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Archives de avril, 2015

Mort du philosophe Jean-François Mattei

Jean-François Mattéi s’est éteint le 24 mars 2014 à Marseille, dans une ville à laquelle il était profondément attaché.

Homme du Sud, né à Oran le 9 mars 1941, ce grand philosophe avait choisi de mener une carrière universitaire loin de la capitale et de s’engager, en tant qu’humaniste, dans les problèmes sociaux de notre époque.

Mort du philosophe Jean-François Mattei

Mort du philosophe Jean-François Mattei

Diplômé de l’Institut d’études politiques d’Aix-en-Provence et agrégé en philosophie en 1967, il avait consacré sa thèse d’État à une étude approfondie de l’ontologie platonicienne (L’Étranger et le Simulacre. Essai sur la fondation de l’ontologie platonicienne, PUF, 1983). Devenu le plus jeune professeur de l’enseignement supérieur, à Nice-Sophia-Antipolis, il dirigea aux éditions PUF les deux tomes de l’Encyclopédie philosophique universelle, une gigantesque contribution à la diffusion de la philosophie. Il fut un grand amoureux de Platon (Platon, Éditions PUF, coll. Que sais-je ? 3e éd., 2010, Platon et le miroir du mythe, Éditions PUF, 2002) et il sut magistralement montrer l’actualité de la pensée platonicienne dans La Puissance du simulacre. Dans les pas de Platon (Éditions François Bourin, 2013).

Il intervenait régulièrement sur les questions d’actualité (crise des banlieues, violences urbaines, euthanasie, identité de l’Europe) car il avait le souci d’expliquer sa vision philosophique des problèmes de notre temps. Son essai le plus remarqué, La Barbarie intérieure (PUF), paru en 1999, fustige l’immonde moderne : malgré ses promesses, la modernité aurait échoué à repousser la barbarie. Il y explique que la barbarie est bien plus proche de notre quotidien que nous aimons à le penser, et que notre civilisation ferait bien d’affronter ses propres démons plutôt que de toujours chercher le monstre chez les autres. Car, si le XXe siècle, ce «siècle des droits de l’homme», fut celui de «la destruction de l’homme», la violence ne s’est pas évaporée avec le nouveau millénaire. Dans L’Homme indigné (Éditions du Cerf, 2012), dont le titre est un hommage à Albert Camus, l’un des auteurs qu’il admire le plus, Jean-François Mattéi opposa l’indignation selon la raison à l’indignation selon la loi du cœur.

Grand amateur de jazz, pianiste virtuose, il s’intéressa à l’histoire de l’art comme à l’esthétique. Il aimait à dire que «la philosophie doit être intempestive et inactuelle, c’est-à-dire pour un temps à venir».

 

 

  • Le 17 avril 2015
  • Philosophie
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Critiques et bons exemples

L’auteur s’interroge sur la critique et ses conséquences. Plutôt que de critiquer, mettons-nous en action.

Bien qu’ils soient nombreux – et en de nombreuses occasions – ceux qui ont parlé des critiques constructives et des critiques destructives, nous osons manifester notre désaccord à ce sujet car l’expérience quotidienne nous montre que les critiques sont toujours destructives. Et ce n’est pas la faute de la critique en tant que démarche rationnelle mais celle des personnes qui agissent sous l’impulsion de leurs émotions subjectives, plutôt que guidées par la raison et le bon sens.

Nous vivons dans un monde qu’on a maquillé de certitudes et d’assurance mais la contrepartie se joue dans les profondeurs de chaque être humain, où se manifeste de manière plus ou moins explicite l’insécurité, le doute et la peur. Le potentiel d’action et de création est notablement réduit ; la capacité de comprendre et de surmonter les problèmes se voit amoindrie par l’ignorance qui existe dans ces domaines. Et c’est ainsi que l’homme se protège, en camouflant également ses craintes et son incapacité sous la forme de critiques. D’une manière générale, tout est objet de critique, et destructive à coup sûr car, pires sont les autres, mieux se sent celui qui se défend inconsciemment en cachant ses propres défauts. Celui qui critique est automatiquement celui qui sait, celui qui, bien entendu, peut faire les choses mieux que les autres et celui qui a les solutions à tous les problèmes.

L’attitude critique destructive

Celui qui critique ne se préoccupe jamais de chercher quoi que ce soit de bien en rien ni en personne, il n’excuse aucune erreur ni ne pardonne la moindre faute ; celui qui critique est donc celui qui se croit en possession de toute la vérité et qui se considère exempt de toute erreur. Tout au plus gardera-t-il ses éloges – plus ou moins poussés selon les besoins – pour la personne, le groupe ou la structure sociopolitique dans laquelle il se sent protégé. Celui qui critique, dans tous les cas, se garde de bien de mettre en pratique ses idées car il n’y a rien de mieux que la mise en action pour démontrer qu’il pourrait également être l’objet de critiques semblables ou pires que celles qu’il a formulées. La critique engendre des critiques ; de la mauvaise volonté ne naît que de la mauvaise volonté.

Sans que ce qui vient d’être exposé veuille dire fermer les yeux, les oreilles et la bouche en laissant passer tout ce qui est honorablement considéré comme erroné, nous croyons qu’il y a manière et manière de signaler des erreurs et manière et manière d’exercer l’esprit critique à son propre égard, à la recherche d’un perfectionnement qui au moins cautionne cette critique.

Au-delà des tromperies délibérées envers ceux que nous voyons soumis au cadre diabolique de vie actuel que nous menons, ce qui est certain est qu’il continue à exister des êtres de bonne volonté dans le monde. Ce qui est certain est qu’il n’y a rien de plus beau que de reconnaître les réussites de ces êtres et de les encourager. Et ce qui est certain aussi est que, si nous ne trouvons rien qui vaille la peine, il n’y a pas de critique plus constructive que de se mettre au travail dans ce que nous croyons bon et possible.

Par Délia STEINBERG GUZMAN

Présidente internationale de l’association Nouvelle Acropole

Traduit de l’espagnol par M.F. Touret

N.D.L.R. : le chapeau et l’intertitre ont été rajoutés par la rédaction

Celui qui critique ne se préoccupe jamais de chercher quoi que ce soit de bien en rien ni en personne

Celui qui critique ne se préoccupe jamais de chercher quoi que ce soit de bien en rien ni en personne

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L’héroïsme au féminin, Hommage à Marie Curie , La foi et l’œuvre d’une femme

Grâce à sa détermination, son courage et à l’idéal de progrès scientifique dont elle était porteuse, Marie Curie a non seulement fait des découvertes qui ont révolutionné la science, mais encore ouvert la voie à l’expression du meilleur de la pensée et de la réalisation de soi au féminin.

«Qui suis-je pour faire quoi ? Dès qu’elle s’est posée la question, la seule qui vaille quand on s’interroge sur soi-même, Marie lui a donné la réponse : elle sera quelqu’un» (1).

Marie Curie – Maria Slodowska – est née à Varsovie le 7 novembre 1867, sous l’occupation russe. Ses parents enseignants, vivaient d’une façon très modeste, mais «ils possèdent les seules richesses que [les enfants] ont appris à convoiter : la culture, le savoir, la connaissance» (2). Encore très jeune, Marie perdit successivement sa sœur et sa mère ; le choc la conduira à se réfugier dans les études – qu’elle réussit brillamment – . Mais, en Pologne, les universités n’étaient pas encore accessibles aux jeunes filles, si bien que sa sœur aînée et elle-même durent s’exiler pour faire leurs études à Paris. Après cinq années, en tant que répétitrice dans des familles riches, afin de payer les études de sa sœur Bronia puis les siennes, elle put envisager son départ. Le 3 novembre 1891, elle s’inscrit à la Sorbonne, pour faire une licence de sciences, l’idéal à ses yeux.

La passion du savoir

Marie Curie

Marie Curie

Les prouesses de Marie étaient bien connues : toujours la première ou presque, dans ses études de sciences chimique et physique ; première chercheuse scientifique ; première femme étudiante puis enseignante à l’école normale supérieure de jeunes filles ; première scientifique à découvrir la radioactivité ; première femme prix Nobel de physique (en 1903, avec son mari) ; première scientifique récipiendaire d’un 2ème prix Nobel (de chimie en 1911) … Mais, ce n’était pas la gloire qu’elle recherchait, elle pensait que la science, la connaissance pure, pouvait et devait servir au progrès de l’humanité. «La science tiendra dans sa vie la fonction du sacré» (3) dit Françoise Giroud. Et aussi : «La recherche ne doit avoir à leurs yeux [Pierre et Marie Curie] qu’un objet : repousser les frontières du savoir» (4).

Le désintéressement et le don de soi

C’est son grand mot, l’aune à laquelle elle mesura les êtres. Elle-même se refusa les bénéfices qu’elle aurait pu tirer de ses découvertes sur le radium, et leur exploitation commerciale lui semblait méprisable. Elle repoussa les propositions de postes et de financements qui lui furent faits, exceptés ceux qui pouvaient servir à la recherche. De même qu’elle n’admettait pas le brevetage des découvertes scientifiques, elle mit les siennes à la portée de tous. Elle accepta seulement les dons qui lui vinrent souvent de l’étranger, pour acheter le radium, car la recherche était très négligée en France.

Dès le début des recherches, Marie Curie s’était intéressée à la possibilité d’applications médicales des radiations. Lors de la création de l’Institut du radium, elle sera la première femme nommée chef d’un laboratoire de recherches purement physiques (le pavillon Curie), associé à celui d’une section de médecine, dirigée par le professeur Régaud.

«Lorsqu’une chose est juste, il faut la faire, aurait-on mille raisons de s’abstenir». Pour obtenir quelques grammes de radium, il faut utiliser des tonnes de pechblende (5) que l’on verse dans une bassine. Marie Curie travaillait dans un hangar ouvert à tous les vents, sans chauffage ni évacuation des gaz toxiques que la distillation produisait. Il fallait remuer le produit pendant des heures. «Le soir, j’étais brisée de fatigue». Ce travail harassant, elle le continua pendant des années, mettant en danger une constitution fragile, sans compter les radiations qui finiront par la tuer. Ses deux grossesses n’interrompirent pas sa recherche bien qu’elles se fussent passées dans des conditions difficiles.

Une éducation ouverte et éclairée

Ses carnets montrèrent à quel point elle était attentive à la santé et à l’éducation de ses filles. Le petit cercle de chercheurs qui gravitait autour des Curie avait pris en main les différentes leçons à donner à domicile, aux enfants du petit groupe, chacun enseignant sa spécialité ou ses passions. Marie était ravie de partager sa passion de la recherche avec sa fille Irène mais respecta les goûts peu scientifiques de la seconde. De même que ses étudiantes témoignèrent de l’intérêt que Marie leur porta individuellement et celle-ci fut la première à ouvrir la recherche scientifique aux femmes. Ses étudiants furent «frappés par l’étendue de son savoir, par la clarté lumineuse de sa pensée qui saisissait toujours l’essentiel d’un problème» (6).

Un couple remarquable

Pour les demoiselles Slowodska, être femme au foyer n’était pas un «destin» et elles n’auraient jamais envisagé de sacrifier la réalisation de leurs rêves à un «parti» aussi brillant fût-il. Marie ne portait guère attention à ses soupirants et les frais de toilette n’étaient que très réduits dans son budget. Jeune fille, elle avait même saccagé sa chevelure – grand attrait des femmes de cette époque – . Dans le courrier que Pierre Curie et Marie échangèrent au départ, de leur relation, il était surtout question de leur passion commune : la recherche scientifique. Ce qui était étonnant, ce fut l’attitude de Pierre Curie, soulignant toujours les qualités intellectuelles et humaines de sa femme et attestant qu’il ne jouait qu’un rôle d’assistant dans les recherches sur le radium. Pendant de nombreuses années, négligeant ses propres travaux, il aidera son épouse à réaliser ses travaux exténuants. Il y eut toujours une grande connivence et un respect mutuel entre eux. Même si elle paraissait très froide et même rigide parfois, cependant après la mort de Pierre Curie, elle eut des accents déchirants et d‘infinie tendresse à l’égard de son mari.

La patriote et la citoyenne

Pierre et Marie Curie, une passion commune : la recherche scientifique

Pierre et Marie Curie, une passion commune : la recherche scientifique

La Pologne, quand Marie est née, était sous la domination des tsars russes ; la langue russe était imposée dans tout le pays et bien sûr dans l’enseignement. C’est pourquoi des jeunes étudiants, avaient créé des «universités volantes», pour enseigner clandestinement la langue et l’histoire polonaise. En réalité, la police tsariste se souciait plus des socialistes que de ces jeunes positivistes. Ils pensaient que la Révolution se ferait plus par l’éducation des masses que par la révolte armée. C’est ce que retint surtout Marie qui défendit par son exemple et par son enseignement l’idée que l’éducation des femmes était primordiale dans cette évolution. «Ce n’est pas par les armes que l’on sèmera la subversion : c’est en formant les cerveaux» (7).

Quand la guerre de 1914 éclata, on commença à utiliser la radiographie. Pour détecter rapidement l’implantation des balles dans le corps, Marie imagina de transporter des appareils de radiologie au plus près des combats. Elle se démena pour trouver des voitures et former des radiologues. Sa fille Irène la seconda avec une grande efficacité. Les «petites Curie», nom donné aux voitures-radio épargnèrent bien des vies. Comme d‘habitude, elle ne ménagea jamais ses allées et venues par les chemins défoncés et par tous les temps, pour être en première ligne.

Marie avait pourtant été la cible de calomnies ; on la soupçonnait d’être une espionne allemande. Mais, elle trouva une réponse digne de son élévation morale, pour répondre à sa fille qui se plaignit d’être elle-même attaquée : «J’ai été désolée d’apprendre que tu as des ennuis au sujet de ta nationalité […], tu dois supporter avec patience ces petites misères, mais c’est ton devoir de protéger Joséphine et Valentine (ses cousines polonaises) qui sont étrangères. Ce serait ton devoir même si elles étaient allemandes […]. Chérie, prends conscience de ce que tu dois comme Française, à toi-même et aux autres.»(8)

Le rêve humanitaire

Marie Curie a vécu une époque où des hommes pensaient que les idées patriotiques et humanitaires allaient triompher du mal en Europe. C’était vrai pour le petit cercle de chercheurs qui travaillaient avec de petits moyens, autour des Curie. Ils vivaient dans l’espoir d’un monde nouveau plus éclairé. C’était vrai aussi des patriotes polonais, proches des Slodowska. Marie Curie sacrifia toute sa vie à l’idéal humanitaire qu’elle plaçait dans les progrès de la science et de la connaissance. Elle le fit avec la conscience d’ouvrir le chemin aux femmes pour exprimer leur spécificité et sans d’ailleurs négliger son rôle auprès de sa famille. Elle donna l’image d’une femme qui avait décidé «d’être quelqu’un» et qui se réalisa.

Elle fut d’abord inhumée dans le caveau familial de Sceaux, puis en 1995, ses cendres ainsi que celles de son mari, furent transférées au Panthéon ; elle est encore la seule femme à avoir eu cet honneur.

 Par Annette Mansire

(1) Françoise Giroud, Une femme honorable, éditions Fayard, 1998, page 12 

(2) ibidem p. 22

(3) ibidem p. 35

(4) ibidem p. 75

(5) Oxyde naturel d’uranium, composé essentiellement d’uraninite, le plus important minerai d’uranium dont on extrait le radium. Pierre et Marie Curie, ont utilisé la pechblende provenant du gisement de Jachymov (district de Karlovy Vary en République tchèque), le plus connu, et aujourd’hui épuisé

(6) ibidem p. 197

(7) ibidem p. 27

(8) ibidem p. 264

 

L’excellence en tout

Première femme diplômée de la Faculté des Sciences de Paris

Première femme professeur à l’école normale supérieure

Première femme chercheuse à l’Institut du radium

Première femme prix Nobel de physique en 1903

Première et unique femme à recevoir un deuxième prix Nobel (de chimie ) en 1911

Première et unique femme inhumée au Panthéon

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