• Tableau de bord
  • Inscription
  • Connexion
  • Commandes
  • Nous contacter
  • Recevoir la revue digitale
  • Panier
  • Bienvenue !
  • Connexion

Panier

0 Numéro(s)
  • Aucun numéro ajouté.

Valider

  • Accueil
  • Éditorial N°326
  • Articles
  • Téléchargements
    • Revues
    • Hors-série
  • Ligne éditoriale
  • L’équipe
  • Interviews
  • Abonnement de soutien

Categories : Civilisation

Les civilisations

Voici des extraits choisis d’articles parus dans la revue Acropolis sur les civilisations

Parmi les traditions des civilisations précolombiennes…

Le Mexique
Le mythe de Quetzalcóatl

« [… ] Les aventures de Quetzalcóatl forment la plus grande partie des annales dans un langage poétique d’une beauté surprenante. C’est la splendeur incomparable des œuvres qui illuminent son règne et la sagesse infinie des Toltèques, ses disciples. C’est le combat contre les forces du mal et le renoncement aux biens terrestres, ce sont les étapes d’une pérégrination, c’est la descente aux enfers. [… ]  C’est enfin l’élévation du cœur, escorté de myriades d’oiseaux multicolores. »

Extrait de la revue 42-43 (octobre-novembre 1978)
Articles sur le Mexique parus dans les revues : N°6 (novembre 1973) – N°20 (juin 1976) – N° 42-43 (octobre-novembre-78) – N° 63 (septembre-octobre-novembre 1981) – N° 101-102  (mai-aout 1988) – N°127 (septembre-octobre 1992)

Le Pérou
De Chavin à Tiahuanaco

« [… ] C’est à Chavin, matrice du Pérou ancien que le culte du jaguar est né au troisième millénaire avant Jésus-Christ, centre sacré. Même après sa disparition, vers les 600 avant J.-C., il restera un des lieux de pèlerinage les plus importants du Pérou. »

Extrait de la revue  55-56 (decembre1979-janvier1980)
Articles sur le Pérou parus dans les revues : N°6 (novembre 1973) – N° 26 (février 1977) – N°31 (novembre 1977) – N° 39 (mai 1978) – N° 55-56 (decembre 1979-janvier 1980) –N° 127 (septembre-octoctobre 1992) – N° 133 (septembre-octobre 1993)

L’Égypte
Le secret des pyramides

La pyramide, modèle universel.

« Il nous paraît valoir la peine… d’interroger un modèle qui est à l’origine d’une des civilisations les plus durables qu’ait connues notre planète. Tel est le voyage, à travers l’Égypte ancienne, que nous proposons. Non pas un voyage complaisant et stérile dans le passé, mais la réappropriation de moyens qui appartiennent à l’espèce… et qui peuvent être une source d’inspiration, d’optimisme et de renouvellement pour la civilisation à venir.
La pyramide nous révèle par son architecture l’ordre de l’univers. Sa fonction de montagne cosmique garantit la communication entre le ciel et la terre par l’intermédiaire de son pyramidion, du visible avec l’invisible par ses chambres intérieures. Elle est l’image de toute civilisation. Sa base représente la tradition et ses quatre faces la science, la religion, l’art et la politique. Chacune d’elles régit l’un des plans de la personnalité individuelle et collective : la connaissance, le sentiment, le principe de transformation de l’énergie et l’organisation. »

Extrait de la Revue n°141, janvier-février 1995
Articles sur l’Égypte parus dans les revues : N° 7 (décembre 1973) – N°9 (mars-avril 1974) – N° 12 (novembre-décembre 1974) – N° 15 juin-juillet 1975) – N° 15 bis) (novembre-décembre 1975) – N° 21 (septembre 1976) – N° 93 (janvier-février 1987) – N° 98 (novembre-décembre 1987) – N° 141 (janvier-février 1995) – N° 181 (janvier-février 2004) – N° 194 (septembre-octobre 2006)
Dossier spécial Le symbolisme de l’Égypte ancienne et sa géographie sacrée (2010)

L’Inde
De la Bhagavad-Gîtâ à la Guerre des Étoiles

Un mythe, deux épopées.

« Au fur et à mesure que se déroulait le film, à ma totale stupéfaction, mon attention était captée par de nombreux détails qui me renvoyaient à ceux d’un récit épique de l’Inde ancienne : la Bhagavad-Gîtâ… »

« La Bhagavad-Gîtâ continue d’être enseignée, plusieurs milliers d’années après qu’elle ait été écrite. De son côté, La Guerre des Étoilesa drainé dans les salles de cinéma trois générations de spectateurs… Pourquoi ? Peut-être parce que, tout comme la Bhagavad-Gîtâ, elle exprime des principes inhérents à la nature humaine : des archétypes qui revêtent différentes formes selon les époques et les cultures mais demeurent et continuent d’inspirer les hommes par-delà les âges et les civilisations. Ces archétypes sont aussi le symbole des aventures d’une vie : celle de nos combats quotidiens dans cette réalité qui nous entoure et nous offre perpétuellement des occasions de nous confronter à nos limites.

Arjuna ou bien un chevalier Jedi sommeille au fond de chacun de nous. »

Extrait de la revue N°167 (mars-avril 2000)
Articles sur l’Inde parus dans les revues :  N° 1 (mai 1973)- N° 5 (octobre 1973)- N° 17 (mars 1976) -N° 18 (avril 1976)- N°20 (juin 1976)- N° 21 (septembre 1976)- N° 24 (décembre 1976)– N° 25 (janvier 1977)- N° 25 (février 1977)- N° 28 (avril 1977)- N° 29 (mai 1977)–  N° 33 (novembre 1977)- N° 45 (janvier 1979) – N° 64 (juin-aout 1982) – N° 113 (mai-juin 1990) – N°167 (mars-avril 2000)  – N° 185 (novembre-décembre 2004)

La Chine

L’homme entre le Ciel et la Terre, élément actif et responsable dans un univers en permanente transformation.

« Les Chinois ont la vision d’un univers en permanent devenir. Pour Lao Tseu, le vide créateur est à l’origine de tous les êtres et de tous les phénomènes manifestés. Ce vide se divise en deux forces opposées et complémentaires, le Yin réceptif et le Yang actif, qui commandent les mouvements cycliques de transformation et le devenir permanent de l’univers. […] Le taoïsme et le confucianisme partagent la même vision de l’homme face à la Nature. L’homme se situe entre le Ciel et la Terre et est un élément actif et responsable dans un univers en permanente transformation. Leur divergence provient du choix de priorités pour assumer la destinée humaine. Le taoïsme enseigne le dépassement de l’être individuel en s’unissant en parfaite harmonie au devenir cosmique ; le confucianisme préfère l’engagement social et politique de l’individu au service de la collectivité. […] Le Yi King, le Feng Shui, la médecine traditionnelle chinoise, le Qi Qong, l’intuition créatrice de la peinture ou de la poésie renvoient tous aux mêmes fondamentaux : le Tao, le Yin et le Yang, les 8 Trigrammes, les Cinq Eléments ou Mouvements et à ces extraordinaires réseaux de correspondance dont les Chinois ont développé l’art jusqu’à l’extrême. »

Extrait du Dossier spécial Chine (2002)
Articles sur la Chine parus dans les revues N°22 (octobre 1976) – N° 51 (aout 1979) – N° 110 (novembre-décembre 1989) – N° 124 (mars-avril 1992) – N° 169 (juillet 2000)
Dossier spécialChine (2002)

Le Tibet
Un pays pas comme les autres

L’invasion du Tibet par la Chine… Une chance pour l’Occident ?

« Sur le toit du monde, au cœur de l’Himalaya, le pays le plus haut du globe… un pays dont la population ne dépasse pas quelques millions…, un pays resté fermé sur lui-même jusqu’au milieu du XXesiècle… un pays qui donne la priorité à une conception métaphysique du monde et aux valeurs spirituelles…, un pays dirigé par un moine, partisan de la non-violence, y compris vis-à-vis de ses occupants.
1950 : c’est cette année-là que la Chine envahit le Tibet, sous prétexte de libérer son peuple du joug de la religion, « opium du peuple »… Depuis, un peuple décimé, une culture en voie d’éradication, un pays pillé et pollué…
Le Tibet se meurt mais de l’éclatement de ce fruit mûr jaillissent des milliers de graines. Celles-ci vont, par un curieux détour de l’histoire, ouvrir ce pays fermé et secret à l’Occident, si fier de sa supériorité technologique. »

Extrait de la revue N° 161 (mars-avril 1999)
Articles sur le Tibet parus dans les revues N° 68 (sept-octobre 1982) – N° 95 (mai-juin 1987) – N° 109 (septembre-octobre 1989) – N° 161 (mars-avril 1999)
Dossier spécial Bardo-Thödol. Le Livre des morts tibétain (2002)

Le temps des cathédrales

Les cathédrales, le mariage sacré entre le monde invisible et le monde visible.

« C’est entre les XIIeet XIIIe siècles qu’une véritable révolution de la foi éclaire d’une dimension nouvelle les arts et les sciences qui deviennent serviteurs de l’esprit. C’est alors que nait le fameux « Siècle des Cathédrales », période d’intense créativité intellectuelle et artistique, dont le rayonnement s’étend sur toute l’Europe. Véritables montagnes sacrées au cœur des cités médiévales, les cathédrales constituent une liaison magique entre les trois plans de l’univers, le Ciel, la Terre et le monde souterrain.
Recréateur des formes célestes sur terre, le bâtisseur se place humblement dans une chaîne de transmission de sagesse. Une unité spirituelle et pratique anime une multitude de mains, de cœurs, de voix.
Pendant ce « Siècle des Cathédrales », l’homme occidental s’est montré capable de vivre l’expérience du sacré et de se relier au Divin, à l’Univers, à ses semblables et à lui-même. Les cathédrales sont le témoignage le plus éblouissant de ce mariage sacré entre le visible et l’invisible. »

 

  • Le 17 octobre 2018
  • Civilisation
Lire la suite

Revendications métaphysiques de la femme

Depuis quelques années, déjà, l’on célèbre la «Journée Internationale de la Femme». Depuis deux siècles, l’Europe, et l’Occident en général tentent de revaloriser le rôle de la femme dans la société, lui donner une place fixe et reconnue par les lois, la libérer des multiples tyrannies qui l’ont soumise depuis si longtemps.

En tant que femme et auteur de cet article, je voudrais simplement revoir les racines de ce mouvement féministe, y découvrir les vérités et les mensonges, et mettre en évidence le fait que de mon sens, ces revendications ne prennent pas le bon chemin.

272-revendications metaphysiques

Le féminisme actuel est plutôt un anti-machisme, une réaction logique face à certains excès de l’Histoire. Il n’a pas pour but de réhabiliter les valeurs authentiquement féminines. Son seul objectif est que la femme puisse occuper les mêmes postes que l’homme, parfois pour remplir des vides mais également dans un désir de revanche pour calmer les esprits sans nullement restituer l’équilibre social. Au lieu de commencer le travail par l’esprit, pour l’achever par la forme, on travaille aujourd’hui exclusivement avec des formes sans contenu, variables et transformables, comme en témoigne l’Histoire à de nombreuses reprises. De là cette tentative de retrouver les fondements métaphysiques de la femme. Il y a longtemps – trop longtemps – que l’on ne proclame plus le règne spirituel de la femme, et sans cette force, je crois indéfendables toutes les autres conquêtes et revendications.

Quelques éléments de tradition ésotérique

Selon les anciens traités de Sagesse, il y a des millions d’années de cela, les hommes et les femmes n’étaient pas différenciés. La Terre était peuplée uniquement d’hermaphrodites. Mais, lorsque la marche de l’évolution l’a exigé, les sexes se sont divisés en opposition et en complémentarité constantes, à la recherche de l’Unité perdue, pour pouvoir atteindre dans un futur très éloigné, une réunification androgyne, non pas par addition mais par dépassement de la dualité.

Dans tous les peuples antiques, on voit apparaître des couples primordiaux qui représentent le masculin et le féminin avec des caractéristiques spécifiques et communes. De façon générale, la femme a été le symbole de la Matière-Mère-Mer et l’homme celui de l’Esprit-Père-Feu. Mais cela n’a pas empêché l’existence de déesses du Feu ou de dieux des Eaux, étant entendu que l’un et l’autre élément font partie d’une Unité Première dans laquelle ils sont contenus et qui les justifie.

Les différences entre Hommes et femmes

Si l’on regarde de plus près les modalités masculin/féminin, à la lumière de la constitution septénaire des êtres humains (conception hindoue), il en ressort que chaque plan ou corps a sa propre polarité – positive/active ou négative/réceptive – selon qu’il s’agisse de l’homme ou de la femme.

PLAN HOMME FEMME
ATMA/Volonté + –
BUDDI/Intuition – +
MANAS/Mental Pur + –
KAMA-MANAS/Mental égoïste – +
LINGA/Émotions + –
PRANA/Vitalité – +
STHULA/Corps éthéro-physique + –

 

Au niveau physique, l’homme a plus de force et de capacité active que la femme. Elle, en revanche, sur le plan vital, a plus de résistance que l’homme, plus sensible à l’usure. Dans le plan émotionnel, la femme est plus réceptive que l’homme, et dans le plan mental, l’homme est plus idéaliste que la femme, plus concrète. Dans les plans supérieurs, il est beaucoup plus difficile d’établir des caractéristiques aussi précises, mais l’on peut remarquer un mental pur concret du côté masculin, et le même mental idéaliste du côté féminin ; l’intuition est plus active chez la femme que chez l’homme.

À la lumière des sagesses traditionnelles, il ressort qu’aucun des sexes n’est supérieur à l’autre, mais qu’il existe des polarités complémentaires dans tous les plans qui détermineraient des aptitudes plus ou moins importantes pour certaines fonctions, qui vont du physique au métaphysique. Il existerait également des possibilités équivalentes sur tous les plans à l’homme et à la femme, de développer leurs pouvoirs latents et de les exprimer avec d’autant plus de perfection qu’ils seraient sages.

L’homme et la femme sont également sacrés, tant qu’il y a dualité dans le monde manifesté, et également sacrés quand la dualité reviendra à l’Unité Première.

Quelques éléments d’Histoire

Il est curieux de constater que, bien plus que l’Histoire proprement dite, ce sont les religions exotériques qui ont contribué à reléguer le féminin dans les antres obscurs du «mal». La femme n’est bonne qu’en tant que mère et respectable en tant que grand-mère, veuve et femme sage ; pour le reste, il faut la «sauver» d’elle-même et de sa nature émotionnelle désordonnée.

Il est également curieux de constater que la femme, naturellement dotée du sens du sacré, du mystique et de l’intuitif, ait été éloignée d’activités si nobles, pour être adulée et rabaissée à sa condition animale et sexuelle, ce qui permettait de la récompenser ensuite avec des cadeaux qui n’en sont pas, inadaptés à la réalité féminine. Une fois encore, qui a œuvré ainsi : l’histoire ou le fanatisme religieux ?

La femme dans les différentes civilisations

272-revendications metaphysiques-2

Dans tous les peuples anciens occidentaux, précolombiens, extrême et moyen-orientaux, la femme a rempli un rôle religieux important – l’accomplissement de ses devoirs religieux, sa piété mais également son rôle actif en tant que prêtresse et en tant que vestale ou gardienne du feu et des éléments sacrés – sans pour autant que soit déprécié son côté maternel. Dans certains cas, il n’y avait pas de différence entre l’homme et la femme. Quand les religions étaient vivantes et à leur apogée, le personnage de la Grande Mère, en tant qu’exemple inspirateur pour les femmes, a toujours été là.

En Égypte, la femme, à l’image d’Isis, pouvait être une excellente reine gouvernante, une maîtresse de maison efficace, épouse et mère, ou une prêtresse sacrée de la Grande Déesse Hathor jusqu’au mystérieux Amon. À Sumer, on trouvait des courtisanes sacrées aussi bien que des prêtresses cloîtrées, des sorcières et des devineresses aussi bien que des grandes prêtresses représentant la Déesse Mère ; des chanteuses et danseuses du temple aussi bien qu’un clergé féminin au service des dieux.

En Inde, des récits évoquaient des femmes célèbres pour leur sagesse et leur sainteté, en tous points similaires à ceux ayant trait aux déesses.

En Chine, la femme apparut comme déesse dans le ciel et souveraine sur la terre, pourvue de grands dons magiques et de vaillance et de générosité, avec un grand cœur.

En Grèce, et plus particulièrement en Crête, une place privilégiée était accordée à la Déesse Mère, au point de développer un matriarcat ou une gynécocratie où les prêtresses étaient plus nombreuses que les prêtres. Des cultes extraordinaires en charge de la femme et consacrés à Aphrodite (en tant qu’Amour, Beauté et Maternité) furent initiés dans la Grèce classique. La présence féminine était fondamentale dans la plupart des cérémonies religieuses ainsi que dans les festivités les plus variées, sans parler de celles qui étaient exclusivement féminines et dont les hommes étaient totalement écartés.

Rome a accordé une place privilégiée aux matrones qui, en plus de leurs fonctions familiale et sociale, remplissaient habituellement des tâches sacerdotales individuelles ou collectives. Le Collège des Vestales était chargé de surveiller le Feu Sacré de Rome. Les vestales, chastes et sobres par excellence, étaient dépositaires d’un pouvoir magique qui sauvait les condamnés de la mort et maintenait le secret des mystères.

Chez les Celtes on trouvait des femmes druides, des prêtresses cultivées et mystiques, des «sorcières», vierges mises à l’écart qui pratiquaient des rites destinés à provoquer ou apaiser des tempêtes, guérir des maladies, prédire l’avenir, se métamorphoser en animaux de toutes sortes… et des femmes courageuses qui se sont distinguées à la guerre.

272-revendications metaphysiques-3

Dans le christianisme, la femme dépendait de l’homme dans la mesure où Êve fut créée à partir d’une côte d’Adam. Elle était plus marquée par le pêché originel puisque l’homme avait pêché à cause d’elle ; aussi devait-elle redoubler d’efforts pour obtenir le salut. Elle devait se soumettre à l’enseignement et à l’autorité de l’homme, conserver une humilité intellectuelle absolue, et surtout, se garder d’enseigner ou d’interpréter la parole de Dieu. Elle ne pouvait exercer aucune fonctions de direction, ni participer à des activités judiciaires, ni enseigner à l’intérieur ou à l’extérieur de l’Église.

La Renaissance fera osciller la femme entre un animal imparfait et un être divin, de la critique de sa fragilité psychologique à l’éloge de sa chasteté. Il ne manqua pas de femmes religieuses réellement pieuses et diligentes, ni de vocations forcées ou de bacchanales dans les couvents. La croyance aux sorcières se transforma en psychose à partir du XVe siècle et des centaines de milliers de femmes furent étranglées, décapitées, brûlées…

En Europe, aux XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles, le rôle de la femme sortit peu à peu des limites du cadre familial pour se revaloriser dans la société. L’époque des revendications civiles et politiques, morales et sentimentales, commença. Elles produiront des changements considérables à partir de la seconde moitié du XXe siècle.

Actuellement, la majorité des pays occidentaux admet une égalité de principe entre l’homme et la femme, et une participation toujours grandissante de la femme à la vie économique, sociale et politique. Ont surgi des concessions comme le droit à l’avortement et la défense contre les agressions sexuelles, les collectifs de lesbiennes et de femmes progressistes … Ainsi la femme a-t-elle perdu au fil du temps ses racines, ses fondements. Elle s’est vue déposséder de sa fonction humaine et divine, et elle réclame aujourd’hui, à tristes cris, des aumônes qui l’enfoncent encore plus dans sa misère. Il manque des femmes accomplies, il y a trop de femelles déconcertées. C’est pourquoi, la revendication que nous proposons est autre : ce n’est pas un acte de protestation, c’est un geste d’évolution, un regard sage vers le passé et une action fervente vers l’avenir, une découverte et un réveil de la magie endormie qui autrefois a fait et fera de nouveau des femmes, de véritables mères, donneuses de vie sur le plan physique, moral, intellectuel et spirituel. L’heure du métaphysique a sonné.

Par Délia STEINBERG GUZMAN
Présidente de l’association internationale Nouvelle Acropole
Article réalisé d’après un article espagnol original, traduit de l’espagnol par Nicole Letellier
N.D.L.R. Le chapeau et les intertitres ont été rajoutés par la rédaction

  • Le 25 mars 2016
  • Civilisation Philosophie
Lire la suite

Göbekli Tepe

Nouvelle Acropole - Gobekli Tepe

Quand la spiritualité précède l’agriculture

Découvert par la mission archéologique allemande de Klaus Schmidt, le sanctuaire Göbekli Tepe, le plus ancien temple de pierre répertorié dans le monde (fin du mésolithique il y a 12.000 ans), remet en question toute la conception du passage du mésolithique (1) au néolithique (2), avec le paradigme selon lequel l’agriculture aurait permis à l’homme de devenir sédentaire et de développer des concepts religieux.

Nouvelle Acropole - Gobekli Tepe

Gobekli Tepe

Göbekli Tepe est situé à la limite nord du «Croissant Fertile» (qui s’étendait de l’Irak jusqu’à l’Égypte, au sud-est de l’Anatolie, région de l’actuelle Turquie), à 15 km au nord-est de la ville de Sanliurfa (ou Urfa), liée à l’Abraham biblique (certains prétendant qu’Urfa était la ville d’Ur, mentionnée dans la Bible). À Urfa, a été trouvée une statue grandeur nature en pierre calcaire, que le carbone 14 a datée entre 10 000 et 9000 av. J.-C. Il s’agit de la plus ancienne statue en pierre connue jamais trouvée. Ses yeux sont en obsidienne.

Le site est une colline artificielle haute de 15 mètres pour un diamètre de 300 mètres, qui couvre environ 9 hectares. On n’y a trouvé aucune construction résidentielle. Cette colline est située sur le point culminant d’une montagne allongée.

Dans sur cette terre, vivaient les ancêtres des premiers animaux domestiques, le mouton et la chèvre sauvages, et poussaient d’abondantes céréales sylvestres. C’est ici où l’on a domestiqué l’épeautre, le blé et l’orge qui, au néolithique furent diffusés, à travers le Moyen-Orient et jusqu’en Europe.

Un site qui ne ressemble à rien de connu

En 1995, Klaus Schmidt commença le chantier archéologique sur le site de Göbekli Tepe. Son équipe mit à jour quatre structures de pierres ovales (la plus petite d’un diamètre de 10 mètres, la plus grande d’un diamètre de 30 mètres). Les enceintes datent de 9600 à 8000 ans av. J.-C. (néolithique précéramique). Les structures sont situées sur le versant sud de la colline, orientées nord-sud avec l’entrée au sud, les piliers en forme de T centraux (3) regardant vers le sud-est.

La disposition des piliers en forme de T suit des règles fixes. Ils apparaissent toujours des espaces circulaires (ou de forme ovale, polygonale ou carrée avec une orientation est-ouest) qui entourent deux monolithes plus hauts en forme de T (jusqu’à 5,5 mètres et pesant de 15 à 20 tonnes). Délimitant l’espace sacré, un mur de pierres, brisé par intervalles par de larges piliers en forme de T (entre 10 et 12, mesurant de 3 mètres à 5 mètres de haut et pesant jusqu’à 10 tonnes), entoure l’espace circulaire. On retrouve, appuyées contre les murs, des banquettes en pierre tout au long du périmètre. Ces enceintes ne ressemblent à rien de connu aujourd’hui.

Nouvelle Acropole - Gobekli Tepe - piliers en T

Les hommes ont taillé les monolithes directement dans la roche d’une carrière, située sur la cette même colline. Ensuite, ils les ont fait pivoter avec des leviers, les ont soulevés et transportés (sans roues ni animaux de charge) avec un mouvement de rame jusqu’en haut.

La construction d’un tel site a réclamé une organisation complexe, avec beaucoup de main-d’œuvre (au moins 500 personnes) dans des travaux très divers, tout comme pour l’édification des pyramides d’Égypte.

Le temple montre qu’une maîtrise importante des techniques de sculpture existait bien avant sa construction. Comment ces hommes, qui ne connaissaient pas encore l’agriculture, ont-ils pu concevoir de planifier un pareil site ?

Göbekli Tepe est beaucoup plus sophistiqué et plus vieux de 6000 ans que Stonehenge (4), et plus ancien de 7000 ans que les pyramides d’Égypte !

Les piliers T, symboles d’êtres surnaturels ?

Klaus Schmidt affirme : «AGobekli Tepevec les piliers en forme de T, l’homme créa, pour la première fois, des formes tridimensionnelles et cubiques à grande échelle (on en a trouvé jusqu’à aujourd’hui 200), leur surface est travaillée avec soin de manière orthogonale, droite et plate. L’effet obtenu donne l’impression d’une construction de piliers conformés par deux blocs séparés, posés l’un sur l’autre, mais cette perception est fausse. Les piliers furent toujours élaborés dans un seul bloc de pierre calcaire. Il s’agit de véritables monolithes d’un poids moyen d’entre 5 à 10 tonnes. De là la question de pourquoi s’impose cette forme particulière en T. Il s’agit d’une forme symbolique inconnue hors des paysages de la haute Mésopotamie. Seul les taulas des îles Baléares en Espagne possèdent des contours semblables à la forme de T de la Mésopotamie, bien qu’ils diffèrent dans un aspect important, car ils ne sont pas des monolithes mais en deux blocs».

Les inscriptions révèlent une représentation anthropomorphe stylisée. Le T représente un visage humain de profil. Le corps avec les bras pliés s’allongent pour atteindre sur le devant, la hauteur de la ceinture, qui a une boucle en forme de H horizontal. Le personnage porte un pagne en peau de renard. La «barre horizontale» du T symboliserait alors la tête.

«La silhouette présente un corps humain de profil. Dans la face ventrale de plusieurs piliers, on retrouve deux bandes verticales, droites et parallèles, réunies toujours en forme de « V » au niveau de la poitrine, de sorte qu’ils représentent une pièce de vêtement en forme de pèlerine enveloppée autour du cou et qui tombe des deux côtés du corps, indiquant un objet possédant une haute charge de pouvoir symbolique». Sur ces piliers, les visages n’ont pas de traits définis, ce qui pourrait signifier que ces êtres étaient surnaturels, dans une dimension invisible. Par conséquent on ne pouvait pas percevoir leur visage.

Pour Klaus Schmidt, ces piliers T sont «le signe qu’ils ne sont pas de ce monde mais plutôt du monde spirituel, ils ne sont pas humains, ils ressemblent à des hommes mais ce ne sont pas des hommes, ils sont peut-être les représentations divines les plus anciennes du monde. Ce serait le temple le plus vieux du monde».

Nouvelle Acropole - Gobekli Tepe Une autre caractéristique de ces piliers est le relief constaté à côté des mains et de la pèlerine. Sont représentés des animaux (sangliers mâles, renards, taureaux, lions, vautours, canards, araignées, serpents, scorpions, vaches, scorpions, fourmis…), mais aussi des symboles abstraits, comme la forme de H qui apparaît couchée en rotation de 90°, des croix, des demi-lunes, des barres horizontales ou entremêlées, preuve selon Klaus Schmidt de l’existence d’une écriture symbolique qui exprimerait leur vision mythologique dans une langue pictographique.

Les sculptures des monolithes

On trouve deux sortes de sculptures en haut-relief dans les enceintes : celles qui sont intégrées dans les piliers en forme de T, et d’autres isolées qui semblent être des représentations d’animaux non indigènes à la région (sangliers, renards, tatous, oies). Les sculptures retrouvées en haut-relief dans un seul bloc dans un style très naturaliste représentent des léopards, des renards, des sangliers. Ces animaux semblent être des gardiens des piliers en forme de T. Certains d’entre eux ont la gueule ouverte en posture menaçante avec la tête vers le bas (animal prédateur), d’autres comme le sanglier ont des mâchoires avec d’immenses défenses.

Nouvelle Acropole - Sculpture d'animaux en hauts-reliefsLes représentations les plus naturalistes qu’on retrouve dans les statues, tantôt d’animaux ou d’êtres humains semblent représenter des membres de notre monde, puissants et importants mais inférieurs aux êtres représentés par les piliers en T. Les piliers T semblent appartenir à l’autre monde, et pourraient avoir comme rôle d’être les gardiens de la sphère sacrée.

On a retrouvé à Göbekli Tepe une statue d’un peu moins de 70 centimètres, qui représente un homme avec une barbe-collier et qui pourrait être un ancêtre des statues sumériennes de la basse Mésopotamie. Le visage semble regarder légèrement vers le haut, quelque chose de plus puissant que lui-même, ses mains devant son corps à la hauteur du nombril, et sans représentation génitale qui reste invisible.

La religion aurait-elle précédé l’agriculture ?

Pendant longtemps on a cru que des sites comme Göbekli Tepe ne pouvaient exister que dans des larges communautés agricoles. Or, les hommes de Göbekli Tepe étaient des chasseurs-cueilleurs. Dans la zone du «Croissant Fertile turc», les hommes se sont sédentarisés au moins un millénaire avant la construction de Göbekli Tepe et ce, pas grâce à l’agriculture. Ils avaient probablement compris qu’il était plus profitable de transmettre ses connaissances à un large groupe sédentaire qu’à un petit groupe nomade.

Dans la première moitié du XXe siècle, l’archéologue Gordon Childe élabora le paradigme suivant : «agriculture-sédentarisation-religion-temple», impliquant que l’agriculture précédait la religion.

Nouvelle Acropole - Statuette pré-sumérienneDans le Croissant fertile, et notamment dans la région de Göbekli Tepe, les conditions requises pour la chasse et la cueillette était en grande mesure moindres que celles réclamées par l’élevage et la culture des céréales. Lorsque les recours naturels manquaient, les peuplades de l’époque se déplaçaient vers d’autres lieux. Il est clair enfin que la culture qui se développa au néolithique, une fois domestiqués les plantes et les animaux et acquis de nouvelles habilités, fut davantage efficiente. Mais rien ne pressait les chasseurs-cueilleurs de devenir fermiers, puisque leur subsistance paraissait acquise à moindres efforts.

Il existait dans la région un réseau assez dense de communautés et villages qui échangeaient des produits, des informations et des individus. Comme l’explique Klaus Schmidt, des réunions cycliques furent organisées dans des lieux de réunion saisonniers (aggregation sites). Göbekli-Tepe était un de ces lieux, où prédominait la dimension du sacré. La haute importance des festins dans le processus de la néolithisation du Proche-Orient fut reconnue récemment par l’investigation archéologique de Michael Dietler (5) et Brian Hayden(6).

«Quand les gens se rassemblaient ici pour festoyer, il fallait beaucoup de nourriture et pour simplifier peut-être ce besoin constant de nourriture, les hommes furent amenés à vouloir maîtriser la nature et passer d’une économie de prédation à une économie de production en adoptant l’agriculture et l’élevage».

Lors des fouilles, on a trouvé un grand nombre d’ossements d’animaux (gazelles, sangliers, cerfs, moutons) pour la plupart provenant de parties comestibles. Ce seraient probablement des restes de repas effectués. Ce type de réunion provoquait l’assistance d’un grand nombre de personnes, ce qui n’existait pas aux époques antérieures. La présence massive d’hommes dans ces fêtes permettait aussi de se lancer dans de grands exploits collectifs, tels que la construction-même de sanctuaires, provoquant des prises de conscience transcendantales.

Nouvelle Acropole - Nevali Cori

Nevali Cori

Le paradigme proposé par Childe sur l’origine de la néolithisation : «agriculture-sédentarisation-religion-temple», s’inverse suite à ces nouvelles découvertes en religion-sédentarisation-temple-agriculture. Göbekli Tepe suggère que le désir de spiritualité aurait engendré la civilisation.

Au début des années 1990, le préhistorien Jacques Chauvin avança la thèse que le développement de la religiosité aurait poussé les hommes à se regrouper pour vivre et célébrer les rites en société. Göbekli Tepe pourrait lui donner raison. L’humanité disposait à une époque préagricole, de moyens suffisants pour mettre en place un lieu de culte imposant, idée qui contredit l’hypothèse que l’agriculture aurait précédé toute érection de constructions importantes.

L’archéologue de l’Université de Standford Iann Hodder (7) rappelle : «Cela montre que les changements socio-culturels viennent en premier, l’agriculture plus tard».

Si on accepte l’hypothèse que les chasseurs se sont lancés dans l’agriculture pour satisfaire les besoins en nourriture du temple, alors, l’étincelle qui a propulsé l’homme hors de l’âge de pierre serait la religion !

La fin du sanctuaire de Göbekli Tepe

Nouvelle Acropole - catal-huyuk

Maison temple de Catal-huyuk

Tout lieu de culte doit présenter une symbolique qui doit être comprise par les fidèles qui s’y rendent. Cette symbolique a comme fonction de rassembler les hommes dans une même croyance, un même objectif et un même ensemble de rituels. La sédentarisation des chasseurs-cueilleurs provoque l’augmentation du groupe et la nécessité de partager avec des étrangers à la famille. Il s’ensuit le besoin d’un code moral pour installer la confiance et le bien vivre ensemble.

Un projet gigantesque comme celui-ci oblige les gens à travailler côte à côte et à se faire confiance. C’est un facteur d’unité concrète.

Environ 1000 ans après le premier temple circulaire, on commença à l’enterrer et à construire une autre structure plus petite juste au-dessus. Au fil du temps, les différents monticules formèrent une unique colline. Les piliers centraux ne mesurèrent plus que 4 mètres de haut. Plus tard, on construira des structures rectangulaires au-dessus des anciennes structures circulaires. Göbekli Tepe existera encore durant un millier d’années mais tout deviendra plus petit et le nombre des piliers de l’enceinte décrut décroîtra peu à peu jusqu’à ce que 10.000 ans plus tard, Göbekli Tepe disparaisse, complètement enfoui sous cette colline artificielle, à différentes strates, faites de la main de l’homme. Grâce à cet enfouissement, le site a pu être conservé de façon extraordinaire.

Lorsque Göbekli Tepe cessa de fonctionner, le village de Nevali Cori, situé à 50 km au nord du site sous le barrage de l’Euphrate, exprima un autre espace de type communautaire, une sorte de version réduite de l’immense temple de Göbekli Tepe comme une église de village. Ce genre de lieu de culte apparut dans de nombreux villages de l’époque (ex. Jefer el Ahumar) et coïncida avec le processus de réduction de Göbekli Tepe. Les communautés locales commencèrent à bâtir leur propre lieu de culte, à l’image du sanctuaire. Ainsi le culte de Göbekli Tepe prit racine dans toutes les collectivités locales.

L’enfouissement de Göbekli Tepe ne signifie pas la fin de son influence. Le même imaginaire se retrouve dans des sites plus récents à des centaines de kilomètres dans toute la région anatolienne.

Le site de Göbekli Tepe démontre ainsi que la religion aurait donc favorisé la sédentarisation des hommes et que le lieu de culte aurait joué un rôle majeur dans la transition à l’agriculture.

 

Article réalisé d’après deux articles de Fernand Schwarz parus dans la revue Pharaon février-mars et avril-mai 2015
(1) «Âge moyen de la pierre», période intermédiaire entre le paléolithique et le néolithique, se situant environ entre 10 000 et 5000 ans av. J.-C. en Europe
(2) Néolithique : période se situant entre 9000 ans et 3300 ans av. J.-C., selon les lieux
(3) Le terme «pilier» s’applique ici dans le sens de «pilier sacré de l’ancienne Égypte» qui comprend également les obélisques. Le pilier n’est pas un support mais un monument indépendant
(4) «Les pierres suspendues», monument mégalithique composé d’un ensemble de structures circulaires concentriques, érigé en -2800 et -1100 av. J.-C., du néolithique à l’âge de bronze. Il est situé à treize kilomètres au nord de Salisbury et à quatre kilomètres à l’ouest d’Amesbury (comté du Wilshire, Angleterre). Stonehenge fait partie du patrimoine mondial de l’Unesco
(5) Professeur d’anthropologie qui a mené des projets archéologiques, ethnographiques et de recherches historiques en Europe et en Afrique
(6) Archéologue de l’université Simon-Fraser (Colombie-Britannique)
(7) Archéologue britannique et professeur d’anthropologie à l’Université de Stanford (États-unis). Il a mené des fouilles archéologiques sur le site néolithique de Catalhôyük (centre de l’Anatolie, Turquie moderne).

Bibliographie

Sie bauten die ersten Tempel, das rätselhafte Heilingtum der Steinzeitjäger, Klaus Schmidt, Verlag C.H. Beck oHG, München 2006
Göbekli Tepe – The Stone Age Sanctuaires. New results of ongoing excavations with a special focus on sculptures and high reliefs, Klaus Schmidt, in Documenta Praehistorica XXXVII, 2010
Göbekli Tepe : santuarios de la edad de piedra en la Alta Mesopotamia, Klaus Schmidt, in Boletin de Arqueologia PUCP, N° 11, 2007, 263-288
Naissance des divinités, naissance de l’agriculture. La révolution des symboles au Néolithique. Jacques Cauvin, CNRS Editions, Paris, 1997
Catal Huyuk. Neolithic Town in Anatolia, James Mellaart, Sir Mortimer Whecler, Londres, 1967
Nouvelles découvertes à Jerf el Ahmar, Syrie, Xe – IXe millénaire av. JC., CNRS – Info n° 370, janvier 1999, pp. 9-10
Symbols in action. Ethnoarchaeological studies, Ian Hoddes, Academic Cambridge, 2009
Religion in the emergence of civilisation – Catal Hoyuk, as a case study, Ian Hoddes, Academic Cambridge, 2010
Göbekli Tepe, agriculture et domestication, Joris Peters, Encyclopedia of Global Archéologie, (3065 – 3068), New York, 2014

  • Le 10 juin 2015
  • Civilisation
Lire la suite
1 2

Archives

  • février 2021 (10)
  • janvier 2021 (12)
  • décembre 2020 (12)
  • novembre 2020 (13)
  • octobre 2020 (12)
  • septembre 2020 (8)
  • août 2020 (8)
  • juillet 2020 (2)
  • juin 2020 (7)
  • mai 2020 (12)
  • avril 2020 (10)
  • mars 2020 (11)
  • février 2020 (8)
  • janvier 2020 (8)
  • décembre 2019 (9)
  • novembre 2019 (9)
  • octobre 2019 (18)
  • septembre 2019 (3)
  • août 2019 (7)
  • juin 2019 (22)
  • avril 2019 (9)
  • mars 2019 (8)
  • février 2019 (8)
  • janvier 2019 (10)
  • décembre 2018 (11)
  • novembre 2018 (9)
  • octobre 2018 (15)
  • septembre 2018 (5)
  • août 2018 (5)
  • juin 2018 (20)
  • mai 2018 (10)
  • avril 2018 (1)
  • mars 2018 (8)
  • février 2018 (10)
  • janvier 2018 (7)
  • décembre 2017 (21)
  • novembre 2017 (9)
  • octobre 2017 (7)
  • septembre 2017 (7)
  • juin 2017 (9)
  • mai 2017 (8)
  • mars 2017 (8)
  • février 2017 (15)
  • janvier 2017 (6)
  • octobre 2016 (5)
  • mai 2016 (3)
  • avril 2016 (6)
  • mars 2016 (4)
  • février 2016 (3)
  • janvier 2016 (2)
  • septembre 2015 (26)
  • juillet 2015 (2)
  • juin 2015 (43)
  • mai 2015 (41)
  • avril 2015 (30)
  • mars 2015 (1)
  • février 2015 (2)
  • janvier 2015 (12)

Catégories

  • Actualité (36)
  • Art (54)
  • Cinéma (44)
  • Civilisation (5)
  • Conte (8)
  • Culture (5)
  • Développement durable (1)
  • Écologie (6)
  • Editorial (44)
  • Éducation (44)
  • Environnement (4)
  • Histoire (10)
  • Hommage à (16)
  • Littérature (64)
  • Non classé (24)
  • Philosophie (89)
  • Philosophie à vivre (65)
  • Philosophie au quotidien (5)
  • Philosophie pratique (4)
  • Psychologie (7)
  • Santé (5)
  • Sciences (41)
  • Société (37)
  • Symbolisme (13)
  • Témoignage (3)
  • Transition (1)
  • Vaccin philosophique de l'âme (2)
  • Volontariat (6)

Étiquettes

amour autonomie beauté Bhagavad Gîta bonheur Changement Conscience COVID-19 Crise destin Education Fraternité Gandhi générosité harmonie Humanisme Humanité héros imaginaire imagination initiation Justice liberté lumière Mort Mystère Mythe méditation Nature peur philosophie Platon renaissance responsabilité Sagesse Solidarité spiritualité transcendance union Unité violence volonté Âme éthique évolution

Mentions légales

  • Mentions légales
  • Politique de confidentialité

Archives

Contact

Rédaction Revue Acropolis
6, rue Véronèse
75013 Paris

Mots clé

amour autonomie beauté Bhagavad Gîta bonheur Changement Conscience COVID-19 Crise destin Education Fraternité Gandhi générosité harmonie Humanisme Humanité héros imaginaire imagination initiation Justice liberté lumière Mort Mystère Mythe méditation Nature peur philosophie Platon renaissance responsabilité Sagesse Solidarité spiritualité transcendance union Unité violence volonté Âme éthique évolution

Articles les plus récents

  • Sommes-nous des malades imaginaires ?
  • À lire N°327
  • Etty Hillesum, votre confidente
  • Louise Weiss, muse de l’Europe
  • Catherine Zell, rebelle de Dieu
  • L’ Âme de la femme
  • De nouvelles fouilles pour la découverte du tombeau de Romulus
  • Raconte, grand-mère, le retour d’exode (1)   
  • Trouver retraite en soi
  • Quand le coaching s’inspire du stoïcisme
  • À lire N° 326
Copyright Revue Acropolis© 2015