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Archives de août, 2018

Trouver sa dignité

Je n’ai plus peur du noir. J’ai trouvé la chandelle.

« Éloquentia » est un programme d’expression publique au cours duquel les candidats se voient proposer une formation et un concours « des éloquences » encadrés par des artistes de renom, des avocats et des experts de la prise de parole sous toutes ses formes.

En 2018, le centre de Nouvelle Acropole République a organisé son propre concours d’éloquence. La lauréate est Judith Renault, dont nous publions ici le texte.

Je n’ai plus peur du noir. J’ai trouvé la chandelle.

Je n’ai plus peur du noir. J’ai trouvé la chandelle.

 J’étais là. J’attendais.
Qu’on me dise quoi faire. Quoi être. Ce qu’il faut penser ; vouloir.
Qu’on me modèle. Qu’on me sculpte sur le modèle qu’il convient de regarder.
Je voulais vivre dans l’autre. Par l’autre. Pour l’autre.
J’attendais que le temps passe, sans moi. Qu’il soit trop tard.

Quoi être ?
Je ne voulais pas savoir. Je voulais qu’on me le dise.
Mais quelque part je savais. Je ne rentrais pas dans le moule.

Freinée par l’orgueil ; par manque de courage, je n’osais pas regarder à l’intérieur.
La paresse, la facilité m’ont poussée à me complaire dans mon propre abrutissement.
Je me destinais à une mort lente et prématurée.
J’allais pourrir avant d’avoir fleuri.
Et je sentais se construire à grands pas la prison invisible de ma lâcheté.
Alors, je m’enfonçais.

Quel plaisir de se complaire dans la fatalité.
Quel plaisir de trouver les excuses pour se dépraver.
J’avais décidé que je ne méritais pas d’être digne.
Et je m’enfonçais, toujours plus.
Je me refusais à moi-­même. Je refusais la vie. Fuyais.
Je m’abrutissais pour justifier le mal qui me rongeait.
Et forgeais ce nouveau moule. Support de mon indignité.

Je revêtais le manteau de la victime et sans m’en rendre compte, je disparaissais.
Comme il est simple de se dire que le monde est contre soi.
Douce flatterie du petit égo qui rend aveugle.
Non. Il n’est pas bon d’être lâche. De s’abandonner.

Plus je m’enfonce et plus l’obscurité prend forme.
Le sculpteur — dont jusqu’ici je ne voyais pas les traits — m’apparaît de plein fouet.  C’est moi.
Alors je comprends.
Me laisser sculpter par mon obscurité. Voilà l’assurance de mon indignité.
Je n’ai plus peur du noir. J’ai trouvé la chandelle.

  • Le 30 août 2018
  • Art
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Melpomène, la muse de la tragédie L’existence est-elle une tragédie ?

Melpomène est la muse de la tragédie, inspiratrice des artistes. Au-delà de cet art, elle représente la tragédie de l’existence, celle qui inspire de nombreuses vicissitudes au lieu de nous inspirer confiance et sagesse.

Melpomène est la muse de la tragédie, inspiratrice des artistes. Elle représente la tragédie de l’existence.

Melpomène est la muse de la tragédie, inspiratrice des artistes. Elle représente la tragédie de l’existence.

Aujourd’hui, j’ai vu Melpomène, muse de la tragédie, inspiratrice des artistes tout au long de l’Histoire, aimée et crainte, image accusatrice de la vie.

Je l’ai vue comme on nous l’a toujours dépeinte, avec sa longue tunique tombant à ses pieds, avec son visage sévère et impassible, avec son sceptre, son poignard et le masque tragique à la main. Le sceptre faisait d’elle la reine absolue de l’existence, la maîtresse des destins qui, à un degré plus ou moins important, colore tous les événements de la vie. Le masque, au terrible rictus, rappelait les innombrables fois où nous, tous les humains, avons contrefait nos propres visages, gouvernés par la douleur ; il y avait dans ce masque une extraordinaire conjonction, où étaient totalisés tous les yeux, tous les regards, toutes les expressions de tous les hommes… Et la conjonction parlait, comme toujours, de douleur… Et le poignard… était du moins la promesse de pouvoir en finir avec les ombres, avec les mensonges et la souffrance obligée ; dans les mains de Melpomène, le poignard était plus doux et prometteur que le masque et le sceptre de puissante tragédienne.

Mais les visions de ce monde sont instables, et se ternissent comme des miroirs de mauvaise qualité… La vie elle-même, l’essence même de Melpomène, nous fait perdre de la clarté dans les images. Et c’est ainsi que ma première vision de la muse se transforma, jusqu’à se centrer complètement sur le masque prodigieux qu’elle portait dans la main.

Un masque inquisiteur

Le masque, un visage inquisiteur.

Le masque, un visage inquisiteur.

 Les anciens auraient parlé de magie, je parle tout juste de ce que j’ai vu. Ce qui est certain est que le masque se mit en mouvement sous mes yeux et cessa d’être la couverture vide qui associait tous les hommes.
Ce fut, soudain, un visage de plus parmi les visages, animé de vie, et circulant parmi les nombreux visages qui circulent à travers les nombreuses rues d’une ville populeuse.

Mais ce masque était un visage inquisiteur ; ses yeux, en réalité, ne cessaient jamais de paraître vides et creux, et à partir de cette vacuité ils demandaient sans parler : pourquoi ? Et tous les hommes baissaient les yeux, et tous les passants se détournaient vers d’autres lieux, pour ne pas rencontrer les yeux muets de la question muette, parce que chacun des humains se sentait incapable de répondre au pourquoi. Sa bouche (celle du masque) affichait un sourire tragique car il n’aurait pu être autrement ; et ce sourire était une moquerie pour chaque être, une moquerie de lui-même, de son incapacité, de ses rêves irréalisés, de ses peurs et de ses doutes… Et tous se détournaient pour éviter le sourire, sans pouvoir l’éviter, parce que dès lors, tous commencèrent à sourire de la même manière au fond de leur âme…
J’attendis, comme j’attends toujours, que la vision de Melpomène se soit éloignée, parmi les péplums et les étranges sons du passé. Et l’attente ne fut pas vaine. Melpomène s’évanouit parmi les ombres de son monde céleste, mais m’a laissé une image qui ne s’efface plus… Elle me laissa le masque vivant, la Tragédie de la Vie.

Le masque de la Tragédie de l’existence

Aujourd’hui, j’ai vu la muse de la tragédie, mais dorénavant, je ne pourrai cesser de voir la constante tragédie de l’existence. Aujourd’hui, j’ai vu Melpomène et j’ai compris que son image n’était que la concrétisation des nombreuses vicissitudes qu’il nous incombe de vivre.
Aujourd’hui, j’ai su que son masque n’est pas une décoration, n’est pas un simple attribut. Son masque est un miroir où se reflètent les visages crispés par la tragédie, masque qui accuse parce qu’il montre exactement ce que nous sommes… Et j’ai su aujourd’hui qu’il n’y a qu’une seule voie pour que le visage de l’Humanité change d’expression : percer le mystère de la vie et de sa tragédie, changer le doute pour la certitude de la foi, et la douleur de l’ignorance par le sourire de la sagesse.

Par Délia STEINBERG GUZMAN
Traduit de l’espagnol par Marie-Françoise Touret
N.D.L.R. : Le titre, le chapeau et les intertitres ont été rajoutés par la rédaction

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Neurosciences, en quoi vont-elles modifier notre vie ?

Colloque sur les Neurosciences à la Cour Pétral

L’Ancienne Abbaye de la Cour Pétral, haut lieu de rencontres culturelles dans le Perche, a accueilli le 2 juin 2018, un colloque interdisciplinaire sur le thème
« Neurosciences, en quoi vont-elles modifier notre vie ? »

Colloque sur les Neurosciences à la Cour Pétral

Colloque sur les Neurosciences à la Cour Pétral

Trois axes ont servi de support aux neurosciences : Les neurosciences appliquées à la santé, au droit et à l’éthique, et à l’éducation. Le public conquis, d’environ 80 personnes, venu écouter ces interventions extrêmement riches, a réagi très positivement, lors des débats ouverts qui ont suivi celles-ci.

Les neurosciences et la santé, de grandes avancées sur le fonctionnement du cerveau et l’ADN

Lors de ce colloque, les professionnels de la santé ont présenté les dernières découvertes dans le domaine des neurosciences et leurs utilisations en matière de santé :  l’importance de l’effet placebo, la neuroplasticité du cerveau et sa capacité de régénération constante, l’impact du cerveau sur le corps et en retour l’impact du corps via les émotions sur le cerveau lui-même, l’application des lois de la physique quantique à ce milieu rendant possible un « autre scénario » que le fonctionnement « automatique », et enfin la disparition du dogme d’une vision d’une génétique déterministe, et la constatation d’une modification permanente de l’expression génétique de l’ADN « redonnant la main » à l’individu sur la préservation de sa santé, mais pouvant inversement l’altérer par son mode de vie.

L’interaction entre le cerveau, le cœur et les intestins

Les exposés se sont concentrés sur les trois zones neuronales du corps, à savoir le cerveau, le cœur et les intestins, en insistant sur les relations d’interaction constante et complexe entre ces trois organes et les trois plans du mental, du psychisme et du corps sur la santé, assurant son entretien et son rétablissement. Le cerveau, son apparition, ses fonctions, sa régénération, sa plasticité et stimulation, l’épigénétique et son application au domaine de la santé. Le cœur et ses neurones très sophistiqués qui en font l’initiateur et le contrôleur du mécanisme cérébral, un organe de communication subtil avec les autres et l’environnement en même temps qu’un organe permettant de rétablir l’harmonie dans le corps et la santé dans ses différentes dimensions. Les intestins, troisième zone neuronale importante, et leur intelligence et rôle dans la régulation du corps lui-même.

Neuroplasticité du cerveau et sa capacité de régénération constante

Neuroplasticité du cerveau et sa capacité de régénération constante

L’émergence d’un neuro-droit et d’une neuro-éthique

Des juristes ont évoqué l’émergence d’un neuro-droit et d’une neuro-éthique, nés pour encadrer ces découvertes et lutter contre de possibles dérives.
En ce qui concerne le neuro-droit, il a été exposé l’actuelle prudence des législations au niveau national et international, vis-à-vis des nouvelles techniques d’investigation du cerveau et leur possible intégration dans le domaine de la justice. Les expériences sont, pour le moment, très limitées dans le monde. Les juristes luttent en effet, afin d’éviter une vision réductrice de la criminalité et des comportements humains. L’homme ne peut évidemment pas se réduire à son seul cerveau.
En ce qui concerne la neuro-éthique, il a été expliqué qu’elle avait pour but d’encadrer la recherche sur le cerveau, les utilisations des découvertes, voire les traitements proposés. Par ailleurs, il a été mentionné que les nouvelles découvertes pouvaient créer un bouleversement dans nos conceptions philosophiques du libre arbitre et de la responsabilité.
Il a été conclu que les progrès de la science doivent aller avec plus de conscience, afin que les interventions sur les individus, au nom de leur amélioration ou de principes médicaux, ne puissent porter atteinte au nécessaire respect de l’identité de l’être humain, de sa liberté, et de son intégrité.

L’apport des neurosciences dans l’éducation et l’apprentissage

Des spécialistes de l’éducation ont expliqué comment les neurosciences sont amenées à bouleverser les sciences de l’éducation et les méthodes d’apprentissage.
Connaître le fonctionnement du cerveau aide à mieux enseigner si on est enseignant et à mieux apprendre si on est élève ou apprenant.
Certaines découvertes ont des incidences très concrètes. On sait désormais, de façon rationnelle, que certaines stratégies d’apprentissage fonctionnent mieux que d’autres. Il a été développé les quatre facteurs qui déterminent la vitesse et la facilité d’apprentissage, à savoir l’attention, l’engagement actif, le retour d’information et l’indispensable consolidation des nouvelles connaissances acquises.

Les neurosciences affectives et sociales confirment que notre cerveau est véritablement « câblé » pour rencontrer les autres. De la prise de conscience de ces lois naturelles, découlent de nouvelles pédagogies, qui intègrent le facteur éminemment social de l’être humain en interactivité avec les autres, soulignant l’importance de la bienveillance, de l’empathie, d’une communication non violente.
Enfin, il a été présenté la dynamique du changement, c’est-à-dire comment rompre avec ses habitudes pour initier un processus de transformation. Intégrer la force de l’imagination ; le cerveau ne faisant pas la différence entre ce qu’il vit et ce qu’il imagine. Choisir les habitudes en lien avec ses aspirations les plus élevées pour devenir maître de son destin.
Nous sommes encore loin de connaître les apports et les effets des neurosciences dans tous les domaines de la vie quotidienne, tant les récentes découvertes bouleversent la vision du monde et de l’homme, rompant avec l’ancien paradigme de la vision déterministe. Il faut espérer que les neurosciences soient appliquées avec discernement et conscience, dans le respect de l’éthique, du droit humain, et qu’elles servent à faire évoluer l’homme et la société vers un meilleur devenir de l’humanité, de la société et du monde.

Par Dominique DUQUET – Jean-Pierre LUDWIG et Lynda SERRES

À lire

La méditation avec les enfants ça marche !
Par Candice MARRO
Préface de Ilios KOTSOU
Éditions Le Courrier du Livre, 2017, 255 pages, 19,90 €
Ce livre propose à la fois une découverte et une exploration de la méditation, son origine, son développement, ses applications, mais aussi des conseils pratiques et une grande variété de séances à faire avec les enfants, qu’ils peuvent ensuite intégrer et appliquer par eux-mêmes. CD d’exercices de méditations pleine conscience et jolies illustrations.
La sophrologie avec les enfants
Ça marche !
Par Clotilde AUDIN
Illustrations de Cécile VANGOUT
Éditions Courrier du Livre, 2017,158 pages, 16,90 €
On connaissait la sophrologie pour adultes et l’on apprend aujourd’hui avec ce livre, qu’elle peut être pratiquée avec des enfants. La sophrologie est basée sur la respiration et la visualisation d’images apaisantes. Un livre de 69 exercices ludiques, joliment illustré à pratiquer avec des enfants. 3 thèmes sont abordés : Se libérer des tensions, se ressourcer et s’exprimer. Pour chaque exercice, une description détaillée des différentes phases suivie d’un résumé et une marche à suivre, dans certains cas.

Guide pratique de la cohérence cardiaque

Stress, gestion des émotions, créativité…
Par Patrick DROUOT et Marie BORREL
Éditions Guy Trédaniel, 2017, 215 pages, 19,90 €
Notre cœur dispose de sa propre petite centrale électrique et de son propre réseau neuronal. Il possède ainsi sa propre intelligence. Apparu aux États-Unis dans les années 1990, le principe de cohérence cardiaque propose vingt-cinq exercices de cardio-méditation pour retrouver calme et sérénité, au niveau physique (sommeil, fatigue, douleur…) émotionnel (gérer les émotions, cultiver la paix intérieure, développer la joie…) ou relationnel (mieux communiquer, aimer vraiment…). À pratiquer sans modération.
Guérir grâce à la neuroplasticité
Par Norman DOIDGE
Traduit par Patricia LAVIGNE
Éditions Belfond, 2016, 624 pages, 22,50 €
Le cerveau a la capacité de changer et de se transformer par lui-même, de la naissance à la mort, pour s’adapter à l’environnement. Il possède une neuroplasticité étonnante. Les recherches médicales récentes confirment qu’il est maintenant possible de supporter, voire de guérir certaines pathologies grâce à des pratiques récurrentes : méditer, écouter de la musique, se concentrer, s’exposer à la lumière, créer de nouvelles représentations mentales… En changeant ses habitudes et en découvrant de nouvelles choses, des connexions nouvelles se créent en permanence en même temps que des réseaux non utilisés s’atrophient. Écrit par un psychiatre, psychanalyste, chercheur et enseignant à l’université de Toronto et à l’université Columbia à New York, éditorialiste, écrivain… Il a parcouru le monde pour illustrer sa thèse.
États de conscience élargie
Psychothérapie et chamanisme
Par Denis DUBOUCHET
Éditions Dervy, 2017, 190 pages, 17 €
Les états de conscience élargie ou états modifiés de conscience sont utilisés depuis longtemps en thérapie (hypnose, respiration holotropique, chamanisme, danse-transe, médiation pleine conscience…) Ils ouvrent sur des niveaux de conscience différents qui nous permettent de traiter nos questions et angoisses existentielles (sens de la vie, mort, solitude, imperfection, responsabilité), de regarder autrement nos souffrances anciennes, ainsi que trouver notre place en ce monde. Écrit par un psychologue clinicien, psychothérapeute, pratiquant la gestalt et formé par Michael Harner aux techniques de chamanisme.
Transmuter la souffrance en mouvement de vie
Par Joëlle ROMANET
Éditions Le Mercure dauphinois, 2017, 116 pages, 14,50 €
Comment comprendre en conscience le sens de sa douleur et s’en libérer par le corps. L’auteur, somato-thérapeute et conférencière a fondé une méthode Toucher de l’Être qui lui e permet de faire les liens entre le corps, le monde psychique et la dimension spirituelle.

 

 

 

 

 

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