ont déstabilisé les identités ainsi que les imaginaires et les représentations sociales qui perduraient depuis des siècles, encourageant le retour au protectionnisme de tout ordre.
Thomas L. Friedman, triple prix Pulitzer nous en propose une troisième : nos démocraties occidentales vivraient d’abord et avant tout une crise du temps et celle-ci se reflète notamment dans le domaine des formes du travail, qui, depuis dix ans, ont connu des mutations multiples. Cette « grande transformation », explique-t-il, « déstabilise et angoisse un bon nombre de la population ». Dans son livre (1), il souligne l’importance de l’année 2007, expliquant qu’il s’est produit une révolution équivalant à celle de la fin du XVe siècle, avec l’apparition de l’imprimerie de Gutenberg.
L’année 2007 commence bien. Dès le 9 janvier, Steve Jobs annonce qu’Apple vient de réinventer le téléphone mobile. Dans son sillage, sans évidemment se mettre d’accord, un faisceau d’entreprises innovantes transforment la manière de communiquer et de collaborer entre les individus et les machines. Hadoop décuple la capacité de stockage des ordinateurs. Google lance un droïde et son propre système d’exploitation. AIRBNB naît à San Francisco. Amazon commercialise les Kindle. IBM développe un ordinateur cognitif Watson, capable d’associer un apprentissage de haut niveau et une intelligence artificielle. Facebook et Twitter accèdent à la dimension mondiale.  L’éclairage aux led et la voiture électrique décollent de manière exponentielle. Les biotechnologies profitent de l’explosion des puissances de calcul et de stockage des ordinateurs. Friedman parle d’une « grande bascule ». Il signale trois accélérations majeures : celle du marché par la globalisation ; celle de Mère nature à travers le changement climatique ; et la loi de Moore : datant des années 60, elle explique que la puissance des ordinateurs allait croître de manière exponentielle pendant des années et cette croissance est arrivée en 2017 à une limite physique, celle de la taille des atomes.
Toutes ces nouveautés auraient peut-être être assimilées et conscientisées par le grand public, mais en 2008, s’est produite la grande crise économique et financière qui a déstabilisé les gouvernements pendant de longues années. Ces derniers n’étaient pas du tout préparés à faire face à la crise et ainsi, toutes ces technologies et inventions nouvelles n’ont pas pu être canalisées par les systèmes éducatifs et de formation, car l’univers politique s’est gelé et disloqué. Les vrais enjeux furent occultés par la crise.
Dix ans plus tard, avec du recul, nous commençons à être conscients de tous ces bouleversements, au niveau des formes de travail mais également de la pédagogie et de l’éducation, qu’il faut mettre en place pour les assimiler. « Beaucoup ont de plus en plus l’impression de perdre les pédales : nous ne savons pas nous adapter à la vitesse à laquelle le monde change. […] Il y a une dissymétrie entre l’accélération du rythme du changement et notre capacité à inventer les systèmes d’apprentissage, de formation, de management, les amortisseurs sociaux et les régulations qui permettraient aux citoyens de tirer le meilleur de ces accélérations tout en atténuant leurs pires effets ».

La guerre des mots se joue aujourd’hui entre ceux qui proposent la formule du mur (fermer tout aux frontières) et ceux qui prônent l’ouverture. Pour la réussir, Friedman conseille de travailler à « muscler la résilience des sociétés » et celle-ci dépend à 90 % de l’optimisation de l’apprentissage.
Comme les philosophes anciens l’avaient déjà préconisé, le monde politique et économique devrait davantage comprendre que la clé de l’équilibre pour danser dans l’œil du cyclone, c’est l’éducation.

(1) Merci d’être en retard, suivre dans le monde de demain, Thomas L. Friedman, Éditions Saint Simon, 2017, 400 pages, 22,80 €
Par Fernand SCHWARZ
Président de la Fédération des Nouvelle Acropole

  • Le 31 mars 2017
  • Editorial
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La qualité de la vie, une préoccupation essentielle ?

Depuis quelques années, tout est fait pour améliorer la qualité de vie de l’homme. Cela passe par son développement personnel sur tous les plans. Est-il heureux pour autant ? L’essentiel n’est-il pas de donner à la vie son vrai sens ?

270 - Qualite de vie LSuite à la conséquence logique des exigences de notre civilisation technologique, basée sur la qualité et le rendement de ses produits, les regards se sont finalement tournés vers l’être humain, facteur principal de tout modèle de civilisation, technologique ou non. Au fil des années, on est arrivé à la conclusion que la qualité objective de la production matérielle est d’autant meilleure que l’homme-producteur se sent mieux. Une fois de plus, les machines seules ne peuvent pas réaliser une œuvre finie ; le simple stimulant d’avoir plus de biens ou de gagner plus d’argent n’est pas suffisant pour rendre l’homme heureux. C’est pour cette raison que l’amélioration de la qualité de vie est à la mode.

La qualité de vie, une préoccupation essentielle

Dans des milliers d’entreprises, grandes, petites et moyennes du monde entier, on a lancé des campagnes pour améliorer l’estime de soi, l’efficacité consciente, le sentiment de participation et de responsabilité, le développement des relations humaines et de la bonne communication des uns avec les autres. Tout cela est très bien et d’ailleurs des avancées positives ont été constatées dans de nombreux cas : des gens plus décontractés, plus attentifs à leur travail et plus en phase avec l’environnement dans lequel ils évoluent.

Mais nous croyons que les choses ne s’arrêtent pas là. Cette qualité de vie a une motivation de départ qui ne couvre pas tout le spectre humain ;  elle recherche une production plus importante et meilleure, mais elle ne prend habituellement pas en considération les autres besoins inhérents à la condition d’être en vie, de faire face à des douzaines et des douzaines de situations qui n’ont pas toujours à voir avec le travail et la productivité. L’être humain requiert, logiquement, des moyens matériels – plus ou moins technicisés – qui lui permettent de subsister dignement. Et surtout qui lui permettent d’entrer en compétition et d’obtenir une place au milieu de sociétés spécifiques, qui mesurent les gens en fonction de ce qu’ils possèdent et par le prestige qu’ils atteignent.

Mais on ne peut pas oublier qu’il existe, à côté de cette subsistance matérielle, des sentiments pas toujours définis qui réjouissent ou torturent – selon les cas – ceux qui en font l’expérience ; des idées pas toujours claires ni résolues qui rendent difficile une avancée sûre, le choix de l’avenir. Et on ajouterait encore ces autres expériences, spirituelles ou métaphysiques, qui surgissent d’un coup dans la conscience, demandant des réponses aux énigmes de toujours.

Le bien-être de l’homme sur tous les plans

Pour parler d’une qualité de vie authentique, nous devons considérer l’homme dans son intégralité, et pas seulement par rapport à ce qu’il peut donner et produire. Il faut envisager une éducation qui, depuis les premières années, s’occupe du développement psychologique, mental, moral et spirituel de ceux qui, plus tard, devront donner le meilleur d’eux-mêmes, en étant arrivé dans un premier temps à être meilleurs.

Au milieu psychologique, il est important que chacun sache distinguer ses émotions quotidiennes et passagères des sentiments profonds qui peuvent et doivent être alimentés pour perdurer et procurer un bonheur stable. Tant qu’on mettra en relation la qualité de vie avec des expériences émotionnelles superficielles et changeantes, en mettant là l’accent et l’intérêt, il n’y aura pas de personnes sûres d’elles-mêmes ni des gens qui les entourent. Ce qui est changeant peut être distrayant pour un temps, mais ne porte pas le sceau de la qualité.

Au niveau mental, il ne faut pas seulement étudier, comme on le comprend aujourd’hui, car la réalité nous démontre la facilité avec laquelle on oublie ce qu’on a mal appris. Il faut apprendre, se souvenir intelligemment, accumuler ses propres expériences et celle d’autres, rendre vital tout apprentissage pour obtenir, également à ce niveau, une qualité de vie.

Au niveau moral, et bien que les exemples quotidiens indiquent le contraire, il est indispensable de développer les vertus latentes chez tous les êtres humains. Peu importe qu’il ne soit pas à la mode d’être bon, honnête, juste, prudent, courtois, courageux, généreux, digne ; sans ces caractéristiques et d’autres similaires, il n’y aura tout simplement pas de qualité de vie. Et les faits le démontrent.

Au niveau spirituel, sans tomber dans des formules fanatiques et intransigeantes, il faut offrir une voie de sortie aux inquiétudes de l’âme, qui veut savoir ce que nous faisons ici, dans le monde, d’où nous venons et où nous allons.  Les enseignements et conseils de grands sages, ceux d’hier et ceux d’aujourd’hui, ne manquent pas pour indiquer des perspectives allant dans ce sens. Il faut en profiter et laisser de côté la vanité fondée sur le préjugé que personne ne peut nous transmettre quoi que ce soit de valable et encore moins s’il s’agit de concepts qui ont traversé le temps depuis l’Antiquité.

Nous voulons tous vraiment une qualité de vie. Mais nous voulons donner à la vie sa véritable et large signification et que la qualité nous rende meilleurs à tous égards.

Alors nous serons plus efficaces, plus heureux, plus intelligents, un peu plus sages et nous pourrons  arborer avec fierté le qualificatif d’êtres humains.

Par Délia STEINBERG GUZMAN
Présidente internationale de Nouvelle Acropole
Traduit de l’espagnol par Gaëlle Schaefer
N.D.L.R. Le titre et les intertitres ont été rajoutés par la rédaction

  • Le 10 janvier 2016
  • Philosophie à vivre
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Pourquoi ne savons-nous pas exprimer ce que nous ressentons ou pensons ?

Bien que les nouvelles nous arrivent de partout à toute vitesse, nous ne savons pas grand chose de ce que pensent ou ressentent nos proches et nous-mêmes.

Un des très nombreux paradoxes qu’il nous incombe de vivre est que, à l’ère des communications massives immédiates, nous, les êtres humains, avons toujours plus de problèmes de communication.
Pourquoi ne savons-nous pas exprimer ce que nous ressentons ou pensons ?
Aujourd’hui, nous pouvons savoir au bout de quelques heures, parfois quelques minutes, ce qui se passe à l’autre bout de la terre. Les nouvelles arrivent à toute vitesse ; radio, télévision, journaux et revues se chargent de diffuser grands et petits événements, en leur donnant chacun leur nuance de couleur de prédilection et nous, nous sommes là, parlant pour ainsi dire avec l’écran du téléviseur ou la radio, dialoguant avec un journal ou des pages imprimées en couleur où apparaissent les personnages les plus célèbres.
Néanmoins, nous ne savons quasiment rien de ce qui se passe dans l’âme de nos amis et des membres de notre famille, nous ne sommes pas très sûrs de ce que nous ressentons et pensons nous-mêmes et, ce qui est pire, il nous en coûte beaucoup de communiquer véritablement les uns avec les autres.

Du manque d’authenticité et de spontanéité …

Les gens croient qu’ils aiment et croient qu’ils pensent mais ils ne sont pas très convaincus de l’authenticité de leurs affections et de leurs opinions. La preuve en est la rapidité avec laquelle beaucoup changent d’opinion et de partenaire… Les liens parentaux et filiaux se maintiennent parfois par nécessité ou par conventionnalisme, mais il manque une véritable affection et une expression naturelle de cette affection. Il manque les mots et les gestes spontanés qui indiquent l’existence de liens affectifs. Sans parler de saluts et de grognements conventionnels, de mots préfabriqués pour diverses circonstances ou autre discussion quelconque. Et dans un échange peu cordial d’expressions, le contact humain reste réduit à des impulsions émotionnelles qui vont et viennent, apparaissent et disparaissent avec la même instabilité que ces impulsions.
Les idées sur la vie et ses multiples aspects sociaux, politiques, économiques, culturels, religieux et tant d’autres, varient selon des modes qui oscillent, et personne ne veut passer pour quelqu’un de «bizarre», on copie les modes, en changeant d’apparence selon d’où vient le vent. Nous ne sommes pas non plus capables d’exposer avec clarté et éloquence notre manière de penser, parce qu’en réalité nous ne pensons pas, et le peu que nous pensons ne fait pas partie de nous.

… À l’absence de communication et d’affection dans les relations

Ainsi, nous restons sans communication dans le monde de la communication. Les moyens d’information nous stérilisent et avec eux commence et finit notre vie de relation. Les heures souvent occupées artificiellement nous empêchent de disposer de quelques moments de tranquillité et d’échange avec ceux qui nous entourent. Nous entendons si fréquemment des mots d’amour dans la bouche des personnages sur l’écran que nous ne ressentons plus le besoin de les dire à ceux que nous aimons. En plus, la force de la fiction rend fictive notre expression possible et non manifestée. Que se passe-t-il donc ?
Entre nous, je vois deux problèmes : absence d’idées et de sentiments – parce qu’on ne nous a ni éduqués ni préparés à les développer – et impossibilité d’exprimer ce que nous n’avons pas ou de façon très vague et indéfinie. Les échecs des idéologies en petit et en grand, les échecs sentimentaux de tous les jours, sont des signaux d’alerte sur l’instabilité de sentiments et d’idées que n’ont pas de base ni de configuration solide. Le manque de communication provient de l’insécurité pour dire ou faire quelque chose qui n’est clair ni pour nous ni pour les autres.
Je crois que revaloriser la sphère des sentiments et les reconnaître comme positifs s’impose, en concédant à chacun d’eux le rôle qu’il peut et doit jouer dans nos vies. Il nous revient de contrôler et éviter les émotions néfastes et de renforcer celles qui sont bénéfiques et, de même, de revaloriser la capacité de penser, d’analyser, de choisir, de décider et de se déterminer en agissant en conséquence ; surtout, d’apprendre à raisonner par soi-même sans se laisser influencer par ce qui est accepté ou pas par les courants d’opinion.
De là à une expression correcte, il ne reste qu’un pas. Il est impossible de ressentir véritablement et de ne pas le manifester, tout comme il est impossible de penser sans agir en accord avec ces idées. Au monde des communications, il faut ajouter la communication entre les hommes qui savent quoi se communiquer.

Par Délia STEINBERG GUZMAN
Présidente internationale de Nouvelle Acropole
Traduit de l’espagnol par M.F. Touret
N.D.L.R. : Le chapeau et les intertitres ont été rajoutés par la rédaction

  • Le 4 septembre 2015
  • Philosophie à vivre
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