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Categories : Hommage à

Hommage à Erik Sablé

La quête du dedans

Érik Sablé est mort le 30 août 2020. Il était passionné par l’Orient, les voyages, les spiritualités orientales (bouddhisme et hindouisme) et la méditation. Il a de plus effectué des traductions du sanscrit et du tibétain, ce qui lui a permis de publier des textes inédits.

Nous avons appris tardivement et avec un immense regret la mort cet été de notre ami Erik Sablé. Nous avions fait sa connaissance il y a plus de 15 ans à l’occasion de la parution d’un de ses nombreux ouvrages et d’une interview pour la revue Acropolis (1). Depuis lors, des liens d’amitié s’étaient noués entre l’équipe de Nouvelle Acropole et cet érudit, amoureux de la connaissance et de la spiritualité mais, aussi et surtout, ce pratiquant de la vie intérieure.

Ecrivain et conférencier prolixe, auteur de plus de 60 ouvrages, Erik Sablé avait toujours répondu à nos invitations à s’exprimer et à partager ses pratiques avec le public, avec une très grande générosité, refusant inlassablement d’être dédommagé pour le temps qu’il accordait. Traducteur du tibétain et du sanscrit, il dirigeait une merveilleuse petite collection des « chemins de sagesse » aux Éditions Dervy. Nous adressons nos plus chaleureuses pensées à ses proches. Il nous manquera.

« J’aime bien la définition de Dieu qu’Allan Watts avait donné à son fils : « Dieu est le dedans. »» En entendant cela, son fils avait cassé en deux le petit morceau de bois avec lequel il jouait, pour chercher Dieu « au dedans ». Alors son père lui avait dit : « Tu vois, maintenant tu as encore deux extérieurs. Ce n’est pas le dedans… »
Nous pouvons nous interroger et nous demander où se trouve ce mystérieux dedans ? Tout ce que nous percevons est un dehors. Nos pensées les plus intimes sont elles aussi un dehors, tout comme les galaxies les plus lointaines.

Découvrir l’espace du dedans nécessite le creusement de la conscience en son centre, une conversion du regard, qui se renverse, comme un gant que l’on retourne. Alors, nous basculons dans le dedans, un espace où tout est conscience, tout est Dieu.
Le dedans est l’envers du monde, tout en étant le monde. Mais comment dire l’indicible ?

Erik Sablé, Brèves de Sagesse, Abécédaire du détachement et de la sérénité, Éditions Dervy, 2016, 120 pages

(1) Interview de Érik Sablé, René Schwaller de Lubicz réalisé par Isabelle Ohmann et paru dans la revue Acropolis N° 183 – mai-aout 2004
par Isabelle OHMANN

  • Le 30 novembre 2020
  • Hommage à
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Charles de Gaulle : de l’histoire au mythe, un héros pour la France

Il est des figures qui écrivent et transcendent l’histoire, marquant de leur sceau des périodes troubles en y apportant vision et puissance d’action. S’identifiant totalement à la destinée de leur pays, ils répondent aux nécessités de l’histoire comme à l’appel de leur âme.

Leur destin extraordinaire ne s’accommode pas de la médiocrité, de la petitesse, des combines politiciennes qui asservissent aux contingences. À l’heure des plus grands périls, confiants en leur étoile, ils deviennent, du fait de leur haute stature, des piliers et des phares, capables de rassembler et de mener à bon port l’arche dans la tempête. On les appelle des héros. « À 49 ans, j’entrais dans l’aventure, comme un homme que le destin jetait hors de toutes les séries » (1) .

La mission

Tout jeune, Charles de Gaulle (1890-1970) , appelé le « petit Lillois » s’est senti investi d’une mission qui dépassait sa personne : restaurer le pouvoir et la légitimité de la France au sein des grandes puissances. Ardent patriote, il a embrassé la carrière militaire pour servir son pays et la haute idée qu’il s’en faisait et dont il connaissait parfaitement tant les hauts faits que les désastres historiques. À l’heure du péril, il va refuser la fatalité de la défaite et s’imposer par la force de son caractère : « Face à l’évènement, c’est à soi-même que recourt l’homme de caractère : son mouvement est d’imposer à l’action sa marque ». Son appel du 18 juin, dans une France humiliée par la capitulation, le désordre et la débâcle, résonne comme un défi pour l’honneur. Il partira pour Londres, seul pays européen encore libre, où Winston Churchill lui apportera son soutien.

Le visionnaire

Visionnaire pragmatique, il n’eut de cesse, dès les années 20, dans Le fil de l’épée (2), et Vers l’armée de métier (3), d’alerter les instances politiques et militaires de la nécessité de réviser la stratégie défensive et la tactique immobiliste de l’armée afin de contrer la menace montante de l’Allemagne nazie. Il fut aussi un homme de terrain puisqu’il mena la seule contre-offensive victorieuse de la Première Guerre mondiale, fut blessé, fait prisonnier et initia cinq tentatives infructueuses d’évasion. Il disait ne jamais renoncer et sut montrer sa grande force de résilience suite aux graves échecs essuyés par les Forces françaises libres : la destruction en juillet 1940 de la flotte française à Mers el Kébir par les alliés britanniques (afin qu’elle ne tombe pas aux mains des forces de l’Axe), l’a profondément meurtri. Mais chez ce pessimiste actif, « l’espérance est une détermination héroïque de l’âme et sa plus haute forme est le désespoir surmonté. »

L’homme

Habile stratège, lucide et assuré dans ses jugements, insensible aux idéologies, doté d’une grande capacité d’adaptation, il ne concèdera rien au désir de plaire, ni à Joseph Staline (allié stratégique pendant le conflit) ni à Franklin Delanoe Roosevelt qui tenait la France pour une puissance de seconde zone. Il savait écouter, mais lent dans sa délibération, il exigeait ensuite promptitude dans l’action. Redoutable communicant, il avait compris l’importance des médias qu’il utilisa largement pendant son mandat présidentiel. La magie de son verbe soulevait les enthousiasmes : « L’action met les ardeurs en œuvre mais c’est la parole qui les suscite ».

Son humour décapant faisait mouche, suscitant autant l’irritation qu’une dévotion inconditionnelle. On le disait dur et son inflexibilité lui valut des inimitiés durables ; mais c’était un homme de parole, fidèle en amitié qui inspira aussi des loyautés durables. Cette exigence constante, il se l’appliquait à lui-même, dans une philosophie de vie toute stoïcienne : « Se dominer soi-même doit devenir une sorte d’habitude, de réflexe obtenu par une gymnastique constante de la volonté ». Son intégrité était légendaire : il tenait à payer scrupuleusement ses factures personnelles pendant ses mandats présidentiels (1958-1969). Homme de mémoire, il dialoguait avec l’avenir mais n’oubliait rien et sa froideur apparente n’avait d’égal que l’attention qu’il portait aux familles de ses collaborateurs. Homme de mesure, il savait faire la part des choses et ne renia jamais ceux qui l’avaient aidé ou guidé, même s’ils l’avaient trahi ou abandonné ultérieurement.

L’épreuve

Chef conscient de l’être, il recherchait l’unité des forces. Il fut confronté à la responsabilité de l’homme de pouvoir dont les choix engagent : la phase de séparation avec l’exil volontaire à Londres, sa condamnation à mort par contumace par le gouvernement de Vichy ; puis l’affrontement et la mise en place d’un mouvement de résistance ; enfin le retour triomphal en 1945 où il acquiert une stature internationale. Puis à nouveau le désaveu en 1946 et la traversée du désert, le rappel au pouvoir en 1958 pour résoudre la crise de l’Algérie, le plébiscite de 1965 et son élection au suffrage universel ; le départ définitif en 1969 suite aux soulèvements de mai 68. Cet homme capable de susciter les plus nobles élans de dépassement et de courage se trouvait démuni et « manquait le but face à l’hostilité des médiocres » comme en a témoigné son premier ministre et successeur Georges Pompidou.

De Gaulle qualifiera mai 68 comme « l’éclatement d’une société d’abondance » : « tout le monde en veut plus, toujours plus », léguant à la postérité une réflexion puissante sur l’écroulement moral d’une société qui s’ennuie et tombe dans l’hybris (4).

Dans ses années de solitude, il rédigera ses Mémoires de guerre (5). Conscient que seule l’épreuve forge les âmes nobles, « La difficulté attire l’homme de caractère car c’est en l’étreignant qu’il se réalise lui-même », il reconnaît la valeur pédagogique de l’échec : « À beaucoup appris, celui qui a connu la peine. » Après sa mort, survenue le 9 novembre 1970, beaucoup revendiqueront sa filiation mais peu sauront conserver son éthique.

Le mythe

À l’heure de la célébration du 50e anniversaire de sa mort, le mythe du général de Gaulle, au nom prédestiné, perdure au-delà des enjeux partisans ; peut-être parce qu’il a su, dans les heures sombres de notre histoire, incarner l’homme providentiel, réveiller la flamme combattante des idéalistes et relever un pays écrasé par la défaite morale et l’incurie de ses gouvernants. Père fondateur, à l’éthique austère, gouvernant habile, il remit l’économie à flot et dota le pays d’une nouvelle constitution (avènement de la Ve République) ; il promut des avancées sociales et d’émancipation féminine (droit de vote en 1946, légalisation de la pilule). Puis roi exilé par l’ingratitude des siens, il quitta le pouvoir suite au référendum perdu de 1969, ne s’estimant alors plus légitime pour représenter le peuple français.

Le philosophe Platon n’eut pas renié ses vertus de discernement, de courage, et de juste mesure, lui qui pensait que les hommes les plus sages devaient assumer le pouvoir, car seuls peuvent gouverner les autres, ceux qui se gouvernent eux-mêmes.

Les gloires nationales n’ont pas vocation à des commémorations solennelles mais à raviver le fil de la mémoire pour construire ensemble un futur digne : la clé est dans le cœur de l’homme.

(1) Les citations extraites des œuvres du général de Gaulle, ont été tirées du hors-série Le Point de juin, juillet 2020 : Penser, résister, gouverner, De Gaulle.
(2) Le Fil de l’épée et autres écrits, Charles de Gaulle, Éditions Plon, 1999, 824 pages
(3) Vers l’armée de métier, Charles de Gaulle, Éditions Berger-Levrault, 1944
(4) Signifie démesure
(5) Mémoires de guerre, Charles de Gaulle, Éditions Gallimard, collection La Pleïade, 2000, 1505 pages
par Sylvianne CARRIÉ

  • Le 28 octobre 2020
  • Hommage à
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Geneviève de Paris, Dame de Paris, Dame de France

Geneviève (vers 420 – 502), dont on célèbre en 2020 le 1600e anniversaire de sa naissance,  réunit plusieurs facettes d’une féminité accomplie. Elle est comme une étoile parmi les êtres humains dans un monde désorienté qu’est le Ve siècle après J.-C. Elle a conduit des actions très concrètes éclairées d’une grande vie intérieure. Elle a réuni les vertus de Mars et de Vénus pour jouer un rôle puissant toujours vivant aujourd’hui à Paris.

Le Ve siècle est une période d’effondrement de la civilisation gallo-romaine à l’image de ce que nous vivons aujourd’hui. Cette période est marquée par un affaiblissement moral après plusieurs invasions dont celles des Huns, guerriers sanguinaires qui massacrent la population et détruisent les infrastructures qui ont fait l’apogée d’une douce et paisible civilisation. Beaucoup de villes ont été détruites. Un noyau d’individus maintient un équilibre fragile au nord de la Loire. Ils sont d’origines diverses, leur unité est inspirée par les valeurs de la paix qui ont inspiré les Gallo-Romains. L’époque est incertaine, avec un risque d’effondrement de cette société, structurée uniquement par le religieux (la religion catholique romaine – concile de Nicée). L’aristocratie gallo-romaine au pouvoir ne sait plus trouver la stratégie politique permettant un renouveau. Dans ce contexte, Lutèce est une toute petite cité réunissant des naufragés qui ont échappé au drame. La densité de la ville s’est accrue considérablement avec tous les Anciens apeurés qui gardent en mémoire les atrocités de l’invasion.

Geneviève, Dame magicienne

Née à Nanterre vers 420 selon les chroniques, elle est d’origine germanique et probablement franque. Son père, officier a réalisé des victoires notables face aux invasions. Elle a reçu une éducation gallo-romaine très raffinée avec un attachement aux valeurs de la Rome antique (La Pax romana).
À 7 ans, elle prend  conscience de sa vocation mystique grâce à la rencontre avec Germain d’Auxerre qui reconnaît en Geneviève, une grande maturité d’esprit et une grâce naturelle. Elle se dévoue déjà aux pauvres et rentre en méditation naturellement. Elle promet à Germain  de se consacrer à une vie mystique. À 15 ans, elle prend le voile et fait le choix d’être dans le monde et de servir le peuple. À 20 ans, elle se consacre à la cité Lutèce, à l’image de la vestale romaine, gardienne du Feu sacré de la cité : symbole de la lumière protectrice du futur Paris, cœur de la France.

Geneviève, une  vie contemplative

Geneviève pratique la pietas romaine (1) comme un état de disposition intérieure à la volonté divine, l’obéissance aux principes supérieurs. Elle a foi en un principe d’union et d’amour. Elle incarne la douceur et la bienveillance. Suite à une guérison miraculeuse, elle laisse donc dans la mémoire collective l’expérience d’une héroïne qui renaît de ses cendres. Les témoins racontent qu’elle est entourée de douze compagnes spirituelles (ou vertus) : la foi, l’abstinence, la patience, la magnanimité, la simplicité, l’innocence, la concorde, la charité, l’obéissance, la chasteté, la vérité, la prudence. Elle réunit autour d’elle un cercle de femmes qui méditent avec elle.

Geneviève, une vie active et politique

Elle donne la force morale. Sa confiance est inébranlable. Sa devise est « Riche pour les pauvres, pauvre pour elle ». Elle donne l’exemple du dévouement auprès des plus humbles, des plus pauvres. Elle distribue des pièces d’or pour soutenir les artisans, les maçons, les tailleurs de pierre…, dans une époque économique difficile. Ayant hérité de terres, elle procure un travail digne aux paysans, ses amis. Elle nourrit Lutèce. Elle est membre du conseil municipal de la cité et connaît les officiers qui conduisent les batailles. Grâce à ses nombreuses connaissances, elle apporte un éclairage politique et véhicule avec elle  sang-froid, patience, diplomatie et modération. Elle reconnaît que l’empire d’Occident risque de disparaître. Esprit réaliste et pragmatique, elle pressent que les Francs auront bientôt un destin national. Elle retrouve chez eux son caractère inébranlable et téméraire. Elle entretient des liens amicaux avec Mérovée, roi des Francs. Son fils, Childéric, la vénère parce qu’elle protège Lutèce et qu’elle donne des conseils avisés. Geneviève est une femme directe et décidée qui, avec ses yeux bleus, ses cheveux blonds et son teint pâle, ressemble à bien des femmes de sa tribu.
Geneviève possède un don de guérison. Elle  accomplit des miracles  sans vanité auprès des épileptiques, des dépressifs, … Sa réputation franchit les frontières.

Des expériences marquantes, des légendes dans le cœur des Parisiens

La vie de Geneviève a été marquée, entre autres, par trois grandes victoires : la victoire sur les Huns ; le siège de Lutèce par Clovis ; la construction de la Basilique Saint -Denis.

Dotée d’une grande stratégie politique, Geneviève a permis ainsi de sauvegarder Lutèce comme cité. Face aux Huns et Attila,  la peur panique des Lutéciens crée un risque d’effondrement de la cité. Tous veulent s’enfuir. L’état d’esprit est celui de la démission. Geneviève s’oppose à l’évacuation de la ville malgré de vives critiques. Elle sait que les Huns se dirigent vers Orléans et donc que Lutèce ne risque rien. Geneviève et les femmes s’enferment dans un baptistère pour prier et méditer des journées entières. Elles redonnent espoir, foi et confiance aux hommes pour maintenir la cohésion de la cité. Comme Gandhi, Geneviève inspire par la méditation et la prière. Les Huns ont été vaincus à Orléans ! Lutèce est sauvée et Geneviève est portée en triomphe : elle est Dame de Paris.

476 marque la fin de l’Empire d’Occident. La Gaule tente de survivre. Geneviève incite les Francs à se convertir au christianisme par calcul politique : permettre l’unité autour de la foi catholique. Clovis convoite Lutèce. Son épouse, Clothilde est catholique et amie de Geneviève. Clovis conduit un siège contre Lutèce. Geneviève  organise une flottille pour aller chercher du blé et nourrir les Lutéciens affamés. Les portes de Lutèce resteront fermées à Clovis tant qu’il ne se convertira pas au catholicisme. Ce dernier se convertit au christianisme après la bataille de Tolbiac. Geneviève ouvre alors les portes de Paris pour accueillir Clovis et Clothilde.

Geneviève donne l’élan à la construction de la Basilique Saint-Denis.  Elle subventionne et dirige les travaux de cet édifice dédié à Denis, premier évêque de Lutèce. À la mort de Geneviève, Clovis l’inhumera dans un tombeau dans la Basilique. À noter que Clovis sera lui-même enterré à coté de Geneviève. La basilique Saint-Denis donnera une grandeur d’âme à la cité.

Aujourd’hui face au monde incertain dans lequel nous vivons, nous avons un grand besoin de retrouver l’esprit héroïque à l’instar d’hommes et de femmes de l’histoire comme Geneviève.

(1) Devoir ou dévotion aux dieux et à la famille et à la communauté et à l’État. Pour Cicéron c’est la vertu « qui nous exhorte à faire notre devoir envers notre pays ou nos parents ou d’autres relations de sang »
Source historique :
Chronique de la Vie de sainte Geneviève écrite 18 ans  après sa mort (env. 520 – 530) à la demande de sainte Clotilde
Bibliographie :
Sainte Geneviève, Joël Schmidt, Éditions Perrin, 2012, 198 pages
Geneviève de Paris, Max Gallo, Éditions XO, 2013, 151 pages
Sainte Geneviève, Janine Hourcade, Éditions Médiaspaul, 1998, 112 pages
par Marie-Annick LOYER

 

  • Le 26 septembre 2020
  • Hommage à Non classé
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