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Categories : Environnement

Renouer avec la Nature, Les esprits de la Nature

Dans le monde invisible, de nombreuses entités vivantes peuplent la Nature. La plupart des humains ne les voient pas. Certains humains sont sensibles à leur présence visible ou plus subtile. Jorge Angel Livraga, philosophe, nous invite à découvrir ou redécouvrir ce monde un peu étrange, dans son ouvrage « Les esprits de la Nature » dont nous présentons quelques extraits.

 Les esprits de la Nature sont présents dans toutes les traditions du monde avec des dénominations diverses mais des caractéristiques assez semblables. On les nomme élémentaux dans l’ésotérisme moderne, devas dans l’hindouisme, anges dans le christianisme.
Ce sont des êtres naturels et pas surnaturels, car ils font partie de la nature mais résident dans des plans plus subtils, énergétiques, non perceptibles par nos organes des sens physiques. Mais depuis toujours, des êtres humains ont su établir un contact avec eux.

Que sont les élémentaux ?

Ce sont des formes de vie à l’intérieur des éléments que l’on retrouve dans la nature : Le Feu, l’Air, l’Eau et la Terre. Ces quatre éléments correspondent aux quatre plans de la personnalité : la terre au plan physique, l’eau au plan énergétique, l’air au plan psychique et le feu au plan mental.
Les élémentaux ont leurs corps dans le plan pranique.

Selon les enseignements ésotériques, les esprits de la Nature existent sous une forme manifestée depuis la naissance du monde, bien avant l’arrivée de l’homme.
Dans l’Antiquité, fondées sur les Mystères, et beaucoup plus écologiques que les religions actuelles, les religions les avaient assimilés et intégrés dans leurs cultes. Régents des sources et des montagnes, des cours d’eau et des chemins, les esprits de la nature maintenaient des relations et des échanges physiques et psychiques avec les humains. Ils ont instruit les hommes dans beaucoup de domaines.

Il existe des esprits de la Nature dans chaque élément.

Les élémentaux de la Terre

Il s’agit des gnomes, des fées et des nains.

  • Les gnomes

  • Ils tirent leur nom du grec, gnome signifie « celui qui vit à l’intérieur de la terre ». Ils vivent et se déplacent dans la terre, étant en continuel mouvement, en expansionet en rétraction, pouvant atteindre des tailles semblables à celles des plus grands mammifères connus.

• Les nains

D’aspect humanoïde, ils ont une taille variable relativement petite. Ils sont dépourvus de conscience éthique et on ne peut les dire ni bonsni mauvais.Espiègles par nature, ils aiment se moquer de ceux qui les recherchent maladroitement mais sont, par contre, les serviteurs soumis des véritables mages. D’âge mûr, ils sont vêtus dans un style paysan tout au long de leur longue vie qui peut durer plusieurs siècles. Ils fuient le Soleil et adorent la lumière de la Lune, celle des petites lampes à huile et des vers luisants. De nature tranquille, ils ont coutume de rester très longtemps immobiles.

  • Les fées

    Leur apparence est semblable à celle des humains féminins, leur taille varie entre celle d’une personne minuscule et celle d’une personne de taille normale.Gouvernées par la Lune, elles aiment se réunir et danser en cercle dans les prairies entourées de bois. Elles sont expertes dans la connaissance des vertus occultes des plantes et des minéraux et sont habiles en enchantements, en magie et en sorcellerie. À l’époque des anciennes monarchies, elles avaient coutume de faire des dons aux nouveaux-nés sous forme de bénédictions, ou de malédictions. Généralement, elles aiment les enfants et les protègent des dangers. Elles sont attirées par les friandises et les douceurs. Elles aiment les sons harmonieux et les formes géométriques circulaires.

Les élémentaux de l’Eau

Il s’agit des sirènes, des néreides, des tritons, des ondines, nymphes.

  • Les sirènes

    Ces élémentaux de la surface de la mer. Les sirènes, du latinsiren, du grec seiren, sont « celles qui enchantent ou séduisent ». On les décrit avec une tête de femme et un corps d’oiseau et aussi de poisson. Alliées aux formes élémentales qui gouvernent les brises marines, elles produisent des sons harmonieux très semblables à la voix humaine, qu’elles peuvent imiter grâce à leurs pouvoirs télépathiques.

  • Les néréides

    Ce sont des puissants esprits de la nature féminins qui servaient d’escorte à Aphrodite, celle qui est née de l’écume. Elles peuvent atteindre de grandes profondeurs et habitent dans des grottes sous-marines. Traditionnellement associées à la royauté et la seigneurie, elles étaient sensées protéger les manœuvres délicates des anciens bateaux à voiles des rois et des empereurs.

  • Les tritons

    Les tritons sont les contreparties masculines des néreides et faisaient aussi partie de la suite de Neptune. Comme les néréides, ils ont la moitié supérieure du corps semblable à celui de l’homme, et la moitié inférieure semblable à celui d’un poisson allongé, à la manière d’un serpent de mer. Ils connaissent le secret des trésors immergés. Ils maintiennent les bateaux sur les eaux ou les poussent sur les rochers et les défoncent. Dans les temps anciens, ils conseillaient les voyageurs humains dans les sciences perdues, provenant de continents submergés.

  • Les ondines

    Elles doivent leur nom au latin unda, littéralement vague. Elles habitent les cours d’eau, spécialement ceux des régions où ils courent entre les rochers et se déversent en cascades écumantes et murmurantes. D’autres variétés sont marines et vivent dans des cavités. Leur forme, fémininedans sa partie supérieure, est indéfinie en dessous de la taille. Portant de longs cheveux, elles nagent à vive allure. Dans l’Antiquité, on disait qu’elles essayaient d’enchanter les voyageurs qui s’arrêtaient près des torrents, dans des endroits déserts. Elles détenaient certains bijoux, probablement des anneaux, qu’elles offraient dans l’intention que le chevalier qui les acceptait s’éprenne d’elle et leur fasse soumission.


  • • Les nymphes

    Leur nom vient du latin lympha, eau, et du grec nymphe, en relation avec les fontaines et les sources. Ce sont des élémentaux d’apparence féminine. Très belles, elles habitent dans les lacs et les eaux tranquilles. Elles sont aussi les gardiennes des sources cachées dans la forêt. Dans l’Antiquité, elles étaient gardiennes des tourbillons et on les disait aussi bien maléfiques que bénéfiques. Éternellement belles et jeunes, elles sont expertes en enchantements, en métaux magiques et en pierres précieuses au tréfonds desquelles on peut voir des choses lointaines, passées ou futures.

Les élémentaux de l’Air

Il s’agit des sylphes et des elfes.

  • Les sylphes

    La racine étymologique de leur nom est obscure, probablement gallo-romaine et dérivée des sons que produisaient les vents sur les harpes druidiques qu’on avait coutume de suspendre, dans les arbres sacrés, pour leur faire interpréter une musique non humaine. Les sylphes viventexclusivement dans l’air ; ils sont très difficiles à percevoir car ils courent et se déplacent constamment. Ils n’ont d’apparence humaine que la tête et ils ont deux ailes.

  • Les elfes

    Du celte faeries, les elfes sont des élémentaux aux très belles formes et très petits. À la façon des papillons éthérés, ils vivent dans le voisinage des fleurs parfumées et dans leur corolle. Leur corps est anthropomorphe. Leurs vêtements sont des sortes de tuniques courtes et légères. Leurs mouvements constants (avec des ailes toujours en mouvement) sont semblables à ceux des abeilles lorsqu’elles butinent les fleurs. Extrêmement énergétiques, ils possèdent de grands pouvoirs curatifs. Ils sont, pour certaines de leurs variétés, très attachés aux enfants et à ceux qui possèdent innocence et sensibilité artistique. La lumière les excite et l’obscurité les apaise. Ils apprécient les sons doux et les couleurs. Ils ont coutume de danser en rond en se tenant par la main et produisent des enchantements bénéfiques.

Les élémentaux du Feu

Il s’agit des salamandres.

Leur nom provient du grec et désigne un batracien urodèle, petit reptile noir taché de jaune, qui vit dans les lieux humides ou souterrains, dont la peau secrète un mucus très toxique et corrosif. Dans le feu des cheminées on peut les voir, à la façon de serpents noirs, le plus souvent en position verticale, qui se déplacent rapidement en se tordant sur eux-mêmes. La taille des salamandres est variable, depuis les petits vers qui s’agitent dans les fourneaux et les bûchers, jusqu’à celles, gigantesques, qui façonnent les formes étranges des éclairs et de la foudre. Ils enseignent à faire bon usage du feu intérieur.

Aujourd’hui, les hommes se sont coupés des esprits de la Nature car ils se sont éloignés de la Nature.
Nous vous souhaitons bonne lecture et de profiter de l’été et du contact plus facile avec la nature pour ouvrir votre cœur et votre esprit à d’autres dimensions de la réalité qui méritent toute notre attention et respect, pour rendre notre Terre plus habitable et harmonieuse. Nous lui devons bien cela.

Les Esprits de la Nature, Elfes, fées, gnomes… Giorgio LIVRAGA RIZZI,  Angel LIVRAGA, Éditions des 3 Monts, 2000, 142 pages, 14,03 €

 

(1) Les Esprits de la Nature, opus cité, page 142
Par Laura WINCKLER
À lire
Shinrin Yoku
Les bains de forêt, le secret de santé naturel des Japonais
Par le Professeur Yoshifumi MIYAZAKI
Éditions Trédaniel, 2018, 90 pages, 18 €
Qu’est-ce que le ShinrinYoku ? C’est un bain de forêt, une démarche contemplative, qui consiste à s’immerger au cœur de la nature, à marcher en forêt lentement, et à s’imprégner de tous ses sens, de la forêt. Cette pratique a d’incroyables bienfaits  sur notre santé : diminution du stress, stimulation du système immunitaire, amélioration du sommeil, de l’énergie ou encore de nos capacités de concentration. Très beau livre  pratique avec de superbes photos.

  • Le 30 juin 2018
  • Environnement
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S’inspirer des esprits de la Nature

L’été est un temps propice pour renouer notre lien avec la nature. Et si, en nous promenant dans les forêts, au bord de la mer ou devant un feu allumé, sous un ciel étoilé ou en regardant le beau ciel bleu au sommet des arbres, nous pouvions nous mettre à l’écoute de ces forces invisibles qui habitent et forgent ce bel univers ?

Nous vous invitons à cette exploration en découvrant deux ouvrages qui vous proposent de reprendre contact avec les anciens et toujours présents esprits de la Nature : Les esprits de la Nature dans les parcs de la Suisse romande Steve de Di Marco et Gorka Cruz, qui fera l’objet d’un premier article, et Les esprits de la Nature de Jorge Angel Livraga, dans un second article.

Les esprits de la Nature dans la Suisse romande

Les Éditions Cabedita viennent de publier un livre très original Les esprits de la nature dans les parcs de la Suisse romande. C’est un guide d’éveil au ressenti à travers les parcs de Suisse romande écrit par Steve Di Marco géobiologue, magicien, thérapeute et Gorka Cruz thérapeute en neurofeedback et ondes scalaires (1).

Au travers des exercices proposés et des photos répertoriant de façon précise l’emplacement de ces êtres merveilleux, ils invitent le lecteur à faire l’expérience sensorielle de ce ressenti.
La rencontre avec les élémentaux ou esprits de la nature permet d’expérimenter des émotions profondes et d’élargir son champ de conscience en s’ouvrant à des perceptions extra-sensorielles que les Anciens connaissaient et pratiquaient dans certaines conditions.
Ils proposent une classification née de leur expérience, tout en sachant que d’autres seront possibles selon les croyances ou références culturelles de chacun.

En tout cas, leur but est d’éveiller la conscience de l’expérimentateur aux manifestations bioénergétiques qui traversent la nature et l’être humain : « La conscience des énergies et de leur dimension vibratoire ouvre d’infinie possibilités de connaissances et d’explorations. Elle donne accès au vaste champ d’informations permettant de connaître la nature et l’effet subtil de tout objet, visible ou invisible. Comme toujours, c’est la qualité de l’attention et le temps passé à l’étude qui détermine le niveau de maîtrise. » (1).
On pourrait s’interroger sur cette classification qui peut sembler quelque peu fantaisiste, mais le travail a le mérite de sensibiliser le lecteur, par une approche pratique à une meilleure harmonisation avec lui-même, les autres, la nature et la vie en s’éveillant à l’authenticité, la simplicité de la vie et la profondeur de son âme par le contact avec des êtres invisibles, proches et lointains à la fois.

Il existe une autre référence sur le sujet, l’ouvrage de Jorge Angel Livraga sur Les Esprits de la nature qui fait l’objet d’un autre article de notre revue pour élargir les perspectives de l’étude.

Les esprits de la nature dans les parcs de la Suisse romande, Steve Di Marco et Gorka Cruz, Éditions Cabedita, 2018, 192 pages, 24 €
(1) Ondes électriques qui circulent et traversent tout ce qui est dans l’univers dans un mouvement hélicoïdal (spirale). Elles sont la base de la communication cellulaire et peuvent se transporter à des milliers de kilomètres avec un effet
de résonance
(2) Les esprits de la nature dans les parcs de la Suisse romande, Steve Di Marco et Gorka Cruz, Éditions Cabedita,
page 30
Par Laura WINCKLER

  • Le
  • Environnement
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« Il sera bientôt trop tard !… », le cri d’alarme de 15 000 scientifiques

Plus de 15 000 scientifiques ont signé un manifeste concernant l'état alarmant de la planète Terre

Plus de 15 000 scientifiques ont signé un manifeste concernant l’état alarmant de la planète Terre. En 1992, 1700 d’entre eux s’étaient déjà manifestés pour alerter le monde sur le même sujet. Qu’attendons-nous pour agir ?

« Il sera bientôt trop tard… » titrait le Journal le Monde du mardi 14 novembre 2017 (1). Un cri d’alarme lancé par 15 364 scientifiques, issus de 184 pays, inquiets de l’avenir de la planète, suite à un rapport publié par la revue Bioscience du 13 novembre 2017 (2), alors que s’est déroulée du 6 au 17 novembre 2017 la COP23 sur le climat à Bonn (3).

Plus de 15 000 scientifiques ont signé un manifeste concernant l'état alarmant de la planète Terre

Plus de 15 000 scientifiques ont signé un manifeste concernant l’état alarmant de la planète Terre.

Cet appel incite l’humanité à changer radicalement de mode de vie afin « d’éviter une misère généralisée et une perte catastrophique de biodiversité ». « Il sera bientôt trop tard pour dévier de notre trajectoire vouée à l’échec, et le temps presse » (1).

L’affaire n’est pas nouvelle. Vingt-cinq ans plus tôt, en 1992, lors du Sommet de la Terre à Rio,1700 scientifiques — dont près d’une centaine de prix Nobel —, exhortaient le monde à réagir face à la destruction de l’environnement, dans un rapport publié World Scientist’s Warning to Humanity, soulignant combien notre espèce était « sur une trajectoire de collision avec le monde naturel » si elle ne réagissait pas. « Si nous voulons éviter de grandes misères humaines, il est indispensable d’opérer un grand changement profond dans notre gestion de la Terre et de la vie qu’elle recèle » (4).

8 indicateurs sur 9 dans le rouge !

Le rapport de la revue Bioscience analyse l’évolution de 9 indicateurs mondiaux— entre 1960 et 2016 — dont 8 sont dans le rouge ! : ressources en eau douce, pêche, zones mortes maritimes, déforestation, abondance des vertébrés, hausse des températures, émissions de CO2 (dioxyde de carbone), croissance continue de la population mondiale. Le seul indicateur positif est la réduction de la couche d’ozone, réalisée par la communauté internationale.

À ces critères, on pourrait rajouter la pollution de l’air, la destruction des habitats naturels, le développement des espèces invasives, l’effondrement du nombre et de la diversité des insectes…

Les scientifiques sont tous unanimes : « L’humanité ne fait pas ce qui devrait être entrepris de manière urgente pour sauvegarder la biosphère menacée. […] Avec le réchauffement du climat, la planète se rapproche de certains points de bascule ». Il faut éviter de pousser les éco-systèmes au-delà de leur capacité à entretenir le tissu de la vie et éviter également d’engendrer des dommages graves et irréversibles dans la biosphère en la poussant au-delà de ses limites de tolérance.

Depuis 1992, qu’avons-nous appliqué ?

Depuis 1992, les problèmes se sont dangereusement aggravés. La population a augmenté de 35 % (plus de 2 milliards d’individus en plus, soit une population de 7, 590 milliards d’individus environ). Le climat est en train de changer, entre autres à cause de l’augmentation du volume de gaz effet de serre (GES) dégagé par le brûlage des combustibles fossiles et la hausse des températures. La déforestation et la production agricoles sont pratiquées de façon massive. Une extinction de masse (la sixième en 540 millions d’années) menace dangereusement la disparition de formes de vie d’ici un siècle.

Un changement individuel et collectif à appliquer

Le temps presse, disent les scientifiques, il est urgent de changer de comportement individuellement et collectivement.

Individuellement en limitant notre consommation et nos déchets, en évitant le gaspillage, en recyclant ou en réparant les objets nous-mêmes (Do it Yourself ou DIY), en éduquant enfants et adultes au respect de la nature…

Chacun de nous est concerné par ces changements y compris les élites politiques économiques… dont Bruno Latour dénonce la passivité dans son ouvrage Où atterrir, Comment s’orienter en politique (4). Il explique clairement qu’elles ont « de gros moyens et de grands intérêts » et sont « extrêmement sensibles à la sécurité de leur immense fortune et à la permanence de leur bien-être ». Elles souhaitent se mettre à l’abri hors du monde dans de luxueuses bulles, hors-sol, et laisser aux autres de soin de payer les pots cassés (5).

Collectivement, les gouvernements doivent prendre des mesures à appliquer immédiatement dans chaque pays, mesures qui sont également un devoir moral vis-à-vis des générations actuelles et futures dans la préservation de la planète.

L’humanité doit donc adopter une alternative durable économiquement, écologiquement et un changement de comportement et de mentalités. L’homme doit sortir de la caverne (monde d’illusion dénoncé par Platon), voir la réalité en face et agir. Pour cela, l’étude et la pratique de la philosophie devrait nous aider à nous changer pour devenir meilleur et devenir actifs pour que le monde devienne habitable, durable, animé par des valeurs de paix, de solidarité, de « bien vivre ensemble ».

Qu’attendons-nous pour agir ? Prenons de bonnes résolutions en ce début d’année 2018 !

(1) Lire l’article paru dans le journal Le Monde http://www.lemonde.fr/planete/article/2017/11/13/le-cri-d-alarme-de-quinze-mille-scientifiques-sur-l-etat-de-la-planete_5214185_3244.html
Et lire l’article paru dans Le Figaro
http://premium.lefigaro.fr/sciences/2017/11/13/01008-20171113ARTFIG00185-nous-mettons-en-peril
(2) Manifeste World Scientists’ Warning to Humanity: a second Notice, signé par William J. RIPPLE, Christopher WOLF, Thomas M. NEWSOME, Mauro GALETTI, Mohammad ALAMGIR, Eileen CRIST, Mahmoud I. MHAMOUD, William F. LAURANCE et 15 364 scientifiques, publié dans la revue Bio Science, Volume 67, Issue 12, 1 December 2017, pages 1026-1028
https://academic.oup.com/bioscience/article-abstract/doi/10.1093/biosci/bix125/4605229
(3) Depuis 1992, l’Organisation des Nations Unies (O.N.U.) lutte contre le réchauffement climatique à travers un groupe de pays réunis dans la Convention-Cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC) dont leurs représentants se réunissent une fois par an depuis 1995 à l’occasion de Conférences des Parties (COP ou CDP en français). La dernière COP a eu lieu à Bonn du 6 au 17 novembre https://fr.wikipedia.org/wiki/Conférence_de_Bonn_de_2017_sur_les_changements_climatiques et https://cop23.unfccc.int/fr
(4) Lire sur Facebook :https://www.facebook.com/EnMarche/posts/891613074350229
(5) Où atterrir ? Comment s’orienter en politique, Bruno LATOUR, Éditions la Découverte, 2017,160 pages, 12 €
(6) Lire l’article Platon, le Titanic et le réchauffement climatique, par Isabelle OHMANN, paru dans la revue Acropolis n°291 décembre 2017, page 2, et lire sur le site de la revue Acropolis www.revue-acropolis.fr
https://www.revue-acropolis.fr/platon-le-titanic-et-le-rechauffement-climatique/?preview_id=6415&preview_nonce=d9e1e78ac6&_thumbnail_id=6418&preview=true

par Marie-Agnès LAMBERT
À lire
Le pouvoir de l’univers est en vous
Par Deepak CHOPRA et Menas KAFATOS
Éditions Guy Trédaniel, 2017, 323 pages, 22,90 €
Une exploration de la relation entre l’être humain et l’Univers par deux scientifiques mondialement connus, pionniers dans leur domaine ! L’un dans la médecine du corps et de l’esprit, l’autre dans le domaine de la physique quantique. Tous deux affirment que nous sommes les créateurs de la réalité : nous sommes l’Univers ! C’est un changement profond de paradigme !

 

  • Le 28 décembre 2017
  • Environnement
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