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Archives de novembre, 2018

« Demeure, Pour échapper à l’ère du mouvement perpétuel », ce qui donne un sens au mouvement, c’est ce qui demeure

« Ce qui est simplement nécessaire à l’homme, dépasse de très loin la simple satisfaction de ses besoins. Il ne suffit pas que le corps soit à l’abri : l’âme aussi a ses droits. »

 Après avoir exploré les origines et les ressorts de la crise de transmission en France dans l’ouvrage Les Déshérités (1), le jeune philosophe et homme politique, François-Xavier Bellamy, clame aujourd’hui le besoin de retrouver des points fixes pour donner un but au mouvement. S’il estime nécessaire de vouloir aller plus loin et de se surpasser, il pose la question : « Vers où aller ? ».

 Demeure, cela rappelle la maison, le havre de paix que chacun de nous semble avoir délaissé, et cela sonne comme une injonction pour ne plus avoir à subir l’obligation de mouvement perpétuel, cette course au quotidien sans limites que la modernité nous impose.
Le cœur de la modernité n’est pas tant, à ses yeux, la raison critique que la passion de la nouveauté et de la transformation à tout prix ; c’est à elles que notre civilisation doit d’être entrée en crise, faute de se révéler capable de donner un sens à la vie.
De ce mouvement prôné comme une loi universelle, l’auteur reconstitue l’histoire de l’Antiquité à la révolution copernicienne et démontre la vacuité de la course au progrès.

Il met en exergue l’abîme métaphysique d’un mouvement érigé en vertu suprême, et nous exhorte à nous interroger sur le sens profond de nos vies, de nous re-poser afin de retrouver de la stabilité au fond de notre être, stabilité nécessaire pour faire face à la violence du flux incessant, par l’intelligence, la force de l’esprit et de la contemplation.
Son propos n’est pas d’appeler à l’immobilité ou à l’inertie, qui serait contraire à la vie, mais entre le mouvement permanent et la permanence des choses, d’habiter le monde.
La demeure contient en elle-même un but, une activité quotidienne pour l’entretenir, l’animer, la faire vivre ; cela suppose de faire preuve d’imagination, d’être créatif, avoir de l’exigence en ayant en tête un objectif qui donne sens à notre effort.

Le philosophe ne s’arrête pas au domaine individuel mais élargit sa pensée à la sphère du politique en mettant le doigt sur le paradoxe actuel qu’est le sentiment de stagnation, comme si rien ne changeait dans le fond malgré les promesses de renouveau et les réformes, et nous questionne sur les illusions du progrès et du tout numérique. Là aussi, la politique doit consister à prendre soin de notre monde pour l’améliorer. Pour lui, la demeure s’oppose à la révolution parce qu’elle n’est pas une vaine agitation, vide de sens, mais une vigilance, un effort constant et humble avec le souci pour l’homme politique qui œuvre de chercher à préserver le monde et à le faire évoluer dans ce qu’il a de meilleur.

Pour François-Xavier Bellamy, la réponse à la question Où va-t-on ? est chez soi, à la maison, pour reconquérir notre pensée, réinvestir le champ collectif, se réapproprier notre histoire personnelle, et par là-même, l’histoire commune. C’est ce que nous avons de plus essentiel car vital.
À l’instar d’Ulysse, qui après les combats, aspire à retrouver Ithaque, sa demeure, et Pénélope, son âme, re-définissons les points fixes à atteindre, même sans la certitude d’y arriver un jour, et qui pourtant donnent sens à nos engagements présents.

(1) Les déshérités, François Xavier BELLAMY, Éditions Plon, 2014,  216 pages,17 €
Demeure – Pour échapper à l’ère du mouvement perpétuel
François-Xavier BELLAMY
Éditions Grasset, 2018, 270 pages, 19 €
Par Virginie DUJOUR

  • Le 27 novembre 2018
  • Littérature
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À lire revue 302

Le combat des philosophes du Moyen-Âge et de la Renaissance
par Brigitte BOUDON
Éditions Ancrages, 2017, 80 pages, 8 €

Les philosophes du Moyen-Âge et de la Renaissance mènent de rudes combats : pour intégrer les valeurs chrétiennes à la philosophie antique, pour défendre les bienfaits de la philosophie antique face à la théologie chrétienne, pour ré-enchanter le monde et susciter la renaissance d’une philosophie antique renouvelée. Parmi eux, citons Boèce, Alcuin, Abélard, Saint Thomas d’Aquin, Pétrarque pour le Moyen-Âge, Marsile Ficin, Erasme, Pic de la Mirandole, Maître Eckhart, Nicolas de Cues, Giordano Bruno pour la Renaissance. On passe de l’obscurantisme du Moyen-Âge et des disciplines sèches et arides de la philosophie à l’enthousiasme et l’humanisme de la Renaissance où l’homme est restauré dans sa grandeur et sa dignité sans pour autant éliminer ses paradoxes, amenant le scepticisme, préparant les prémisses de la philosophie moderne, voulant repenser le monde et l’homme sur des bases plus rationnelles.

 

La preuve de Dieu
La mystique shi’ite à travers l’œuvre de Kulaynî IXe– Xesiècle
par Mohammad Ali AMIR-MŒZZI
Éditions du Cerf, 2018, 348 pages, 29 €

Ce livre est inspiré du livre de la Preuve de Dieu (Kîtah Al-Hujja ), œuvre d’une autorité shiite religieuse éminente, Al Kulaynî.  « La Preuve » est l’un des qualificatifs de l’imam, guide spirituel mystique, au cœur de la religion chiite : Il témoigne de la présence invisible de Dieu et ses enseignements étudient les mystères cachés sous la lettre du Coran. Le guide dispose d’une autorité spirituelle qui est différente de la mission législatrice de Mahomet. À travers ce livre, l’auteur, directeur d’études à l’EPHE, membre du Laboratoire d’études sur les monothéismes (CNRS) et chercheur à l’Institute of Ismaili Studies (Londres), nous fait découvrir une religion de la foi intérieure, dont le seul combat est le combat de l’âme.

 

Faire le Roi
L’autre corps de Louis XIII
par Marie-Claude CANOVA-GREEN
Éditions Fayard, 2018, 55 pages, 23 €
« Faire le Roi » à l’époque de Louis XIII c’est occulter son corps et refouler ses émotions pour imposer l’image d’un souverain majestueux qui suscite le respect. C’est ce que Louis XIII a voulu faire avec son corps, pour incarner sa fonction, depuis son sacre en 1610 jusqu’à sa mort en 1643 alors qu’il avait un physique ingrat et un caractère coléreux. De nombreuses gravures agrémentent le texte. Par un professeur à l’université de Londres et spécialiste d’histoire culturelle.

 

Jane Austen, un cœur rebelle
par Catherine RIHOIT
Éditions Écriture, 2018, 462 pages, 24 €

La biographie de Jane Austen, célèbre romancière anglaise du XVIIIe siècle. Les héroïnes de ses romans balancent entre le cœur et la raison et par leur intelligence et leur énergie, parviennent à déjouer les pièges du destin. Elle a écrit Orgueil et préjugés, devenu célèbre pour son adaptation au petit écran. L’auteur, agrégée d’anglais, qui est également journaliste, essayiste, auteur dramatique et scénariste, débusque et retisse les moindres détails d’une existence pleine de zones d’ombre :  un hommage à la vérité du cœur qui coïncide avec les aspirations féminines actuelles.

 

Familles d’âmes, l’essence de la fraternité
par Alain BRÊTHES
Éditions Oriane, 2018, 255 pages, 20 €

L’auteur, métaphysicien, écrivain et formateur en art-thérapie expose dans cet ouvrage l’expression des différentes familles d’âmes à notre époque de l’ère du verseau. Elles interviennent dans tous les domaines de la vie et permettront le changement dont nos sociétés ont tellement besoin. A chaque lecteur de reconnaître la famille d’âmes à laquelle il appartient, ce qui permettra de révéler la beauté de la fraternité humaine. L’auteur puise beaucoup dans la Doctrine secrète de Helena Petrovna Blavatsky cet enseignement qu’il vit lui-même profondément et exprime dans ses nombreux livres.

 

Qu’est-ce que l’œuvre aujourd’hui ?
Du théâtre à l’architecture
par Liliana ALBERTAZZI
Éditions Hermann, collection Philosophie, 2014, 170 pages, 26 €

Cette étude se penche sur les œuvres elles-mêmes et sur l’étude de dialectique philosophique de l’œuvre comme lieu de convergence entre l’universel et le particulier, soi et l’autre, l’un et le multiple. L’auteure rappelle quelle était la condition de l’œuvre d’art classique, son essence en somme : la cohérence formelle et visible, avec une œuvre dont les parties doivent se correspondre entre elles et en même temps constituer le tout. L’auteure dit : « L’œuvre classique reprenait à son compte ce qui, depuis les Grecs, représentait l’ordre du monde ». En revanche, avec le début du XXesiècle, cette question, en tout cas, dans ces termes, a un parfum d’anachronisme. Par une professeure des Écoles nationales, enseignant l’esthétique (docteur habilitée à diriger les recherches HDR)

 

Chamanes
Les traditions ancestrales dans le monde
par Pierre LAURENT
Préface de Patrick DACQUAY
Éditions Véga, 2017, 243 pages, 23,90 €

Le chamane est l’intermédiaire entre les mondes invisibles (monde céleste et monde souterrain) et le monde manifesté. En 2016, dans un lieu tenu secret, près de cent chamanes, porteurs des sagesses ancestrales d’Asie, d’Amérique, d’Afrique et du monde celte, se sont réunis quatre jours et trois nuits autour d’un grand feu sacré pour célébrer leurs rites, raconter leurs parcours initiatiques et transmettre la mémoire de leurs ancêtres. Qu’ont -ils dit ? En quoi consistent leurs traditions ancestrales et leurs pouvoirs ? Quelle est leur vision du monde actuel ? L’auteur, photographe a tenté de transmettre dans ce livre les enseignements précieux des chamanes qu’il a illustré avec de magnifiques photos.

 

Feng Shui
Apprendre à Habiter
par Luc ANTOINE
Éditions de Mortagne, 2014, 242 pages, 24 €

Ce guide a pour but de se familiariser avec l’approche occidentale du Feng Shui pour l’habitat. Après avoir évoqué ses fondements (énergie, polarité, symbolique et miroir, géométrie sacrée), l’auteur nous emmène sur le terrain avec sa pratique (orientation précise et étapes d’aménagement de l’habitat). Le livre est agrémenté de schémas et plans explicatifs et d’un lexique sur tous les termes employés.  Par un architecte de profession.

  • Le
  • Littérature
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Le couple, une alchimie et un parcours initiatique de tous les jours

Le premier Adam serait un modèle d’humanité androgyne, porteur des deux genres : « mâle et femelle il les créa ».

Une meilleure compréhension des similitudes et des différences entre hommes et femmes, peut nous permettre d’apprendre à construire une relation plus riche et la conduire vers sa plénitude en toute conscience.

Le couple est cet autre dont on se sentira le plus proche, en partageant notre intimité et en dévoilant notre vulnérabilité. Apprendre à créer ce troisième terme entre soi et l’autre par la relation est une expérience unique et enrichissante qui nous permet d’inclure peu à peu toutes les formes de l’Autre dans sa richesse et sa diversité, si nous ne faisons pas du couple une entité fermée sur elle-même et trop protectrice.

La tendance qui guide aujourd’hui le couple est de vivre ensemble tout en préservant l’autonomie de chacun.

La tendance qui guide aujourd’hui le couple est de vivre ensemble tout en préservant l’autonomie de chacun.

Une nouvelle vision du couple

Si dans notre société la notion du couple a évolué, on veut toujours constituer un couple, tout en faisant évoluer la façon de vivre à deux. On est davantage attaché à la vie à deux mais dans de bonnes conditions, plutôt qu’à la personne avec laquelle on s’unit.
Si le couple concentre de fortes attentes en matière d’épanouissement sexuel et de liberté individuelle, il est aussi source de tensions et de conflits nés de la gestion du quotidien. Donc, si le couple en soi n’est pas menacé en tant que valeur, on cherche de nouvelles manières de le construire, dans la répartition des rôles conjugaux et la satisfaction des besoins masculins et féminins qui ne mettent pas l’accent sur les mêmes choses.La tendance qui guide aujourd’hui le couple est de vivre ensemble tout en préservant l’autonomie de chacun.

Semblables mais différents

         Sur le plan biologique

La différence biologique entre les hommes et les femmes est gérée par le processus hormonal qui différencie les caractères sexuels primaires et secondaires chez l’homme et la femme et également la manière de gérer le stress.
Les hommes gèrent la pression en alternant les prises de décision pour régler les problèmes et les temps de repos et de détente. La femme trouve son équilibre entre le don aux autres et les moments pour elle, où elle reçoit le soutien d’autrui. La détente aide à restaurer le taux de testostérone et le soutien procure des montées d’ocytocine.
De plus, l’ocytocine est l’hormone de l’amour et la testostérone celle du désir sexuel. Ces hormones ont par ailleurs un effet bénéfique sur la santé.
Sur le plan du cerveau, on constate aussi des différences qui conduisent l’homme plutôt vers la compétition et la femme vers la coopération.
Pour améliorer leurs relations, les femmes et les hommes doivent apprendre à parler deux langages et comprendre que les besoins de l’autre ne sont pas les mêmes que les leurs.

          Sur le plan psychologique

Les valeurs masculines et féminines en tant que telles peuvent être symbolisées par les images du logos, la raison et la pensée, associées au masculin, et de l’eros, le sentiment et la relation associés au féminin.
Le psychiatre Carl G. Jung expliquera les caractéristiques du masculin (logos) et du féminin (eros) et, d’autre part, comment en chacun de nous existent des images de l’âme (archétypes) (1) complémentaires de notre polarité sexuelle.
Donc, si l’homme manifeste sa nature masculine dans son conscient, son inconscient comportera une figure du féminin qu’il a nommée l’anima. Si la femme manifeste sa nature féminine dans son conscient, son inconscient comportera une figure du masculin qu’il a nommée l’animus.

L’homme maîtrise la vie par l’entendement mais la vie vit en lui par le truchement de l’anima. Elle correspond à la vie relationnelle et affective (l’eros). L’anima est comme une médiatrice ou guide de l’homme, comme une muse inspiratrice.
La femme maîtrise la vie, elle vit habituellement à travers l’eros, mais la vie réelle, qui va jusqu’à entraîner son sacrifice, parvient à la femme à travers la raison, qui est en elle incarnée par l’animus. L’animus correspond à l’intelligence, à l’esprit. Sa principale caractéristique est le rationalisme créatif.

On choisit son couple en fonction des images projetées de l’autre sexe. Au cours de notre vie, ces images évoluent, car elles doivent nous aider à réaliser la totalité de notre potentiel.

Le premier Adam serait un modèle d’humanité androgyne, porteur des deux genres : « mâle et femelle il les créa ».

Le premier Adam serait un modèle d’humanité androgyne, porteur des deux genres : « mâle et femelle il les créa ».

          Sur le plan symbolique

Dans de nombreuses traditions, de l’unité primordiale naît une dualité, polarisée en deux principes émetteur et récepteur qui gardent, malgré leurs différences, cette « nostalgie » des origines et d’une unité perdue qu’ils cherchent à reconstruire par leur union.
La Bible aussi parle d’une première création où masculin et féminin sont unis, avant la première division et tout ce qui s’en suivra.Tant que le premier anthrôpos était un, il ressemblait à son niveau, par son unicité, au monde et à Dieu. « L’égalité partagea l’anthrôpos en homme et en femme, deux portions, inégales dans leurs forces mais tout à fait égales pour le but vers lequel se hâte la nature, la génération (genesis) d’un troisième être semblable. Il est écrit en effet, « Dieu fit l’anthrôpos ; il le fit selon l’image de Dieu ; il le fit mâle et femelle », non plus « lui », mais « eux », ajoute-t-il au pluriel [GN I, 27], passant du genre aux espèces qui comme je l’ai dit, furent divisées par la loi d’égalité » (2).

Le Zohar soutient une lecture dite « androgyne » de la création de l’homme. (3) Le premier Adam serait un modèle d’humanité androgyne, porteur des deux genres : « mâle et femelle il les créa ». Un homme à deux visages et à deux genres aurait été créé en un seul corps (à la manière de l’androgyne du Banquet de Platon). D’après cette lecture, le deuxième chapitre décrirait une séparation ultérieure, ce que la tradition juive appelle la césure originelle. De l’être à deux genres du premier chapitre surgissent les deux êtres sexués et différenciés par leurs tâches et leurs lots, et destinés à évoluer côte à côte. La conception de la femme dans le judaïsme évolue entre l’appréciation flatteuse et une vision péjorative. Mais, il ne développe pas la théorie du « pêché originel » dont la femme aurait été l’origine. L’acte d’Ève introduit du désordre dans le projet divin pour l’homme (le « paradis »), mais à travers l’histoire – qui débute alors – le couple humain se voit reconnaître la possibilité de se racheter par ses actes.

L’alchimie de la relation

Construire un couple c’est se confronter à l’héroïsme au quotidien. Le mariage est un parcours initiatique, un combat et une aventure.  Comme dit le philosophe Alain de Botton : « On devrait vivre sa vie de couple comme un roman d’amour écrit à deux. Un roman d’apprentissage. Car aimer, ça s’apprend, ça n’est pas inné. L’amour est un talent à cultiver et pas seulement une émotion. Il nait d’un enthousiasme, mais pour durer et se fortifier, il requiert du savoir-faire, comme une œuvre d’art. (…) Si deux personnes qui s’aiment pensaient qu’elles sont cocréatrices de leur couple, de leur amour, elles en tireraient de la fierté et du courage. C’est ainsi que l’amour peut faire grandir les deux protagonistes. » (4)
Aimer quelqu’un, c’est avoir la générosité et l’énergie d’aller au-delà des paroles blessantes, pour identifier l’ancienne douleur qui les fait naitre et aider à y remédier. Tout le monde, a fortiori son conjoint, mérite d’être compris et pardonné. Il faut cesser d’exiger l’amour parfait, pour se mettre à le prodiguer sans calcul.

L’amour vrai est réciprocité, il stimule et donne le sentiment d’être reçu, d’être accueilli, d’être amplifié.

(1) Formes ou images de nature collective universelle qui constituent le fondement des mythes. Ces formes primordiales se chargent de contenus particuliers par le vécu de l’individu
(2) Philon d’Alexandrie, Commentaire allégorique, in Eros enchaîné, André Paul, Éditions Albin Michel, Paris, 2014
(3) Lire En tenue d’Ève, féminin, pudeur et judaïsme, Delphine Horvilleur, Éditions Points, 2018, 194 pages
(4) L’odyssée du couple, article d’Astrid de Larminat, Le Figaro, 29 septembre 2016
Par Laura WINCKLER
Philosophe, écrivaine et conférencière, licenciée en lettres classiques et en philosophie, Laura Winckler s’est spécialisée dans l’étude de la pensée symbolique à travers de l’œuvre de Mircea Eliade et de Carl Gustav Jung. Elle est l’auteur de plusieurs ouvrages, parmi lesquels Comprendre les âges de la vie, Femme, fille des déesses, les Dieux intérieurset de très nombreux articles sur la philosophie et le symbolisme. Son dernier ouvrage est L’alchimie du couple, paru aux éditions Cabedita, 2017, 168 pages

  • Le 25 novembre 2018
  • Psychologie
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