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Archives de février, 2017

L’enthousiasme, le feu qui brûle dans la maison de l’âme !

L’enthousiasme, c’est cela, la rencontre en nous de la lumière, qui fait que nous savons, et de la vie, qui fait que nous vivons.

« Ce sont les Grecs qui nous ont légué le plus beau mot de notre langue : le mot « enthousiasme », du grec « en theo », un « Dieu intérieur ». » Louis Pasteur

 Dans nos sociétés de crise, où résonnent sur les ondes et dans les conversations méchanceté, violence, corruption, morosité, tergiversations des uns, malversations ou impuissances des autres, on ne peut qu’acquiescer à la fameuse réplique du film « Le fabuleux destin d’Amélie Poulain « les temps sont durs pour les rêveurs ». Acquiescer oui, mais se rendre non.

Ce qui suit est une réflexion et quelques conseils sur ce qui me semble le plus important pour s’accomplir dans la vie, quelques soient les circonstances extérieures dans lesquelles nous vivons : pouvoir éveiller à l’intérieur de soi l’enthousiasme et savoir l’entretenir.

L’enthousiasme, c’est cela, la rencontre en nous de la lumière, qui fait que nous savons, et de la vie, qui fait que nous vivons.

L’enthousiasme, c’est cela, la rencontre en nous de la lumière, qui fait que nous savons, et de la vie, qui fait que nous vivons.

« Le philosophe est un passeur d’enthousiasme », déclarait dans un entretien le philosophe Bertrand Vergely. Il est là pour exhorter les hommes et notamment les jeunes, à ne pas désespérer, à avoir confiance dans la vie, dans eux-mêmes, dans l’infini potentiel de leur esprit et de leur âme. Il est là pour leur transmettre cet enthousiasme profond, clef du sens et de la plénitude de la vie.
La philosophie est née de l’étonnement et de l’émerveillement face au mystère de l’univers, de la vie, de l’homme et de son génie créateur qui fait surgir de lui tant d’œuvres prodigieuses et civilisatrices. Elle est là pour nous aider à comprendre les causes intelligentes qui ont engendré de tels effets ! Nous devenons, grâce à elle et par elle, étymologiquement et naturellement, des amoureux de la sagesse, des causes premières et des fins ultimes.
Cet amour de la sagesse et d’une vie remplie de sagesse donne à chaque philosophe authentique une énergie vitale communicative ; il devient une source permanente d’énergie, de générosité et d’enthousiasme, lieu de l’âme où le bonheur est véritable et inconditionnel.

L’actuelle directrice internationale de Nouvelle Acropole, Délia Steinberg Guzman, décrivait dans un de ces écrits l’importance de l’enthousiasme dans la quête philosophique du bonheur : « Si tu veux être heureux, tu dois apprendre à boire la liqueur de la joie et de l’enthousiasme. Il n’y a pas de bonheur durable pour qui n’a pas goûté cette boisson que je considère comme propre aux Dieux. Je ne parle pas de la joie qui va et vient comme les choses changeantes. Je parle ici de l’intense joie qui vit dans l’âme supérieure de chacun et que rien ne peut effacer… L’enthousiasme qui s’enflamme dans toutes les obscurités, le feu qui brûle à tous moments, sacrés et profanes. Parce que telle est la condition de l’enthousiasme : brûler et brûler toujours.  Pourquoi la joie ? Parce que nous savons, parce que nous vivons. » « Parce que nous savons, parce que nous vivons » : l’enthousiasme, c’est cela, la rencontre en nous de la lumière, qui fait que nous savons, et de la vie, qui fait que nous vivons. C’est, diraient les Grecs la rencontre d’Apollon et de Dionysos.

Le feu sacré qui inspire le génie créateur

L’enthousiasme est donc un feu intérieur qui éclaire et réchauffe de l’intérieur toutes nos pensées, nos sentiments et nos actions.

L’enthousiasme est donc un feu intérieur qui éclaire et réchauffe de l’intérieur toutes nos pensées, nos sentiments et nos actions.

L’enthousiasme est donc un feu intérieur qui éclaire et réchauffe de l’intérieur toutes nos pensées, nos sentiments et nos actions. Ce n’est pas le feu de la passion ou le feu de l’émotivité qui s’enflamme vite pour s’éteindre plus ou moins tôt. Chercher le bonheur dans le plan affectif, c’est le condamner à une existence éphémère, et se condamner soi à mendier sans cesse des gestes d’affection et de reconnaissance, pour être heureux et se sentir stables.
L’enthousiasme est le feu que d’aucuns pensent divin ou sacré, que nous possédons en nous-mêmes et par nous-mêmes, le Feu du « Dieu en nous (en theos) », le feu du dieu intérieur que chacun possède, qui nous met en contact avec l’unité universelle, avec l’harmonie universelle, avec l’éternité.

L’enthousiasme vit dans le plan de l’intuition et de l’inspiration sacrée. C’est lui qui inspire le poète, le musicien, l’artiste dans son œuvre. C’est lui qui inspire le guerrier dans le combat, en lui donnant l’audace et l’intrépidité, comme à d’autres, il donnera le génie, une justesse d’esprit, une imagination féconde, un cœur plein d’un noble feu.

Les alliés lumineux de l’enthousiasme

L’enthousiasme met en marche le courage et la vitalité chez celui qui entreprend. Être vivant, c’est le contraire d’être mécanique. L’enthousiasme invite et incite à des actes extraordinaires. Il engendre l’inspiration, fait agir au nom de quelque chose de supérieur, il nous fait donner sens et présence à nos actes en rapport avec nos valeurs et principes de vie.
Il entretient l’éternelle jeunesse de l’âme, en continuant toute sa vie à avancer, à découvrir, à créer, à se remettre en cause, à se perfectionner. Celui qui est enthousiaste pense que le meilleur est à créer, est devant nous.
Il permet l’admiration et l’émerveillement au quotidien, pour accueillir les petites et les grandes choses de la vie ; l’amour d’apprendre sans cesse quelque chose de nouveau.

L’enthousiasme apporte avec lui naturellement la joie, l’allégresse, pour avoir contacté cette dimension de l’âme où un feu éclaire et réchauffe tout.
L’enthousiasme donne la vision, la perspective. Il nous fait voir grand et ne pas avoir peur d’élargir sa vision. Rien de grand ne peut se faire sans enthousiasme.
L’enthousiasme est la clef de l’engagement dans la vie, car l’engagement est le sens du service animé par le feu de l’âme. Et l’engagement nourrit à son tour l’enthousiasme.

Comment s’entretient l’enthousiasme ?

L’enthousiasme s’entretient comme on entretient un feu. Le combustible, c’est de confronter sa vie à des actions et à des relations généreuses, utiles et constructives. Mais le feu a aussi besoin d’air. L’air, ce sont les choses de l’âme, apporter à son esprit des réflexions élevées et intelligentes, des enseignements de sagesse vivante, apporter à son cœur des aliments de beauté, de bonté et de justice. Nous possédons tous en nous la flamme de l’enthousiasme, mais il nous faut l’entretenir par l’engagement dans la quête héroïque de la sagesse dans nos pensées, nos sentiments et nos actes.
Les défis et les aventures raniment le feu de l’enthousiasme. Rien de pire que le confort pour éteindre l’enthousiasme.  Etre un idéaliste engagé, rester toujours créatif, donner de la vitalité à tout ce que l’on fait, mettre de la joie dans ce que l’on fait, rester toujours simple pour rester disponible et réceptif au feu.

L’enthousiasme naît du cœur. Il s’exprime spontanément dans le chant, la danse, le rythme de la vie. Ces pratiques réveillent l’enthousiasme, émeuvent et unissent les cœurs des hommes. Ce sont des pratiques qu’il faut utiliser régulièrement pour développer en nous la joie. Nous devons apprendre à produire ce à quoi nous aspirons, nous devons apprendre à pratiquer la joie pour la vivre.

Construire une nature non résistante à l’esprit

 Le Yi King, un vieux traité de sagesse chinoise, exprime dans le langage symbolique qui est le sien que l’enthousiasme naît de la rencontre de la Terre (le réceptif) avec l’Éveilleur (le tonnerre). Il nous explique que pour œuvrer dans l’enthousiasme, il faut une nature totalement réceptive dans laquelle puisse s’allumer le feu de la foudre, c’est à dire de l’esprit. Il faut une absence de résistance pour allumer en soi le feu intérieur, et nous faire ainsi passer de l’état latent à l’état actif.
Telle est la réalité de l’enthousiaste. Il décide d’être acteur de l’aventure de sa vie et de la concrétiser contre vents et marées, grâce au lien et au contact structurant, rassurant et régénérant avec le feu éternel qui brûle dans la maison de son âme.

Par Françoise BECHET

 

 

 

 

  • Le 28 février 2017
  • Philosophie pratique
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Pather Panchali

Pather Panjali de Satyajit Ray

 

Premier volet de la trilogie d’Apu, « Pather Panchali » a ouvert à Satyajit Ray une carrière internationale.

Pather Panjali de Satyajit Ray

Pather Panjali de Satyajit Ray

Tiré d’un roman bengali de B. Bandopadhyay, le récit se déroule dans le Bengale rural des années 1920.
Le brahmane Harihar Roy vit dans la maison de ses ancêtres, délabrée. Ne pouvant gagner assez d’argent pour subvenir aux besoins de sa famille, Harihar part en quête d’un nouveau travail à la ville. Sa femme reste seule pour gérer la famille. Pendant son absence sa fille Durga meurt, un ouragan dévaste la région. À son retour, Harihar décide d’emmener sa famille en ville.
Dès ce premier film, — qui fut tourné faute d’argent sur près de cinq ans —, tout le lyrisme, toute la poésie née au rythme des saisons, accompagné du sitar de Ravi Shankar, force le respect et l’admiration. Pather Panchali reçut à Cannes en 1956 le Prix du Document Humain. Un grand cinéaste était né.
Douleur (faim, résignation) et bonheur (joie et amour) vont de pair dans Pather Panchali. Ce fim est surement le premier vrai chef d’œuvre du cinéma indien ; il contraste et renvoie à sa médiocrité la plus totale, l’exotisme puéril de Bollywood, véritable opium du peuple. Ce film sera suivi de L’Invaincu et du Monde d’Apu.

Avec Karuna Banneriee – Kanu Banerjee – Uma Das Gupta – Subir Banerjee – Chunibala Devi – Musique : Ravi Shankar

Par Lionel TARDIFF
Espace Sorano : 16, rue Charles Pathé – 94300 Vincennes – Tel : 01 43 74 73 74 – www.espacesorano.com

  • Le
  • Cinéma
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« Philo vagabonde », rencontrer le philosophe qui sommeille en nous

Philo vagabonde, Alain Guyard

 

« Vivre sans philosopher n’est pas vraiment vivre, car c’est vivre en aveugle ou se limiter à ne pas voir plus loin que le bout de son nez »Descartes
« On peut vivre sans philosopher, mais on vit moins bien » Vladémir Jankélévitch

Peut-on redonner à la philosophie le sens de sa véritable source, la dépoussiérer des bancs universitaires pour qu’elle soit pratique et applicable à notre vie quotidienne ? Le film documentaire de Yohan Laffort « La philo vagabonde » met en scène un saltimbanque de la pensée Alain Guyard qui fait vivre une philosophie au plus près des citoyens.

 Après vingt ans d’enseignement de la philosophie au sein de l’Éducation nationale, Alain Guyard rompt les amarres pour partir en quête de l’art de vivre philosophique.

Fini la philosophie enfermée dans un carcan normatif pour les écoliers qui doivent répondre à une note d’examen. Aussi, c’est avec la foi du philosophe qui sort de la caverne qu’Alain Guyard nous montre une autre lumière philosophique, celle des hommes humbles, sans bagage particulier. Ces hommes qui illustrent l’arrogante expression « la France d’en bas ».
Oui, des hommes simples, sans-grade, sans diplôme, loin des cafés-philo « bobos », ou des stages de développement personnel. C’est à eux que se destine Alain Guyard, à eux et à tous ceux qui peuvent écouter et trouver intérêt à une philosophie impliquante, dérangeante qui nous remue dans le ventre, qui touche l’Être et notre volonté de devenir meilleur.

Aller à la rencontre du philosophe qui sommeille en chacun de nous

Philo vagabonde, Alain Guyard

Philo vagabonde, Alain Guyard

Alors, avec sa roulotte de philosophe vagabond, ni donneur de recettes, ni vendeur de bonheur, Alain Guyard dispense dans toute la France une philosophie buissonnière, non conventionnelle.

Fini, Parménide, Héraclite, Socrate, Aristophane, Platon, Maître Eckart, Spinoza, Nietzsche, Jankélévitch… comme les souffre-douleurs de la pensée. Avec Alain Guyard, ils prennent un autre visage et sans être dénaturés deviennent accessibles, plus humains. On en avait presque oublié qu’eux aussi ont eu à résoudre leur rapport à la condition humaine, et qu’avant d’être déclarés « sages » ils ont été confrontés aux affres de leurs peurs, de leurs passions, de leurs doutes…

Tel un saltimbanque, jouant avec les mots comme un jongleur jouerait avec ses balles, il va à la rencontre du philosophe qui sommeille en chacun dans des milieux aussi divers que les hôpitaux, le monde rural, les prisons, le milieu psychiatrique, les soins palliatifs… « Aller philosopher avec des gens qui sont bannis de l’espace géographique de la culture c’est pour moi un acte philosophique et c’est l’acte philosophique par excellence ».

Ce Diogène (1) de la pensée comme il aime à se présenter, au langage parfois trivial et argotique propose une philosophie subversive, charnelle qui ne laisse pas de marbre.

Comme Diogène qui se promenait en plein jour avec une lanterne et disait : « Je cherche l’Homme, et je ne vois que des hommes ! » Alain Guyard nous touche dans notre Être pour nous demander de nous lever et d’avancer avec notre lanterne. « La philosophie peut avoir cette force qu’elle ne t’apporte rien, mais elle te met face à l’expérience nue de la vie ».

 Pour une philosophie politique et citoyenne

Alain Guyard, "Diogène" de la Pensée.

Alain Guyard, « Diogène » de la Pensée.

Dans notre époque de transition, véritable entre deux mondes, où les paradigmes sont bouleversés, où la boussole de l’existence cherche son Nord, le film La philo vagabonde nous interroge. Quel rôle politique donner aujourd’hui à la philosophie ?
Pour les Anciens, la philosophie n’était pas dissertation intellectuelle, et ne pouvait s’entendre sans passage à l’action et au choix de vie. Elle était une expérience vécue visant à une formation de l’individu, bref un exercice sur le chemin de la sagesse. Puis, lentement, imperceptiblement mais inexorablement, depuis Aristote, elle a suivi une douce pente conduisant à une impasse. Devenue fille de l’unique raison, coupée d’une application concrète dans notre vie quotidienne, elle s’est éloignée au fil du temps des hommes pour ne plus parler que de concepts.

En rappelant que Grecs et Romains pratiquaient la philosophie comme un entraînement quotidien, c’est Pierre Hadot(2)  qui le premier dans les années 80 a refait sortir les grandes idées philosophiques des bibliothèques pour les remettre au coeur de la vie quotidienne. Avec La philo vagabonde Alain Guyard enfonce le clou, et se tourne vers l’homme de la rue pour parler d’une philosophie qui nous remue, qui nous implique, qui nous touche dans nos « entrailles ». La demande est forte, et nombreux sont ceux qui cherchent à retourner à son essence, à « l’amour de la sagesse ». Faire de la vie « ordinaire » une voie de transformation, s’armer du courage pour aller à la rencontre des hommes afin de pouvoir trouver l’Homme qui est en chacun, tel est le défi.

Cette philosophie engagée, avec comme seul but la sagesse pratique est la philosophie politique de demain. Elle nous demande de sortir de notre coquille de spectateur pour devenir acteur, en quête du bien. Et, ce combat essentiel qui se livre dans notre vie quotidienne, pour en faire un lieu d’usure et d’effritement, ou bien un véritable lieu d’accomplissement, est l’enjeu essentiel de toute philosophie, comme le montrait déjà le questionnement d’Arjuna dans l’épopée indienne de la Bhagavad Gîta (3) il y a plus de 2 000 ans.
Guerrier vaillant, Arjuna est à terre, accablé et impuissant, face à ses peurs et ses ombres, incapable de combattre quand lui vient cet enseignement : « D’où te vient, Ô Arjuna, cet abattement en face des difficultés, indigne d’un homme d’honneur et ne conduisant ni au ciel ni à la gloire ? Ne te laisse pas aller à ce manque de virilité, car cela sied mal à un être tel que toi ».
Arjuna est-il Indien ? Non, il porte tous les prénoms du monde, tous les noms de ceux qui ont fait le choix d’une philosophie impliquante, et qui ont rompu avec le désespoir.  Il est le porte étendard de tous ceux qui assument de faire du quotidien de leur vie, un lieu de sens ou puisse éclore leur réalité intérieure. Ce retour actuel de la philosophie, débarrassée de ses oripeaux intellectuels est une vraie opportunité, il illustre la prise de conscience de la nécessité de trouver du sens et de livrer combat sur le terrain même de nos vies pour devenir de véritables « Guerriers pacifiques » (4), des hommes et des femmes, vainqueur d’eux-mêmes, et donc libérateur de ceux qu’ils côtoient. L’urgence de l’Être est face à nous, La Philo vagabonde nous ouvre des portes, à nous de continuer le chemin…

« Éduquer des hommes, ce n’est pas remplir un vase, c’est allumer un feu »Aristophane
Tel est le défi philosophique de notre temps.
Alors, toi lecteur, qu’en dis-tu ? Acteur ou spectateur ?

(1) Philosophe grec (412 av J.C – 423 av J.C) cynique qui vivait dans un tonneau
(2) Philosophe, historien et philologue français (1922-2010), spécialiste de la philosophie hellenistique, notamment du néoplatonisme et de Plotin. Il a réhabilité l’exercice spirituel et de philosophie comme manière de vivre
(3) Terme sanscrit se traduisant littéralement par « chant du Bienheureux » ou « Chant du Seigneur ») et partie centrale du poème épique le Mahabharata ( VIe av.  J.-C). Il raconte le combat héroïque de deux familles pour dominer Jastinapura, la ville céleste et le combat intérieur mené par Arjuna pour décider de mener la guerre
(4) Lire Persée, le guerrier de la Paix, Fernand Schwarz, Éditions Acropolis
Par Olivier LARREGLE

La philo vagabonde
Film-documentaire de Yohann Lefort. 1h 38 min.
Produit par 1001 Productions
Distribué par Le Film Les Deux Rives
www.filmdesdeuxrives.com et www.laphilovagabonde.com et sur facebook

À lire :
33 leçons de philosophies par et pour les mauvais garçons, Alain Guyard, Éditions Le Dilletante, 2013, 287 pages

À écouter :
. Sur Europe 1 : samedi 8 octobre 2016, émission Qui vive avec Raphael Enthoven
http://www.europe1.fr/emissions/integrale-qui-vive/qui-vive-la-philosophie-est-elle-aux-antipodes-de-la-realite-pratique-2867803
. Sur France Inter : Émission Ça va pas la tête ! d’Ali Rebeihi
– Comment éviter la souffrance et l’ennui avec ce bon vieux Schopenhauer
https://www.franceinter.fr/emissions/ca-va-pas-la-tete/ca-va-pas-la-tete-09-aout-2016
– Célébrons la joie avec ce bon vieux Spinoza
https://www.franceinter.fr/emissions/ca-va-pas-la-tete/ca-va-pas-la-tete-12-aout-2015

 

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