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Tag Archives : Unité

Les bienfaits du langage symbolique

La colombe est le symbole de la paix

Dans la perspective amorcée dans notre précédent article (1), « éduquer ou formater ? », le langage symbolique s’avère un outil pédagogique sans égal.

La colombe est le symbole de la paix

La colombe est le symbole de la paix

Éduquer, certes. Mais n’allons-nous pas remplacer un endoctrinement par un autre ? Imposer à l’enfant une grille de lecture du monde qui le fera entrer de force dans un moule rigide dont il restera prisonnier ou qu’il rejettera lorsqu’il sera en âge de penser par lui-même, s’il n’en reste pas prisonnier ?
C’est ici, tout particulièrement, qu’intervient le langage symbolique.

Qu’est-ce qu’un symbole ?

Le mot symbole, composé de deux mots grecs, sym (adverbe et préposition indiquant l’idée de rassemblement) et bole (d’un verbe signifiant lancer), signifiait, dans la Grèce antique, signe de reconnaissance. Son contraire, diabole, qui a donné dans les langues romanes le mot diable, est ce qui sépare et oppose (dia, adverbe et préposition marquant une idée de séparation, voire de déchirement). C’est ce qui explique sa bêtise, illustrée symboliquement dans les contes où il se fait régulièrement berner par les paysans dont il tente d’accaparer la récolte mais dont il ne récupère jamais que la partie inutilisable (ce qui est sous terre lorsqu’il s’agit de céréales, ce qui est sur terre lorsqu’il s’agit de navets ou de carottes). Aveugle à l’unité du monde, il ne sait juger que sur les apparences.

À l’origine, dans la Grèce antique, le symbole était un objet coupé en deux dont deux personnes scellant une alliance gardaient chacun une moitié et qui permettait, lorsqu’on les rassemblait, d’authentifier la bonne foi de celui qui la présentait.
Le symbole rapproche, rassemble, restaure l’unité qu’il met en évidence.

Toute chose, abstraction faite de sa dimension fonctionnelle, peut devenir symbole. Le langage symbolique fait ainsi appel aux éléments, aux objets concrets et aux phénomènes naturels. Il les conjugue ou les assemble sous forme de narration, de jeu plus ou moins théâtralisé, d’images ou de tableaux, etc. Il fait appel à la métaphore.

C’est ainsi que la colombe symbolise la paix et la douceur ; un ciel de tempête, une tourmente psychologique. Tous relient les deux facettes de la réalité que sont le visible et l’invisible, le concret et l’abstrait.

Les vertus du langage symbolique

  • Le symbole est universel : il est l’apanage de tous les êtres humains, en tout temps. On le retrouve dans toutes les cultures.
  • Il est accessible à tous, de la naissance à la mort, et sa richesse polyvalente inépuisable répond à tous les besoins, à tous les âges et à tous les niveaux de maturité. La pensée symbolique, dit Mircea Éliade, précède le langage et la raison discursive. » Et encore : « Le symbole délivre son message et remplit sa fonction alors même que sa signification échappe à la conscience » (2). Aussi peut-il être utilisé à tout âge.
  • Il est un mode de connaissance privilégiée et n’est pas à confondre avec la fantaisie ou le fantasme : «  Le symbole révèle certains aspects de la réalité – les plus profonds – qui défient tout autre moyen de connaissance. Les images, les symboles, les mythes, ne sont pas des créations irresponsables de la psyché, ils répondent à une nécessité et remplissent une fonction : mettre à nu les plus secrètes modalités de l’être. » (3)
  • Il n’est pas contraignant : le symbole est une clé qui ouvre les portes d’un royaume intérieur dont chacun va explorer librement la ou les parties qui lui sont accessibles ou utiles à un moment donné. Dans lequel il pourra revenir pour approfondir ou élargir son exploration en fonction de ses besoins et de sa maturité. Il n’impose rien.
  • Il n’est pas réducteur : il n’enferme pas dans une grille intellectuelle souvent grossièrement simplificatrice. Il ne souffre aucun dogmatisme, aucune volonté d’emprise ni de conditionnement. « Le symbole, toujours selon Mircea Éliade, s’adresse à l’être humain intégral et pas seulement à son intelligence. » (4)
  • Il fait vivre l’unité et naître le sentiment d’appartenance. Il fait appel aux correspondances et met en contact avec le Tout.
  • Il suscite la réminiscence. Il provoque chez celui qui le vit une résonance qui éveille l’âme endormie, fait écho à ce qu’elle sait depuis toujours et ravive la connaissance enfouie sous l’épaisse couche d’oubli provoqué par l’absorption des eaux du Léthé (5).
  • Il emplit d’allégresse et d’enthousiasme et fait danser les couches profondes de notre cœur d’une vitalité printanière. Il revitalise et revigore. Il signe un retour aux origines.

À travers la vertu du symbole, lorsque sont réunies les conditions de son efficacité, s’opèrent simultanément une élévation du taux vibratoire de la personne et un contact avec les couches profondes de la psyché. L’empreinte en demeure gravée dans l’âme et reste susceptible d’être réactivée à tout moment.
Son vécu collectif, bien préparé, en facilite et en amplifie l’effet.

Notre prochain article présentera un exemple d’utilisation du langage symbolique dans l’éducation.

(1) revue Acropolis n°283, Le jeune enfant et son maître intérieur, avril 2017
(2) Cahier de l’Herne, Livre de Poche, 1978, page 160
(3) Mircea Éliade, Images et symboles, Éditions Gallimard, 1980, pages 13 et 14
(4) Mircea Éliade, Le sacré et le profane, Éditions Gallimard, 1965, page 112
(5) Platon, La République, tome X. Dans le mythe d’Er, le Léthé est le fleuve dont les âmes qui vont s’incarner doivent boire l’eau pour oublier leur vie passée.
Par Marie-Françoise TOURET

  • Le 3 mai 2017
  • Éducation
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Entre l’unité et la pluralité

Les hommes se séparent les uns des autres, s’affrontent, se combattent.

La conscience oscille en permanence entre la pluralité et l’unité.

 

La matière divise, l’esprit unifie. Ainsi, la conscience oscille-t-elle en permanence entre la pluralité et l’unité. L’objectif selon l’auteur est de se placer dans la partie supérieure de soi-même pour capter l’unité le plus souvent possible et limiter l’influence du séparatisme engendrée par la multiplicité. Un travail de tous les jours.

Parmi les armes les plus importantes qu’utilise Maya (1) dans son jeu, se trouvent ses miroirs, qu’elle place à mi-chemin entre le monde supérieur de l’esprit et le monde dense de la matière. Ces miroirs possèdent la particularité de multiplier l’Unité spirituelle, de telle façon que lorsque les images arrivent en bas, ce qui était au début une seule chose s’est transformé en une multiplicité infinie, en milliers d’éléments attirants, capables de captiver les hommes. Mais derrière les miroirs, derrière le jeu de lumières, se trouve toujours l’Unité. Alors que la matière divise, l’esprit unifie. Maya, qui agit dans la matière, est le reflet divisé de l’Unité spirituelle.

 Le lien entre la pluralité et l’unité

Seule, la conscience humaine est capable faire le voyage entre les choses multiples et l’Unité. Elle monte et descend, descend et monte, prenant contact avec l’une et l’autre extrémité de la manifestation. Lorsqu’elle descend, elle se retrouve avec Maya et son cortège de reflets résultant de la division de la lumière. Alors la conscience se divise aussi et joue à reconnaître les divers objets, essayant de les penser et de les mettre en relation entre eux, cherchant la manière de s’en servir et de leur trouver un sens en lien avec sa propre personne. Mais lorsque la conscience monte, alors elle rencontre le miracle de Maya qui s’est fondue, elle aussi, dans la même Unité qui nous attend tous, là où les jeux ont pris fin, là où l’expérience a été complétée, là où l’Essence unique est l’unique réalité. La conscience supérieure, ascendante, est celle qui permet la vision à l’échelle du cosmos. Tout intègre un ensemble, une unité ; tout perd sa petite valeur particulière pour croître en assumant la valeur générale de cette Unité cosmique. Au contraire, et en opposition à celle-là, la conscience qui se tourne vers la matière, succombe au séparatisme, mal dangereux qui conduit à des maux sous toutes les formes.

Les hommes se séparent les uns des autres, s’affrontent, se combattent.

Les hommes se séparent les uns des autres, s’affrontent, se combattent.

 Le danger du séparatisme

Les hommes se séparent les uns des autres, s’affrontent, se combattent. Toutes les unions se détériorent, comme s’opposent les différentes religions, les différents peuples. Il se crée des partis politiques, des corporations et des associations qui ont pour tâche fondamentale de lutter contre ceux de leur espèce. Et le comble du séparatisme conduit à l’affrontement qui se manifeste à l’intérieur d’un même homme, lorsque ses deux moi, supérieur et inférieur, perdent toute capacité de vivre ensemble et entrent en guerre. Le séparatisme, donc, est le mal de la matière. Si nous cédons et que notre conscience tombe face à lui, le divorce est prononcé à nos yeux entre tous les êtres vivants et nous ne trouvons plus aucune relation qui puisse leur conférer une connexion essentielle.

 La racine de l’être

L’Unité est propre à l’esprit. Si la conscience s’élève jusqu’à ce plan, l’homme trouve sa propre racine, sa raison d’être, grâce à quoi il découvre immédiatement une racine identique en toute chose, et les relations essentielles entre les unes et les autres lui apparaissent clairement.

Tout dépend donc de notre conscience et de la position où nous la plaçons, d’un côté ou de l’autre des miroirs multiplicateurs.

Mais Maya joue aussi avec la conscience et la contraint à osciller entre le haut et le bas. Et dans ce cas, il convient de ne pas oublier qu’il est toujours plus facile de descendre que de monter. C’est pourquoi nous vivons dans la multiplicité, parce qu’il se trouve presque toujours que notre conscience est tombée, en bas, près de Maya et de ses jeux.

Nos prises de conscience de l’Unité – de l’Esprit – sont sporadiques. Prenons l’exemple d’une boule qui tombe dans une dépression : la vitesse de sa descente jusqu’au fond fait qu’une fois arrivée en bas, il lui reste un peu d’élan pour essayer de remonter ; mais elle n’a rien qui lui permette de se maintenir en haut, aussi Maya recommence-t-elle à l’attirer vers le bas…

 Créer un foyer supérieur pour la conscience

La tâche consiste alors à créer un foyer supérieur pour la conscience, une assise au sommet de ses possibilités pour qu’elle ne retombe pas aussi facilement. Il s’agit de placer un puissant aimant à notre point d’Unité, une Lumière qui synthétise tous les rayons, un centre où arrivent à converger toutes les directions. Se fixer là grâce à une nouvelle force de gravité vers le haut – celle de l’Esprit – force plus grande et de sens contraire à celle que Maya exerce sur le monde.

Si nous apprenons à jouer en bas, si nous suivons certaines règles et un ordre pour évoluer parmi la multiplicité des choses, pourquoi ne pas tenter une nouvelle étape dans laquelle les intérêts soient placés dans un jeu supérieur qui réunit tout dans un même sens ? Maya aussi, bien qu’elle ne nous le dise pas, est engagée dans cette même tâche, parce que sa fin est le point de réunion avec nous.

 Par Délia STEINBERG GUZMAN
(1) Illusion avec apparence de réalité dans la philosophie hindoue

 

  • Le 27 septembre 2015
  • Non classé Philosophie à vivre
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L’intuition, voir au-delà de la réalité

Voir avec les yeux de l'âme

 

L’homme a accès la connaissance par l’intelligence mais également par un canal plus subtil qu’est l’intuition, qui permet de capter la réalité au-delà des apparences, l’unité au-delà de la diversité.

Voir avec les yeux de l'âme

Voir avec les yeux de l’âme

Outre la pensée rationnelle qui travaille avec les idées, dont nous avons dit qu’elle constituait le mental, il existe en l’homme une autre forme de pensée plus subtile qui est l’intuition. La première tend des fils pour connaître : c’est le raisonnement. La seconde capte directement : c’est l’intuition. Nous mettons ce second mode de connaissance directement en relation avec l’intelligence. Maya (1), une fois de plus, a embrouillé les fils dans son jeu, et nous a laissé croire que l’intelligence consiste en une certaine habileté et adresse qui vont du physique au spirituel. Être «intelligent», c’est être «éveillé», vif, rapide dans ses réactions, et c’est ainsi que les hommes s’évertuent à développer l’intelligence comme s’il s’agissait d’une compétition d’athlétisme mental.

 Une captation immédiate

Néanmoins, l’intelligence est un don de plus grande pénétration ; c’est plus que penser et raisonner ; c’est beaucoup plus que répondre rapidement à des stimuli ; c’est pouvoir capter la vie au-delà de l’aspect superficiel sous lequel elle se présente. C’est reconnaître les faits et y appliquer le discernement. L’intelligence, c’est savoir choisir et quelque chose de plus important encore : faire une sélection entre de nombreuses opportunités, séparer le bien du mal, l’utile de l’inutile. C’est tout cela, l’intelligence, c’est tout cela, travailler avec l’intuition.

Exercer l’intuition, c’est gagner une course contre le temps. Le vieux Chronos nous domine depuis des siècles et des siècles, et nous a toujours imposé ses conditions : nous, les hommes, devons nous développer sur son terrain, et les choses doivent nous coûter… du temps. Agir prend du temps ; ressentir nous mange la vie, penser dure des heures ; mais l’intuition rompt cette barrière et s’approprie l’essence des choses, dans le temps mais sans perdre de temps. L’intuition est la captation immédiate qui contient en soi la capacité de choix et de décision. Que capte-t-on ? Est-ce positif ou négatif ? Garderons-nous ou pas ce que nous avons capté ? Et au cas où nous le gardons, comment agir avec ? Que choisir de faire et que faire ?

Celui qui a de l’intuition sait ce qu’il possède, quelle valeur renferme ce qu’il a acquis, les possibilités d’application qu’elle implique et la manière immédiate dont il la mettra en jeu. Dans l’intuition, il n’y a pas de doutes, pas de détour inutile : c’est une course gagnée sur Chronos, par-delà les voiles avec lesquels Maya a essayé de recouvrir cette réalité.

 Capter ce qui est

Celui qui n’a jamais gagné cette course sur le mental discursif peut croire que l’intuition a quelque chose à voir avec l’imagination, il peut croire que ce qui est «capté» est en réalité «imaginé». Mais – du fait qu’il s’agit du mental supérieur – si on réfléchit un peu plus finement, on pourra se rendre compte que l’intuition ne consiste pas à capter ce que nous voulons, ou ce que nous croyons ou ce que nous croyons capter : c’est capter ce qui est.

La fantaisie, à coup sûr, implique des choses qui n’existent pas, elle s’extasie dans des jeux absurdes dont Maya elle-même ne pourrait tirer profit. Mais la fantaisie est totalement différente de l’intuition, dans la mesure où elle est stérilisée par ses images, perdant ainsi toute force pour agir.

L’intuition, par contre, capte des réalités, les rares réalités que le jeu de Maya nous laisse entrevoir ; elle les thésaurise et les convertit ensuite en descentes successives qui vont toucher tous les plans de l’expression humaine. Une intuition peut arriver à l’esprit sous la forme d’une idée qui, colorée par des sentiments et convenablement vitalisée, se traduit en action. L’intuition débouche toujours sur une action correspondante.

 Voir avec les yeux de l’âme

L’intuition, c’est voir avec les yeux de l’âme, mais c’est faire avec les mains du corps. C’est pourquoi nous parlons d’intelligence ; c’est savoir voir et savoir faire. S’il s’agissait de voir seulement avec les yeux du corps, ces derniers n’iraient pas plus loin que ce que peuvent réaliser nos mains ; c’est la raison pour laquelle nous parlons dans ce cas d’habileté et d’adresse, mais pas d’intelligence.

Dans la mesure où le mental courant obtient des captations réduites et partielles, ajustées aux mille et une divisions correspondant aux convenances de Maya ; alors que ce mental peut travailler avec agilité avec les petites parties qu’il découpe dans la réalité, l’intuition permet des percées visuelles moins fractionnées. Grâce aux effets de l’intuition, il est possible de s’approcher un peu plus de la fuyante réalité, de la formidable unité qui se cache derrière les voiles de Maya. On ne se contente plus alors des petits fragments que la pensée habituelle peut digérer mais on agit à travers un organe doué de la faculté d’absorber un ensemble plus important. C’est un pas vers l’unification des formes de vie qui justifie le fait de parler de l’intuition comme intelligence.

Maya préfère que nous pensions, que nous dépensions notre temps à avancer cahin-caha avec nos idées tandis que nous jouons à vivre. Maya ne veut pas que nous découvrions son secret, son piège pour nous obliger à rester dans le monde. C’est pourquoi elle joue et nous fait jouer, tout en nous éloignant peu à peu de la possibilité de capter intuitivement sa vérité. Néanmoins, en regardant Maya jouer à éloigner de nous la vision et en nous voyant participer inconsciemment à cette partie d’échecs, un rayon d’intuition s’éveille. Si nous observons posément les choses autour de nous et la façon dont elles se comportent, une faible lueur s’ouvre un passage dans notre confusion et nous comprenons, soudain, mille raisons que la raison ne peut exprimer. À travers ses jeux, nous commençons à pressentir la présence de Maya.

(1) Illusion avec apparence de réalité
Par Délia STEINBERG GUZMAN
Texte extrait des Jeux de Maya, Délia STEINBERG GUZMAN, éditions des Trois Monts, 2003
Voir avec les yeux de l'âme

Voir avec les yeux de l’âme

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