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Archives de octobre, 2019

À lire N° 312

Tu ne peux désirer une chose et cultiver son contraire
Plaidoyer pour plus de cohérence et d’altruisme dans nos vies
par Bruno LALLEMENT
Alisio, éditions Leduc, 2019, 154 pages, 14,90 €

Un ouvrage très convaincant sur notre responsabilité personnelle dans l’état du monde actuel avec la révélation de faits peu connus ou négligés sur l’état du monde vivant où la nature est exclue. Avec des arguments logiques mais aussi sensibilité et spiritualité, l’auteur touche par sa cohérence qu’il prouve en dévoilant sa vie. Les témoignages de personnes, plus ou moins connues mais toujours sincères, exposés à la fin de ce livre, participent aussi à convaincre de la nécessité  urgente de transformer ce monde dans lequel nous vivons et  respecter la nature dont nous faisons partie.

 

Mon cœur contre la terre
par Éric de KERMEL
Éditions Eyrolles, 2019, 204 pages, 14 €

Ana est une écologue passionnée par son métier, jusqu’au jour où une erreur professionnelle l’amène à tout quitter et à retourner dans les montagnes ou elle a grandi. Elle y retrouve son oncle qui tient un refuge et des ami(es) d’enfance. Jusqu’alors bonne élève dans un système sans faille, elle constate que son propre parcours qui lui semblait le meilleur, se fissure : divorce, séparation… Retourner à ses racines devient pour elle une nécessité. Et si l’écologie en nourrissant ce lien avec la nature, était aussi ce chemin qui nous relie à nous-même, et aux autres ? Un roman qui nous invite à une réflexion écologique tout autant qu’humaine sur l’avenir de la terre et celui de l’humanité.

 

Devenir maître de sa vie
À la rencontre de soi
par Marie-Lise LABONTÉ et Jérôme ANGEY
Éditions Guy Trédaniel, 2019, 137 pages, 18 €

La vie nous amène à vivre des situations où nous devons nous surpasser pour retrouver nos valeurs essentielles. Sur ce chemin d’évolution nous rencontrons des valeurs positives et d’autres qui nous limitent. Comment unifier l’ombre et la lumière ? Comment retrouver une profonde intimité avec soi-même ? Marie-Lise Labonté, psychothérapeute, auteur et formatrice, Jérôme Angey, praticien de techniques énergétiques nous invitent à retrouver le chemin de la guérison. CD avec méditations guidées.

 

Le bouddhisme
Les sources, l’enseignement de Bouddha
Les fondements de la morale, non-violence et détachement
Le bouddhisme dans le monde
par Bernard BAUDOUIN
Éditions Presses du Chatelet, 2018, 160 pages, 9,95 €

L’auteur retrace l’histoire du bouddhisme et son rayonnement dans le monde entier ainsi que ses enseignements : l’enseignement du Bouddha (les vertus de l’exemple, la souffrance et la délivrance, les lois de continuité…) ; l’émergence d’une morale (la non-violence, le détachement personnel, le libre-arbitre, le renoncement, la pureté d’esprit et la conscience collective) ; le symbolisme et le langage bouddhiques.

 

Narcisse n’est pas égoïste
par Fabrice MIDAL
Éditions Flammarion, 2019, 237 pages, 19,90 €

L’auteur remet en cause notre interprétation du mythe de Narcisse, qui serait l’être qui s’éprend de lui-même! Pour cela, Fabrice Midal nous convie à relire le texte d’Ovide, Les métamorphoses, où Narcisse croise le destin d’Écho et où tous deux vivent, de manière différente, le même drame : la difficulté d’être soi ! Or notre siècle nous prive d’un juste rapport à soi en nous réduisant « à des données comptabilisées, des rouages de mécanismes administratifs… et les gens qui se livrent sur les réseaux sociaux… sont manipulés par des puissances qui utilisent des algorythmes pour les cerner dans les moindres de leurs traces.» Voici donc la conclusion de cet auteur :  « oui, Narcisse est le mythe dont notre XXIe siècle a tant besoin ! »

 

Une brève éternité
philosophie de la longévité
par Pascal BRUCKNER
Éditions Grasset, 2019, 256 pages, 19 €

Une réflexion philosophique sur l’allongement de la vie des êtres humains et les conséquences qui en découlent sur leur rapport au monde et l’art de vivre de la jeunesse à la vieillesse, cet été indien de la vie ! Pascal Bruckner est l’auteur d’une œuvre considérable illustrée par de nombreux prix mais il sait surtout transmettre sa philosophie si touchante : « Nous restons des êtres en transit, perdus dans un sentier obscur et qui tentent de s’éclairer à la lumière de la raison et de la beauté… le seul mot que nous devrions prononcer chaque matin, en reconnaissance du cadeau qui nous a été fait, c’est : Merci »

Guérir les émotions qui nous empoisonnent la vie
par Danielle MEUNIER
Éditions Le courrier du livre, 2019, 215 pages, 18 €

L’auteure est thérapeute, spécialisée dans l’harmonisation des corps subtils et le langage des chakras. Elle décrit dans cet ouvrage le fonctionnement de l’être humain avec ses sept corps subtils et les mémoires karmiques, issues de vies antérieures, et qui participent aux émotions qui gouvernent notre vie et peuvent être signes des perturbations qui nous empoisonnent la vie. C’est un manuel pratique que l’auteure propose avec des exercices appliqués à une cible et quelques témoignages émouvants.

 

L’hindouisme
La puissance d’une doctrine, un panthéon, une éthique religieuse, de la croyance à l’expérience, une voie de salut
par Bernard BAUDOUIN
Éditions Presse du Chatelet, 2019, 160 pages, 9,95 €

L’hindouisme est l’héritage d’une multitude de siècles consacrés à la recherche cosmologique, religieuse, mystique et philosophique qui a longtemps éclairé une grande partie de l’humanité. Ce livre explique les origines de l’hindouisme, sa doctrine, ses multiples expressions d’une spiritualité vivante et son rayonnement dans le monde depuis trente-cinq siècles.

 

Douce France
Où est passé ton bon sens ?
par Sonia MABROUK
Éditions Plon, 2019, 172 pages, 19 €

Sous forme de lettre, ce livre est un constat de la société actuelle. Que ce soit en politique, à  l’école ou ailleurs, partout  il y a des discussions, des mises à l’épreuve et des controverses, le tout amplifié par les médias. Avec une ironie cinglante, l’auteur nous pousse à réfléchir et à retrouver  notre bon sens, si cher à nos paysans.

 

L’éternité reçue
par Martin STEFFENS
Éditions Desclée de Brouwer , 2017, 245 pages, 18,90 €

Professeur de philosophie en Khâgne et chroniqueur pour les journaux La Croix et La Vie, l’auteur clame dans ce livre en premier lieu que nous ne sommes pas faits pour mourir. S’appuyant sur de nombreux auteurs et témoignages comme ceux de Etty Hillesom et Simone Weil, il affirme : « C’est pour la vie que nous sommes faits . C’est sans doute un peu trop évident. Mais il faut d’abord passer par là pour aller éventuellement plus loin. » Dans sa conclusion après toutes ses réflexions, il définit la mort comme la forme en creux du Créateur qui nous apprend à renoncer à la force et nous destine à l’amour, dans «  la joie pleine, et cependant douloureuse, d’être un parmi tant d’autres ». En  effet, il affirme : « par notre mort, nous portons le néant qui donne à l’autre d’exister ». Un ouvrage de réflexions à la fois, philosophiques et mystiques !

  • Le 29 octobre 2019
  • Littérature
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Journées européennes du Patrimoine, Arts vivant à la Cour Pétral dans le Perche

Les journées européennes du Patrimoine sont l’occasion pour le public de visiter l’Ancienne Abbaye de la Cour Pétral, située dans le Perche.

Lors des Journées Européennes du Patrimoine, les 21 et 22 septembre 2019, l’ancienne Abbaye de la Cour Pétral a ouvert ses portes au public. Près de deux cents personnes sont venues dans une ambiance très chaleureuse et festive, et en musique grâce à la présence du groupe Orphéus.
La Cour Pétral est depuis 1991 réhabilitée par l’association Nouvelle Acropole qui espère en faire développer l’esprit : un lieu d’échanges et de formation, un modèle de cité civilisatrice, un lieu qui fait revivre le passé.

Faire revivre les anciens métiers d’autrefois

L’Atelier Héphaïstos a pu partager avec le public leur savoir-faire : le travail sur bois, le vitrail, la poterie, la taille de pierre. Tous les âges étaient concernés : les plus anciens retrouvaient leur vigueur pour tourner la meule, frapper sur l’enclume ; les plus jeunes ne se lassaient pas de raboter le bois ou de tailler la pierre, retrouvant des gestes simples et féconds et voyant entre leurs mains la matière se transformer.

Les secrets de bâtisseurs au Moyen-Âge

Une exposition sur les cathédrales a enchanté les amoureux du patrimoine qui ont ainsi découvert les secrets des bâtisseurs au Moyen-Âge et la naissance de la lumière traversant les vitraux dans les édifices religieux.

Une rencontre philosophique, animée par Nouvelle Acropole a eu lieu sur le thème Patrimoine et sagesse, donnant ainsi l’occasion de réfléchir sur la transmission. En soirée, les musiciens et chanteurs ont animé un moment festif suivi d’un bal champêtre et l’on a dansé jusque tard dans la nuit.

Le patrimoine de la faune et la flore à la Cour Pétral

Le patrimoine, le terroir, ce sont aussi les vergers, avec les pommiers séculaires, les tilleuls aux fleurs dégustées en tisanes si apaisantes. Et aussi les variétés d’oiseaux qui peuplent et traversent cet espace de nature. Plusieurs vols de hérons ont dessiné de jolies figures au-dessus de nos têtes.
Les permaculteurs aussi travaillaient au jardin, nommé l’Etoile, qui est l’objet de tous leurs soins. Quelques visiteurs se disaient convaincus que cette forme de culture particulièrement généreuse est une solution d’avenir pour nourrir la population sans cesse grandissante de nos villes.

Des ponts entre les générations et le passé et l’avenir

La Cour Pétral crée des ponts entre les générations, entre le passé et l’avenir. Car, les perles que nous y ont laissé nos ancêtres, inspirés par une grande spiritualité, parlent à l’homme de tous les temps et sont le socle du futur. L’Ancienne Abbaye de la Cour Pétral est un lieu d’enracinement. Et, comme l’écrivaient la philosophe Simone Weil et Mahatma Gandhi, l’enracinement se crée au jour le jour avec la puissance de l’Être, et crée les fondements de demain.

La Cour Pétral
https://www.courpetral.fr
Par Louisette BADIE

  • Le
  • Lieu insolite à découvrir
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Les stoïciens, l’art de la tranquillité de l’âme

La petite collection « Petites conférences philosophiques » des éditions de la Maison de la philosophie, s’attache à rendre la philosophie accessible à tous, philosophes d’hier et d’aujourd’hui.
La revue Acropolis se propose de vous faire découvrir tous les mois des extraits d’un livre.
Nous commençons par les stoïciens.

Voici un extrait du livre.

« Je vais évoquer maintenant l’une des trois grandes figures du stoïcisme romain,  Sénèque.

Sénèque a vécu de l’an 4 avant J.-C. à 65 après J.-C. HomÉe d’Etat, philosophe stoïcien, il écrit plusieurs tragédies et surtout, de nombreux ouvrages philosophiques, parmi lesquels les fameuses Lettres à Lucilius, La Vie heureuse, la Brièveté de la vie, La tranquillité de l’âme. Il est connu pour avoir été le précepteur de l’empereur Néron. Il est parfois appelé Sénèque le Philosophe pour le distinguer de son père, Sénèque le Rhéteur.
Sénèque possède une réelle vocation pédagogique. Il considère que la formation humaine est la tâche primordiale du philosophe et pas uniquement pour l’éducation des enfants. La pensée de Sénèque enthousiasme le Moyen-Âge et la Renaissance, tout spécialement saint Thomas d’Aquin, Saint Bonaventure, Dante. Et à l’époque moderne, Descartes, Montaigne, Jean-Jacques Rousseau, Diderot. Son œuvre est extrêmement riche et n’a rien perdu de son actualité.
Né à Cordoue, il est quand même étroitement attaché à la famille impériale romaine. Il fréquente à Rome l’École stoïcienne. Son père, craignant la répression contre les philosophes menée par l’empereur Tibère, l’oriente vers l’étude de l’éloquence. Après un séjour en Égypte, il devient questeur sous l’empereur Caligula. Mais sa santé fragile, jointe aux intrigues politiques, l’incite à se convertir à la philosophie.

Accusé d’adultère et d’outrage sous le règne de l’empereur Claude, il est exilé en Corse de 41 à 49. Il y compose un bel ouvrage Consolation à Helvia, sa mère. Rappelé par Agrippine, Sénèque compose le traité De la brièveté de la vie et devient précepteur de Néron. Ministre de Néron de 54 à 59, il fait paraître plusieurs traités : De la tranquillité de l’âme, De la clémence, De la constance du sage, De la vie heureuse.
Après l’assassinat d’Agrippine en 59, Sénèque renonce par étapes à sa fortune et à ses fonctions. Il écrit alors les traités Des bienfaits et De l’oisiveté, et s’affirme durant les trois dernières années de sa vie comme un directeur de conscience exemplaire. Il écrit Lettres à Lucilius, De la Providence. Accusé injustement d’avoir pris part à une conjuration, Néron lui donne ordre de se suicider, ce qui était une pratique relativement courante à l’époque !

Sénèque apparaît comme très fidèle à la tradition de l’ancien stoïcisme mais s’inspire aussi de la philosophie latine à travers Cicéron. Sénèque est magistrat comme Cicéron et non philosophe de profession. C’est sa philosophie de l’éducation, c’est-à-dire le fondement philosophique dont il nourrit toute activité formative, qui constitue son apport le plus important.
Le point de départ de sa pensée est le drame de l’existence humaine. Pourquoi l’existence humaine est-elle dramatique ? Le propre de l’homme, c’est son âme et la raison parfaite qu’elle abrite. Néanmoins, pour la plupart des humains, âme et raison sont assujetties au corps, au point que la vie entière se met au service du corps et de ses besoins, en transformant l’homme en esclave. Le drame de son existence vient donc d’un manque total de liberté, accepté par la grande majorité.

Sénèque considère les passions comme des maladies de l’âme, dont l’existence même est niée par l’homme, ce qui rend particulièrement difficile un éventuel désir de rétablissement. Cette situation d’esclavage et de maladie engendre un être vaincu, malheureux, qui a continuellement peur de la mort et de la douleur future. Les maladies de l’âme ont cette particularité que les patients ne se sentent pas malades. Ils se trouvent même heureux de leur état. Si bien que « découvrir qu’on est un malade est le commencement de la guérison ». La philosophie est la médecine mentale préconisée par Sénèque.
Il est en effet convaincu du fait que l’homme a tous les moyens nécessaires pour résoudre ses problèmes existentiels et il se propose de l’aider pour atteindre la santé de l’âme, la liberté intérieure et la maîtrise de soi. La plupart de ses ressources s’enracinent dans le caractère rationnel de l’homme, sur sa capacité de réflexion. Atteindre la perfection humaine est donc tout à fait possible, car il s’agit surtout de vivre an accord avec la nature, la nature propre de l’homme, qui est essentiellement rationnelle.

La première phrase des Lettres à Lucilius est exemplaire : « Oui, cher Lucilius, sois ton propre libérateur. » Le conseil de Sénèque est : Libère-toi du désir, de la crainte, des erreurs, des affects. Tu ne chercherais pas la sagesse si tu ne la connaissais déjà un peu. Le vouloir est libéré par le savoir et permet de reconquérir la liberté de n’obéir qu’à notre raison. La raison prescrit de ne s’asservir à aucun objet extérieur, condition de notre indépendance et de notre sécurité.
L’éducation est ainsi conçue comme un effort de conquête personnelle. Elle doit s’acheminer vers des objectifs tels que la liberté, le bonheur, la vertu et la sagesse. Ce perfectionnement a beau être accessible, il est loin d’être facile. Il faut, selon Sénèque, un effort permanent d’auto-éducation, assisté par la philosophie.  La philosophie « forme et modèle l’âme, ordonne la vie, gouverne les actions, montre ce qu’il faut faire et ce qu’il faut éviter, elle tient le gouvernail et montre le chemin entre les doutes et les fluctuations de la vie. »

Il va donner un certain nombre de conseils pratiques pour suivre ce chemin. D’abord, suivre la Nature, la puissance divine et providentielle qui a organisé l’univers et donné la raison à l’homme. La Nature est vue comme un cosmos, un univers intelligent ; pas une jungle, mais un jardin bien dessiné. La nature intelligible peut donner à l’homme le bonheur. Il suffit de se laisser guider par la Nature et la raison. »

Extraits de Les Stoïciens, l’art de la tranquillité de l’âme, Brigitte Boudon, Éditions Maison de la Philosophie, Collection Petites conférences philosophiques, 2016, 84 pages, 8 €
Disponible notamment dans les centres de Nouvelle Acropole (www.nouvelle-acropole.fr)
Par Brigitte BOUDON

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