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Archives de mai, 2020

Ne laissons pas la fatalité décider à notre place !

Le déconfinement a bien évolué depuis le mois de mai et tout le monde est heureux de se retrouver physiquement, et bien qu’il faille respecter les gestes-barrière, la convivialité s’installe. Tout le monde s’accorde à dire qu’aucun écran ne peut remplacer la relation directe entre les êtres humains.

Maintenant nous sommes dans « l’après », et c’est le moment de réfléchir sérieusement au mode de vie dans lequel nous voulons nous engager et quels attitudes et comportements nous devons modifier si nous voulons véritablement changer.
Le confinement a permis à plusieurs d’entre nous de pratiquer davantage d’introspection et de vivre plus sobrement pour mieux nous retrouver et reconsidérer la vie que nous voulons mener.
Nous avons réalisé collectivement que l’adversité fait partie intégrante de la condition humaine et que ce que l’on vit aujourd’hui peut être utile, en dépit des désagréments, des incertitudes et des peurs.
Le sens des épreuves humaines est le propre de la philosophie. Elles conduisent généralement vers l’espoir et le sacrifice.
Demain ne sera pas forcément mieux qu’aujourd’hui mais nous pouvons le rendre meilleur en nous transformant et en accompagnant nos semblables dans la même direction.

Les épreuves ne peuvent pas être vécues en soumission mais en liberté.
La liberté des philosophes est celle de choisir de changer, de se transformer et de devenir meilleur malgré les circonstances. Bien sûr, nous sommes également libres de rester tels quels, ou de changer en pire. Mais ces formes de liberté contiennent un piège parce que, dans un monde qui évolue et se transforme, celui qui n’avance pas recule, et finit par être saisi par la peur et se replier sur lui-même.

C’est l’heure de se tenir à ses propres résolutions, de réaliser les actions que nous avons conçues comme étant les meilleures pour nous-mêmes et notre entourage. Il s’agit d’honorer un engagement intérieur avec des actes. Nous pouvons libérer cet homme intérieur, l’homme réel que chacun porte en soi et que certains d’entre nous ont retrouvé dans le confinement.

La philosophie nous conseille de voir l’avenir avec prudence, vertu par excellence capable de nous tenir loin des extrêmes. Entre l’inertie et le danger, la prudence est le sens de l’action positive. Comme l’explique Bertrand Vergely, il n’y a pas de frilosité en elle, mais bien plutôt une dynamique créatrice. « Il est prudent d’aller de l’avant sans fuir en avant ».

Selon le philosophe Hartmut Rosa (1) l’avenir dépend, non pas de notre savoir mais de notre action.
Ne laissons pas la fatalité décider à notre place !

(1) Sociologue et philosophe allemand, qui fait partie d’une nouvelle génération de penseurs travaillant dans le sillage de la théorie critique (École de Francfort)
Par Fernand SCHWARZ
Président de la Fédération Des Nouvelle Acropole

  • Le 30 mai 2020
  • Editorial
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Les 120 ans de Saint Exupéry ou le passage d’une comète

« Ce sont les étoiles, les étoiles tout là-haut qui gouvernent notre existence. »
William Shakespeare

Le 120e anniversaire de la naissance d’Antoine de Saint-Exupéry est l’occasion de découvrir ou redécouvrir les œuvres d’un des écrivains les plus traduits et les plus lus au monde, d’un héros qui a bravé tous les dangers à l’époque de l’Aéropostale et de l’aviation pendant la Seconde Guerre mondiale. « Une comète » qui n’a passé que 44 ans sur terre mais dont la pensée humaniste et l’esprit visionnaire continuent à nous inspirer pour imaginer le monde de demain.

Il y a 120 ans, un jour de juin, le 29 exactement, un astronome turc prend la parole lors d’un colloque scientifique à Lyon. S’adressant à ses pairs, il partage sa découverte, la naissance d’une nouvelle étoile. Personne ne le croit. C’est normal, il porte un costume traditionnel turc. Sûr de ses calculs et de ses observations, il insiste, « croyez-moi ». Personne ne l’écoute, rien ne change. Il doit se faire entendre. Il ôte son costume et s’habille du costume traditionnel occidental, un élégant trois-pièces avec cravate. Cette fois-ci, il fait l’unanimité, l’étoile est reconnue. Notre astronome heureux des applaudissements, rajoute : « Cette étoile, est la troisième d’une pléiade de cinq. » (1)

Une étoile au destin particulier

Notre savant, quelque peu astrologue, prédit que cette étoile annonce la venue d’un extra-terrestre, au destin particulier. Une sorte de météore dit-il. Il vivra le temps de 44 couchers de soleil assure-t-il. Il influera sur le cours de son temps, se mariera qu’une seule fois mais avec une rose. Cet homme, laissera un bébé d’une semaine sur le tarmac new-yorkais le 13 avril 1943. Cet enfant sera polyglotte, il parlera plus de 250 langues, il aura une vie éternelle. Devant cette avalanche de prédictions, plus fracassantes les unes que les autres, l’assemblée proteste. Notre astronome-astrologue nullement décontenancé par de telles clameurs, poursuit. Il aura beaucoup d’amis, dont un singulier, un renard qui parle aux hommes avec le langage du cœur. Il aimera les livres et en écrira sept (2). La plupart feront le tour de la Terre, notamment le septième dédié à son fils. Du destin de son fils et du livre consacré à celui-ci il ne saura rien, mais les deux marqueront sa postérité (3).
Enfin, notre astronome revenu de ses fulgurances prédictives révèle le nom de l’étoile. L’assemblée médusée après de telles incongruités, prête tout de même une oreille.  Personne n’a jamais entendu cela, l’étoile porte le nom d’un homme : Antoine de Saint-Exupéry.
L’histoire dira que toutes les prédictions se sont avérées justes, même celle de Napoléon Bonaparte 109 ans plutôt : « Les hommes de génie sont des météores destinés à brûler pour éclairer leur siècle. » Lyon 1791.

Une vie courte mais pleine

Né le 29 juin 1900 à Lyon, mort en vol au-dessus de Marseille, le 31 juillet 1944, les quarante-quatre années d’Antoine de Saint-Exupéry passées sur terre se lisent comme un chapelet qui s’égrène. Elles sont un hommage à l’amour que la vie lui a donné, « L’amour commence, là où tu attends plus rien en retour. » Citadelle, un remerciement à l’expérience transmise à sa mie. Dans le ciel de sa naissance, à la question de la Parque du destin « Lachésis » (4), quelle vie souhaitez-vous ? Saint-Exupéry semble avoir répondu comme Achille (5) : « Une vie courte mais pleine ». C’est la signature des héros, « Le métier de témoin m’a toujours fait horreur. Qui suis-je si je ne participe pas. » Pilote de guerre

De son vivant Saint-Exupéry porte plusieurs surnoms : « Roi-soleil » par sa mère, « Pique la lune » par ses camarades, « Ours brun » par Consuelo (6), mais plus communément « Tonio ». Ses métiers, il n’en aura pas qu’un, vendeur de camions pour plaire à son premier amour Louise de Vilmorin, aviateur avec Didier Daurat et les amis de la compagnie Latécoère puis de l’Aéropostale (Guillaumet, Reine, Mermoz, Vachet…) ; continûment chef d’escale, ambassadeur et prince des sables à Cap Juby (1927-1928), puis chef de l’Aéropostale en Argentine (1929-1931) ; reporter, journaliste en Amérique (1940-1943), explorateur sa vie durant, homme de combat et commandant dans l’armée de l’air (1939-1944) , mais surtout écrivain, le point d’orgue qui couronne toute son histoire.

Saint-Exupéry, est un inclassable. Vivre la vie, désigne son véritable métier. « Je suis la source de toute vie. Je suis la marée qui entre en vous et vous anime et se retire. Je suis le mal qui entre en vous et vous déchire et se retire. Je suis l’amour qui entre en vous et dure pour l’éternité. […] Je suis le défaut dans l’armure. Je suis la lucarne dans la prison. Je suis l’erreur dans le calcul : je suis la vie. », écrit-il dans Courrier Sud en 1929. Quarante-quatre années durant, jamais il ne dérogera à cette loi.

Donner aux hommes un sens spirituel

Dans le mois du 120e anniversaire de sa naissance, suite à une pandémie et deux mois de confinement, il faut réfléchir au monde d’après, nous dit-on.
Saint-Exupéry, depuis son étoile peut-il nous éclairer ? Penchons-nous sur l’inépuisable richesse de sa littérature, où se lisent son humanisme et la profondeur de sa réflexion philosophique. Elle peut nous inspirer pour construire l’homme de demain et bâtir un monde nouveau, qu’il ne faut pas simplement nouveau mais surtout meilleur.

Dans la lettre du 30 juillet 1944, lettre au général « X » (7), il écrit :
« Ah ! Général, il n’y a qu’un problème, un seul de par le monde. Rendre aux hommes une signification spirituelle, des inquiétudes spirituelles, faire pleuvoir sur eux quelque chose qui ressemble à un chant grégorien. » […] Les derniers mots de la lettre sont prémonitoires, « Mais si je rentre vivant de ce « job nécessaire et ingrat », il ne se posera pour moi qu’un problème : que peut-on, que faut-il dire aux hommes ? ».
Les réponses se trouvent dans la lecture de sa vie et celle de ses livres. « Nous ne demandons pas à être éternels, mais à ne pas voir les actes et les choses tout à coup perdre leur sens. » Vol de nuit

Ses livres en guise de phare (8)

 Vol de nuit, livre dédié à Didier Daurat chef de l’Aéropostale, qui lui a inspiré le personnage Rivière comme la figure du chef qui stimule le dépassement de soi et encourage au sens du devoir.
« Le règlement, pensait Rivière, est semblable aux rites d’une religion qui semblent absurdes mais façonnent les hommes. » ; « Aimez ceux que vous commandez. Mais sans leur dire. » ; « C’est l’expérience qui dégagera les lois, répondait-il, la connaissance des lois ne précède jamais l’expérience. » ; « Dans la vie, il n’y a pas de solutions. Il y a des forces en marche : il faut les créer, et les solutions suivent. »

Terre des Hommes, raconte les exploits héroïques des pilotes au sein de l’Aéropostale et fait émerger une méditation sur notre planète et la vocation de l’Homme et sa place dans le monde. « L’homme se découvre quand il se mesure avec l’obstacle » ; « Ce que j’ai fait, je te jure, jamais aucune bête ne l’aurait fait » ; « Être homme c’est précisément être responsable. C’est sentir en posant sa pierre que l’on contribue à bâtir le monde ».

Pilote de guerre rend hommage au principe de résistance et pose les bases d’une réflexion pour une nouvelle civilisation. « Sacrifice ne signifie ni amputation, ni pénitence. Il est essentiellement acte. » ; « Je comprends l’origine de la fraternité des hommes. On ne peut être frère qu’en quelque chose. S’il n’est point de nœud qui les unisse, les hommes sont juxtaposés et non liés. On ne peut être frère tout court. » ; « La guerre n’est pas une aventure. La guerre est une maladie comme le typhus. » ;
« Ma civilisation, héritière de Dieu, a fait chacun responsable de tous les hommes, et tous les hommes responsables de chacun. »

Le Petit Prince, conte autobiographique et philosophique, dans lequel, on y entend la voix d’un Petit Prince, amoureux d’une rose, ami d’un renard et d’un pilote qui nous enseignent sur l’aspect unique de chaque chose. « Tu seras unique au monde. Je serai pour toi unique au monde » ; « On ne voit bien qu’avec le cœur. L’essentiel est invisible pour les yeux. »

En ce mois de juin, qui célèbre votre 120e anniversaire Monsieur de Saint-Exupéry permettez-nous de vous dire merci. Merci, Monsieur Antoine de Saint-Exupéry de nous avoir offert les plans pour bâtir la cathédrale de demain…

(1) Antoine de Saint-Exupéry est le troisième enfant d’une famille de cinq (Marie)Madeleine, Simone, Antoine, Francois, Gabrielle)
(2) L’aviateur (1926), Courrier sud (1929), Vol de nuit (1931) Prix Femina, Terre des Hommes (1939) Prix de l’Académie française, Pilote de guerre (1942), Lettre à un otage (1943), Le Petit Prince (1943)
(3) Le Petit Prince édité en 1943 aux États-Unis. Edité en France en 1946 deux après sa mort
(4) Dans la mythologie romaine, les trois Parques sont les déesses de la naissance (Clotho), de la destinée humaine (Lachésis) et de la mort (Atropos)
(5) Achille, héros légendaire de la guerre de Troie, fils de Pélée et de Thétis
(6) Consuelo Suncin Sandoval épouse de Saint-Exupéry (1931-1944)
(7) Lettre écrite en juin 1943 au général  René Chambe ou Antoine Béthouard et déposée sur le bureau de son commandant le 30 juillet, le lendemain il partait pour un vol sans retour. Lettre de prémonition, lettre testamentaire personne ne sait.
(8) Pour des raisons de longueur d’article, il manque à la liste Aviateur, Courrier sud, Lettre à un otage, édités de son vivant – Écrits de Guerre, Lettres de jeunesses, Lettres à sa mère, Carnets, Citadelle, Manon danseuse, Lettres à l’inconnue, Dessins, tous édités à titre posthume
par Olivier LARRÈGLE

  • Le 29 mai 2020
  • Actualité
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À Lire N°319

Paru récemment

Alchimistes du Moyen-Âge
par Brigitte BOUDON
Éditions Ancrages, Collection Petites conférences philosophiques, 2020, 80 pages, 8 €

Découvrir l’alchimie, science qui au Moyen-Âge prétendait fabriquer de l’or, posséder le secret de l’immortalité et transmuter la matière et soi-même grâce à la pierre philosophale ? Découvrir également ceux qui ont contribué à son succès : les anonymes et Avicenne, Albert le Grand, Raymond Lulle, Nicolas Flamel et Paracelse. Mieux comprendre cet art.

Les Tudors
La démesure et la gloire, 1485 -1603
par Bernard COTTRET
Éditions Perrin, 2019, 446 pages, 25 €

Ce livre est consacré à la dynastie des Tudors 1485-1603), dynastie mythique d’Angleterre et de Grande Bretagne qui a régné pendant trois générations, affichant leur réussite et leur richesse mais également une sévère répression (des têtes coupées, des reines exécutées, des catholiques étripés…). Dominée par l’antique déesse Fortuna, cette dynastie a amené de grands changements et un esprit de conquête qui s’étendit à tout l’espace atlantique.  Aujourd’hui encore, les Tudors sont vénérés par les Anglais, voire les Britanniques et et également par les Français avec qui ils partagent la culture celtique, de nombreux films et une série télé sur les Tudors. Par un professeur spécialiste de l’Angleterre.

L’homme qui parle
suivi de Quel Dieu pour le XXIe siècle ?
par Gilles COSSON
Éditions Pierre Guillaume de Roux, 2019, 288 pages, 18 €

Un conte philosophique qui pourrait être un scénario de science-fiction de fin du monde, d’un monde qui a perdu le sens et dont l’ « homme qui parle » pourrait bien aider à retrouver le sens. Un roman basé sur l’amour et le don de soi. Dans le second texte, l’auteur s’interroge sur le sens de Dieu aujourd’hui, dans un monde en profonde mutation qu’il est utile de comprendre pour construire celui de demain, un monde plus spirituel.

Aimer s’apprend aussi
Méditations spinoziennes
par Sébastien CHARBONNIER
Éditions Vrin, 2018, 266 pages, 16 €

L’amour s’apprend par la pratique d’actions du quotidien : apprendre à aimer ce n’est ni admirer, ni mépriser ; c’est refuser de contredire ; c’est dialoguer ; c’est construire avec d’autres de nouvelles idées qui nous aident à devenir meilleurs et à rendre notre société meilleure qu’elle ne l’était auparavant.  Apprendre à aimer, c’est apprendre à se connaître soi-même et d’apprendre à s’aimer soi-même – et c’est seulement après avoir rencontré soi-même que l’on peut rencontrer les autres. C’est le but de la philosophie en somme. Par un enseignant chercheur en philosophie de l’éducation et en didactique de la philosophie.

Notre vie a un sens
Une sagesse contre le pessimisme ambiant
par Bertrand VERGELY
Éditions Albin Michel, 2019, 336 pages, 21,50 €

Bertrand Vergely se pose la question du sens de la vie. Le monde qui ne propose que le confort pour l’individu ne propose aucune réponse satisfaisante sur le sens de l’existence, à savoir le sens moral et spirituel. Pourtant, il existe une source de sens supérieure à la vie et à l’homme, le sens inouï de l’existence. L’auteur se réfère aux philosophes, écrivains, poètes mystiques qui ont tenté de répondre à cette question. Nous ne sommes pas qu’un paquet d’atomes jeté dans l’univers, soumis au hasard et à la nécessité. La vie humaine n’est pas un accident mais une promesse, elle n’est pas une fatalité mais une destinée.

À moi la gloire
par Fabrice HADJADJ
Éditions Salvator, 2019, 160 pages, 15 €

L’auteur, journaliste, essayiste et dramaturge s’interroge sur le sens de la gloire dans notre vie mais également dans la religion chrétienne. Si la gloire est une notion omniprésente dans la Bible, elle est souvent considérée avec mépris et méfiance par les chrétiens. Si le christianisme est une religion de l’humilité, le Christ n’interdit pas la gloire. Qu’est-ce que la gloire ? Est-ce simplement être brillant, passer sur les réseaux sociaux et y avoir des likes ? Est-ce illuminer, éclairer autre chose que soi-même ? Gloire et humilité sont très liées.

La plus belle histoire de la Voix
par Jean ABITBOL
Éditions De Boeck sup, 2019, 304 pages, 29 €

ORL, phoniatre et chirurgien cervico-facial, l’auteur s’occupe la voix de chanteurs, comédiens, avocats, enseignants et professionnels de la voix. Dans cet ouvrage abondamment illustré, il nous invite à un voyage dans l’histoire dans le monde de la voix, à travers de nombreuses personnalités mais également l’exploration anatomique et fonctionnelle, les usages variés de la voix (pour parler mais également pour chanter).

Paradis du Nouveau monde
par Nathan WACHTEL
Éditions Fayard, collection Histoire, 2019, 336 pages, 24 €

Professeur honoraire au Collège de France, où il fut titulaire de la chaire Histoire et anthropologie des sociétés méso-américaines et sud-américaines, Nathan Wachtel explore les Paradis terrestres et les mouvements indiens dits « messianiques » ou prophétiques dans le continent américain (XVIe – XIXe siècle) : Migrations vers la Terre sans Mal, attente du retour de l’Inca, visions extatiques du retour des morts dans la Ghost dance. Un ouvrage pour restituer aux Indiens leur place dans l’histoire.

  • Le 26 mai 2020
  • Littérature
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