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Archives de février, 2019

Confiance dans l’adversité ?

La confiance naît du lien et engendre toujours du lien.

Dans une conférence, le latiniste Pierre Boyancé a expliqué que « si l’on avait demandé à un Romain, ce qui lui paraissait la marque distinctive du caractère de son pays, ce qui lui semblait le secret de sa fortune [… ], « ce qui l’aurait exalté, ce n’est pas d’abord la valeur militaire, le courage des soldats, le génie des chefs, mais c’est bien probablement le respect de ses dieux : piétas(1) ». Comme le dira le poète Horace, c’est parce que « tu te conduis en inférieur des dieux que tu peux commander ». C’est déjà une indication intéressante pour ceux qui, hier et aujourd’hui, se prennent pour ce qu’ils ne sont pas. On est au service de et on ne se sert pas.

La confiance naît du lien et engendre toujours du lien.

La confiance naît du lien et engendre toujours du lien.

Mais, toujours selon Pierre Boyancé, si l’on avait demandé à ce même Romain ce qui, dans les rapports avec les hommes, donnait à la cité et à ses gens la vertu de s’imposer ainsi et ce que les dieux récompensaient en eux, il aurait peut-être bien répondu que c’était leur fides. Ce mot latin intègre dans sa signification la fidélité, la bonne foi, l’honneur, la parole donnée, l’engagement. Il est à la base de la notion de confiance (cum-fidere).
Remettre quelque chose à quelqu’un en se fiant à lui.

Dans la Rome antique, la confiance était la valeur essentielle qui commandait la vie en société. Elle était personnifiée par une déesse plus ancienne que Jupiter lui-même. Le monde ne peut exister sans confiance ni solidarité entre les principes qu’il gouverne.  Si les gens ne se font plus confiance, le monde se dissout dans le chaos.

Sur le Capitole, tout près du temple de Jupiter, les Romains avaient érigé deux autres petits temples, dédiés à deux autres déesses : la Concorde et l’Abondance. La confiance engendre la concorde et l’abondance et précède la sphère politique et économique, dont elle conditionne le bon fonctionnement.

Aujourd’hui, la confiance est presque considérée comme un concept économique : confiance des consommateurs, confiance des investisseurs, indice de confiance… Mais la confiance n’est pas produite par la sphère économique même si elle en a bien besoin pour fonctionner. C’est pour cela d’ailleurs, que même s’ils peuvent apporter une aide, les moyens économiques et financiers ne peuvent jamais résoudre les problèmes d’une société, surtout si elle est devenue une société de défiance, où les gens se jalousent et doutent les uns des autres, sans respect ni coopération.

Dans notre société individualiste, on parle de confiance mais il s’agit généralement de confiance en soi-même, que l’on recherche à partir de victoires extérieures et de reconnaissance sociale. Cette démarche n’engendre pas de véritable confiance, puisqu’elle n’est pas capable de créer du lien à autrui. La confiance a une dimension collective. Elle est l’expression d’un « nous » qui permet de structurer la vie sociale, à travers les communautés naturelles que furent un temps, la famille, l’école, la religion, l’armée, l’université, la nation… des lieux de confiance capables d’engendrer la conscience du « nous ».

La confiance naît du lien et engendre toujours du lien. Notre crise actuelle est une crise de lien, qu’il soit avec soi-même, avec autrui et avec les institutions. C’est toujours une question de lien, comme l’a très bien expliqué Abdennour Bidar (2).
La confiance en soi relève aussi de la capacité de créer des liens. Pour cela il faut également pouvoir croire en  les autres, leur faire confiance et accepter les risques de la dépendance dans la coopération.

Le problème actuel qui se pose est qu’une société, une éducation où l’on veut tout contrôler, tout savoir à l’avance, est incapable de tisser  des liens avec la réalité et l’impermanence qui lui est propre. Il faut développer une volonté d’aller de l’avant, aller vers l’inconnu, recréer d’autres liens, développer d’autres formes d’action, imaginer de nouvelles visions et ne pas avoir peur du futur.

Comme le dit Michela Marzano (3), la confiance est fondamentale car sans elle, il serait difficile d’envisager l’existence même de relations humaines, du rapport de travail jusqu’à l’amitié ou bien l’amour ; sans confiance, on ne pourrait même pas envisager l’avenir ni de projet à développer dans le temps.
C’est pour cette raison qu’il est nécessaire de suivre le conseil de l’empereur philosophe Marc Aurèle : il faut aimer le destin, et j’ajouterai : en sachant  se battre dans l’adversité.

(1) Fernand SCHWARZ, La sagesse de Socrate, Philosophie du Bonheur, Éditions Viamedias, 2010, 128 pages
(2) Philosophe, normalien français né en 1971, spécialiste des évolutions actuelles de l’islam et des mutations de la vie spirituelle dans le monde contemporain, auteur de Les tisserands, réparer ensemble le tissu déchiré du monde, Éditions Les liens qui libèrent, 2016, 192 pages. Lire article de Fernand Schwarz, La Transition, l’accompagnement au changement page 3 de la revue
(3) Auteur de Qu’est-ce que la confiance ?, Revue Études, 2010/1 (tome 412)
Par Fernand SCHWARZ
Président de la Fédération Des Nouvelle Acropole

  • Le 28 février 2019
  • Editorial
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À lire 305

Revue Acropolis n°300

Vient de paraître !
Numéro spécial de la revue Acropolis : 300e numéro
Prix : 5 €
En mai 1973, le premier numéro de la revue Acropolis était édité, sur une simple ronéotype à alcool. Ce fut le début d’une grande aventure qui passa par de multiples phases, de l’écrit au numérique. Depuis, la revue apporte un regard philosophique sur l’actualité, à travers des dossiers thématiques, des commentaires, la rencontre de personnalités remarquables du passé telles que Jean Chevalier, Gustave Thibon, Gilbert Durand, Mircea Éliade… ou du présent comme Trinh Xuan Thuan, Bertrand Vergely, Jean Staune, Denis Marquet, Jacqueline Kelen, Fréderic Vincent, Luc Bigé… Le 300enuméro (édité en numérique en octobre 2018 et imprimé pour la circonstance,) a donc voulu rendre un hommage à 45 ans d’action et à tous les collaborateurs qui y ont participé.
Numéro disponible dans les onze centres de Nouvelle Acropole :
www.nouvelle-acropole.fr.
Cataclysmes
Une histoire environnementale de l’humanité
par Laurent TESTOT
Éditions Petite Bibliothèque Payot, 2018, 522 pages, 11 €
 À travers l’histoire de l’humanité, l’auteur raconte comment depuis trois millions d’années, l’homme, (homo-sapiens appelé Singe dans le livre) a modifié la nature et comment celle-ci l’a transformé en retour. Un survol des siècles, des techniques et des cultures. Au fil de plusieurs grandes révolutions, Singe est devenu un grand prédateur de la planète. Et demain ? Que se passera-t-il ? Il est urgent de changer nos comportements si nous ne voulons pas vivre un autre monde de la mort (Le monde de la mort, série de trois romans de Harry Harrison). Par un journaliste, conférencier et spécialiste d’histoire globale et mondiale.
La promesse sacrée
Comment la science démontre avec une quasi-certitude que l’esprit existe et qu’il joue un rôle essentiel dans notre vie quotidienne
par le Professeur Gary SCHWARTZ
Éditions Guy Tredaniel, 2018, 376 pages, 22,90 €
Tout ne se limite pas à ce que nous voyons. L’auteur mène une enquête sur le monde de l’Esprit, recherches faites sur lui-même comme auprès de médiums. Il démontre que l’Esprit est en communication constante avec les êtres humains et qu’il les aide dans leurs défis quotidiens, à condition de l’écouter et de se brancher sur lui. Il laisse entrevoir qu’une science du futur pourrait prouver l’existence de ce monde et que le contact avec l’esprit pourrait bien être le salut de l’humanité. Par un professeur de psychiatrie et de psychologie à l’université de Yale et directeur de recherche du Centre de recherches pour les avancées sur la conscience et la santé (LACH).
Je cherche à comprendre…
par Joël de ROSNAY
Éditions Les Liens qui libèrent, 2016, 176 pages, 17,50 €
Un voyage fascinant à la découverte des codes cachés de la nature et de cette mystérieuse force organisatrice qui régit notre univers. De la suite de Fibonacci au nombre d’or, en passant par la découverte de la morphogénèse d’Alan Turing aux fractales de Benoit Mandelbrot, l’auteur explore le monde microscopique ou la vie macroscopique pour faire partager son émerveillement… L’auteur relève des schémas, des formes récurrentes, des codes comme autant de signes d’harmonie mais également les différents codes qui régissent l’organisation et l’évolution des sociétés humaines. Par un docteur en chimie organique et prébiotique.
S’aimer enfin ! Un chemin initiatique pour retrouver l’essentiel
par Dr Christophe FAURE
Éditions Albin Michel, 2018, 195 pages, 16 €
Christophe Fauré, psychanalyste et auteur de nombreux livres, nous fait partager ici sa vie et ses épreuves qui l’ont amené à devenir moine bouddhiste puis en revenir pour assumer sa mission de soignant dans la spiritualité devant la maladie et la mort. Il nous invite à un puissant voyage intérieur avec la transmission de ce qu’il vit lui-même.
Lorsque j’étais quelqu’un d’autre
par Stephane ALLIX
Mama Éditions, 2017 444 pages, 23 €
L’auteur part en forêt pour se ressourcer. Lors d’une méditation, il a la vision d’un soldat de la Seconde Guerre mondiale mort touché à la gorge par un éclat d’obus. Il ressent une grande proximité avec ce personnage. Il se lance alors dans une enquête et découvre que ce soldat a vraiment existé. Il s’appelle Alexander Herrman et a vraiment été tué comme il l’a vu dans son rêve éveillé. Est-ce que l’auteur a été ce personnage ? Stéphane Allix a ressenti les émotions du personnage, notamment après avoir été au camp de Dachau, où Alexander Herrman a été en garnison. Voir sa tombe a permis à l’auteur de se libérer de cette expérience douloureuse et il a senti également qu’il devait guérir ce personnage. Le Dalaï Lama explique que dans nos vies passées, nous avons fait l’expérience de toute l’humanité, de belles choses à des choses moins belles, des vies de tortionnaire, de victime, de sages ou d’esclave. Nous ne sommes pas que des êtres biologiques à l’existence autonome. La réalité ne se limite pas à notre corps. « Nous sommes des êtres spirituels faisant des expériences humaines » disait Pierre Teilhard de Chardin.
Le corps du Roi
Incarner l’État, de Philippe Auguste à Louis-Philippe
par Stanis PEREZ
Éditions Perrin, 2018, 480 pages, 25 €
L’auteur démonte que le roi possède un corps « humain », mortel et terrestre, et un corps « spirituel » incarnant la continuité symbolique de la monarchie. « Le corps du roi devient, au fil des siècles, chose publique. » Le corps royal de chair et d’os a joué un rôle important dans l’incarnation de l’autorité mais également dans l’exercice du pouvoir, du Moyen-âge au XIXesiècle, en passant par les règnes de Saint Louis, François Ier, Louis XIV ou Napoléon. Entre la cérémonie fondatrice du sacre et les funérailles qui cultivent le paradoxe d’une royauté « qui ne meurt point », mariages, cérémonies curiales, rituels thaumaturgiques et épisodes de maladie rappellent, chacun à leur manière, que la nature mortelle des monarques a toujours posé problème. Au fil des règnes, cette étude met aujourd’hui en lumière des permanences insoupçonnées dans la manière d’incarner l’État depuis Philippe Auguste.
Jean-Paul Sartre
Conscience et subjectivité
par Michel KAIL
Texte présenté et commenté par Jean-François GIBERT
Éditions Démopolis, 2018, 178 pages, 16  €
S’appuyant sur des mises en perspective historiques, étudiant les échos et les tensions entre l’œuvre de Sartre et celles de Rousseau, Hume, Bergson, Husserl, Heidegger et Lukács, l’auteur met ici en évidence à la fois l’originalité de la pensée sartrienne et son caractère incontournable. Par un professeur de philosophie
Les trois visages de l’Amour
Éros, Philia, Agape
De la spiritualité animale et autres essais d’anthropologie spirituelle
par Michel FROMAGET
Éditions Le Mercure Dauphinois, 2018, 309 pages 18,80 €
À la lumière de la conception anthropologique des trois dimensions distinctes mais inséparables de l’homme (corps, âme, esprit), ce livre contient douze études (articles, communications ou conférences) concernant des sujets aussi variés que l’amour, la mort, l’émerveillement et la joie, la synchronicité, la résilience, l’évolution de l’espèce, la condition spirituelle des animaux… On y découvrira comment la conception anthropologique ternaire n’appartient à aucune culture, aucune période historique, aucune philosophie, aucune religion particulière. Par un anthropologue et auteur de nombreux livres.
La sagesse des Loups
Comment ils pensent, s’organisent, se soucient les uns des autres…
Par Elli H. RADINGER
Éditions Guy Trédaniel, 2018, 280 pages, 18 €
Un livre d’observation sur la vie des loups, qui ont une vie sociétale bien organisée : comment ils aiment et jouent avec leur famille avec amour, comment ils s’occupent des aînés et des plus faibles, comment ils pensent, communiquent entre eux avec intelligence, comment ils n’abandonnent jamais. Les loups ont beaucoup de similitude avec les humains. L’auteur nous fait connaître des récits étonnants, riches d’enseignement. Et si l’on s’en remettait à la sagesse des loups ?

  • Le 26 février 2019
  • Littérature
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Le plus grand être vivant sur terre… un champignon

Un champignon géant, armillaria ostoyae a été découvert aux États-Unis dans l’état d’Orégon. C’est le plus grand être vivant terrestre et également la plus grande colonie de champignons du monde.

Armillaria ostoyae est un champignon géant qui se développe dans la Forêt nationale de Malheur, dans l’Est de l’Orégon, aux États-Unis. Il couvre une surface de 8,9 km2. Il a été estimé comme étant la plus grande colonie de champignons au monde. Cet organisme a été daté d’au moins 2 500 ans ; il serait né dans la même période que la démocratie grecque…
La masse totale de la colonie, en se basant sur la vitesse de croissance du champignon, a été estimée à 100 tonnes, mais actuellement les chercheurs estiment désormais son poids à 400 tonnes.

Des géants uniques dans leur espèce

L’armillaria ostoyae, populairement connu comme le champignon de miel, a commencé à partir d’une seule spore trop petite pour le voir sans microscope. Il a diffusé ses filaments noirs, appelés rhizomorphes, à travers la forêt, tuant les arbres en poussant. Il couvre maintenant 880 hectares de la forêt.
Le contour du champignon géant s’étend sur 3,5 kilomètres, et il s’étend à une moyenne de trois pieds (un mètre) dans le sol. Il couvre une superficie aussi grande que 1 665 terrains de football. Le cas a été rapporté dans le Canadian Journal of Forest Research (1).

Un autre champignon gigantesque, spécimen de armillaria bulbosa, a été trouvé sur un site près de Crystal Falla (Michigan). Il couvre 0,15 km2 et la découverte a été publiée dans le magazine Nature.
Ce champignon a la particularité d’avoir un génome aux mutations extrêmement lentes : pendant ces siècles d’évolution, celui-ci n’a subi que 163 modifications génétiques alors que le génome compte 100 millions de bases.
Pour les auteurs, il est possible que la vie souterraine, à l’abri d’agents mutagènes de l’environnement, comme les UV du soleil, préserve le champignon de mutations. Peut-être aussi possède-t-il des systèmes de réparation de l’ADN particulièrement efficaces.
Armillaria pourrait donc constituer un modèle d’étude intéressant pour comprendre comment éviter qu’une cellule mute trop vite, comme c’est le cas dans le cancer. (cf la revue Planète)

En Suisse, un champignon vestige du Moyen-Âge

Le Parc national suisse abrite un armillaria ostoyae vieux de 1000 ans, qui s’étend sur 37 hectares – pas moins de 800 m de long sur 500 de large –. Parasite du pin, il jouerait pourtant un rôle important dans la régénération de cet arbre pionnier. C’est en menant des recherches sur la mortalité des pins dans le parc que les scientifiques de l’Institut fédéral de recherches sur la forêt, la neige et le paysage (W.S.L.) ont découvert l’armillaire géant, aujourd’hui considéré comme le plus gros champignon d’Europe.
Plusieurs autres individus de grande taille ont été découverts dans le parc, occupant des surfaces entre 1,7 et 17 hectares.
« Les armillaires sont des champignons présents dans de très nombreuses régions du globe, décrit Philippe Clerc, conservateur du Jardin botanique de Genève. Et ils sont un peu partout en Suisse ». Le mycélium de l’armillaire présente la particularité de produire des rhizomorphes, « des ramifications souterraines très solides, qui peuvent être confondues avec des racines tant elles sont dures », dit encore Philippe Clerc. Ces structures, de teinte noire, sont même utilisées comme lacets de chaussure dans certaines régions du monde ; « les Indiens appellent l’armillaire le “shoestring mushroom”», précise Daniel Rigling.
« Ce champignon pourrait même avoir un rôle important dans la régénération et le maintien de Pinus mugo dans la région », ajoute Daniel Rigling. Un parasite bénéfique pour son hôte ? Etrange. Pas tant que cela : l’armillaire infecterait en priorité les pins déjà affaiblis. L’armillaire est actif de longue date dans le parc, c’est un élément naturel de l’écosystème.

La découverte de tels spécimens de champignons géants n’a pas fini de nous étonner.

(1) Article paru en avril 2003
par Michèle MORIZE
Lire et voir sur internet :
https://www.futura-sciences.com/planete/actualites/botanique-ce-champignon-2500-ans-plus-grands-organismes-vivants-terre-73180/
https://www.scientificamerican.com/article/strange-but-true-largest-organism-is-fungus/

https://www.nationalgeographic.com.au/nature/the-worlds-largest-living-organism.aspx
https://www.futura-sciences.com/planete/actualites/botanique-ce-champignon-2500-ans-plus-grands-organismes-vivants-terre-73180
Le Figaro – sciences du 17/10/2018, Un champignon âgé de 2500 ans et lourd de 400 tonnes est toujours en pleine forme, par Daniel Vey

  • Le
  • Sciences
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